FINI LA STATION...
16 Mars 2017 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie, #Politique
Un autre grand trou (financier), disparait dans les communes. C'est la station de sport d'hiver dite "de moyenne montage", investissements des années 1960 en Italie et en France.
Là aussi, l'époque a permis de les lancer, la nouvelle les fait fermer.
Là aussi, crise économique et réchauffement climatique sont les alibis, de choses qui n'ont, en réalité, jamais été rentables. Mais on avait plus de marges de manoeuvres à cette époque.
Alors, il est vrai que certains sont meilleurs gestionnaires. Mais la réalité ici, c'est que l'époque du pétrole facile aussi est passé. Les coûts augmentent, pendant que stagnent les recettes.
Le local, comme le global, s'effrite. Il parait qu'il y a même des petites communes qui se désendettent. Bandes de bouseux.
"Ils attendent un moment cinématographique de révélation, une explosion financière alors que la catastrophe entière se déroule dans un mouvement lent juste sous leur nez. Les économies n’explosent pas, elles se noient alors que l’eau monte un pouce à la fois."
Chez nous, le p'tit marquis de belle gueule n'est même pas au courant du concept, pas plus que la majorité de nos concitoyens. Beaucoup, une large majorité, ont pourtant assisté en direct à l'effondrement de l'URSS.
Beaucoup plus vivant sera l'effondrement -final- de l'occident, déjà bien avancé aux USA (ils nous précèdent toujours).
Les globalistes croient inventer des concepts. En réalité, tout existait déjà bien avant. La monnaie mondiale, c'était la livre sterling, avec son (très) petit frère, le franc or (déjà monnaie unique européenne).
Certains, des soi-disant économistes, en réalité des gens pas trop malins, nous sortent : « Réduire l’immigration est une erreur économique ». Et on nous prend des exemples vieux de 40 ans, vous savez, l'époque où il y avait encore beaucoup de pétrole, Mer du Nord, Alaska, Mexique, Alberta...
Comme un baril de pétrole, c'est la force de 12 hommes pendant une année, la stagnation ou la réduction de consommation pétrolière font apparaitre l'immigration, en tant que "force de travail", comme tout à fait réduite, et marginale. Elle n'apporte rien, mais coûte beaucoup. Dépensez les mêmes sommes pour les populations "indigènes", et vous aurez aussi des résultats macro-économiques relatifs.
Quand à persévérez dans cette bêtise immonde qu'est la globalisation-mondialisation, c'est toujours pareil, allez la faire sans pétrole -ou simplement avec un tout petit peu moins- et écrivez moi après. La crise de 2007-2008 a vu un pic des exportations, pas même égale à un million de barils, et on voit les effets...
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