Pauvreté...
Donald Trump et Clinton, H, sont, parait ils, les mal aimés.
Il y en a un (Donald), qui est mal aimé par fait de propagande. L'autre, elle est mal aimé parce que c'est elle. Cassante, abjecte, menteuse, on ne la croirait pas, même si elle disait la vérité, mais en réalité, c'est pathologique chez elle.
Quand aux BLM et new blacks panthers, certains activistes noirs se demandent où ils sont quand les quartiers noirs de Louisiane sont inondés. On ne les voit jamais.
Certains, d'ailleurs, ne se cachent pas pour penser que l'aide sociale est la nouvelle forme de l'esclavage.
Finalement, BLM et NBP ne sont que les contremaitres de troupeaux d'esclaves, largement incultes et illettrés, amenés aux bureaux de vote pour dire merci à leur bwana qui les traitent si bien.
On note aussi la disparition totale du golfeur émérite et célèbre de Martha's Vienyard. Il n'a pas du bien comprendre. On a du lui dire qu'il faudrait qu'il fasse une visite dans le golf, et lui n'a pas saisi le vrai sens du propos.
En même temps, on s'alarme de la discrimination possible dans la distribution de l'aide aux sinistrés.
On peut noter aussi le comique du propos. Parler de discrimination pour une aide qui n'est pas loin de l'inexistant...
L'avenir des pauvres est à Glasgow, une ville où dans un quartier, l'espérance de vie masculine n'excède pas 54 ans, soit "back to the XIX° century".
C'est la plus basse d'Europe, mais aux USA, il me semble que certains quartiers pauvres sont dans la même configuration, ainsi que les réserves indiennes. Moins de dépenses de santé, pensions de retraites inexistantes... Le rêve néo-libéral.
Braudel aussi, notait cette différence notable, en même temps que l'ingéniosité et la créativité des pauvres pour se nourrir. Ils étaient toujours à la pointe de l'innovation.
Pour se nourrir aujourd'hui, le pauvre est à la pointe du n'importe quoi.
Comme je l'ai dit et l'a rappelé un lecteur, la ville dépend du flux d'énergie qui l'alimente, de plusieurs façons :
- le flux direct, de l'endroit de production des produits, à celui de consommation, flux qui peut venir de 20 000 km,
- le flux indirect : ce qu'il a fallu, ici où là, consommer pour produire l'approvisionnement,
- le flux invisible : le coût énergétique de construction, d'entretien des infrastructures diverses, en eau, gaz, électricité, produits pétroliers, routes, transports en commun, réseaux d'égouts...
- le flux interne, la consommation intrinsèque à l'intérieur de l'espace urbain, haut lieu de la bêtise écologiste : "transports collectifs plutôt que transports individuels", alors qu'ils ne comprennent pas que le mot transport est le mot qui ne convient pas. Mais ils oublient, chauffage, obligatoirement dépendant de l'extérieur.
La somme d'énergie disponible n'est plus capable d'absorber toute la population de tous les pays, mais elle est encore suffisante pour empêcher toute mutation économique.
En même temps, même dans les petites villes, on s'aperçoit de la crise des infrastructures. Telle petite ville est obligée de refaire ses égouts, vieux d'à peine 50 ans. Je vois bien d'ici 10 ou 15 ans, les habitants obligés ici et là de prendre pelles et pioches pour être obligé de tout refaire à la main...
Circonstance aggravante, on s'est fié aux produits existants, notamment ces grosses canalisations et béton. Avant, on faisait beaucoup plus gros, et de la pierre maçonné. ça pouvait durer des dizaines de siècles. L'effet des crues nettoyait les réseaux qui se colmataient. En même temps, la demande s'est nettement accrue, la douche obligatoire et quotidienne pour des gens qui bossent de moins en moins, c'est du savoureux.
Les villes du passé étaient des mouroirs constamment renouvelé par l'afflux de la population rurale. Le déficit des générations était de 20 %. Encore, les gens de cette époque étaient ils largement immunisés des mauvaises conditions sanitaires.
Entassés dans leurs villes, les gens sentent ils la fragilité de celles-ci ? Sans doute pas. Savent ils que la césure entre quartiers intégrés, ou pas, est claire, en Syrie.
Victime d'un pic pétrolier, et d'une sécheresse conjuguée, la Syrie est pour le moment, dans la tempête parfaite. La tempête parfaite, plus tard, sera encore plus parfaite.
On peut pérorer, aussi, sur les dictatures. On verra ce qu'on verra quand la quantité d'énergie se mettra vraiment, à baisser... Les "démocraties", sont avant tout des endroits où elle est encore, très abondante et bon marché...