LE PROGRESSISME FACON CLINTON... ET GAUCHE FRANCAISE...
23 Juin 2017 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique, #Economie
L'esclavage est un état qui est loin d'avoir disparu aux USA. Surtout chez les progressistes. "Les Clinton employaient des esclaves noirs dans l’Arkansas", parce que, le diable est dans les détails :
« Il n’existera dans les États-Unis, et dans toute localité soumise à leur juridiction, ni esclavage, ni servitude involontaire, si ce n’est à titre de peine d’un crime dont l’individu aurait été dûment déclaré coupable. »
Des coupables, visiblement, il en existe beaucoup, et le nombre d'esclaves est encore plus important qu'avant la guerre civile.
Apparemment, contrairement à ce que dit l'article, on paie bien les prisonniers qui travaillent, mais à un taux symbolique.
Ce taux va de quelques cents par heure de travail, mais le plus souvent, plafonne à quelques dollars la journée. Mais vu l'état des finances de l'état fédéral, il est sans doute vraisemblable que ces rémunérations aient été vu à la baisse. Le magazine mother jones indique que 3 états ne paient rien du tout leurs détenus travaillant...
D'ailleurs, les prisons sont responsables d'une grande partie de ce qui reste d'industrie aux USA.
William Jefferson Clinton, s'étant entrainé avec l'Arkansas, a crée pendant sa présidence un état général de servitude dans les prisons. Même les maquiladoras mexicaines ne peuvent rivaliser.
« Le fait que les progressistes clintoniens défendent l’usage de travail forcé par Hillary nous rappelle que le progressisme de gauche est seulement du suprémacisme blanc affublé d’un *sourire* ». Le maitre est trop bon...
« Comment instrumentaliser votre posture antiraciste de blanche tout en profitant du travail d’esclaves ».
Tiens, ça me fait penser à ce million de migrants en Allemagne. Et à l'immigration en générale...
A un esclavage de droit, s'est substitué un esclavage de fait. Sans parler, bien sûr, du fait que beaucoup de gens, au dehors, vivent des conditions difficiles, proche de l'esclavage, c'était le cas des métayers noirs, au lendemain de la guerre civile, de métayers blancs, aussi, état de fait qui n'a cessé que lorsque les campagnes se sont mécanisées totalement.
Le reste de la population est il à l'abri ? Pas du tout. 73 % des décédés laissent des ardoises à leurs héritiers... La dette moyenne est de 132 529 $ aux USA, et les décédés laissent un passif moyen de 61 554 $, dont 25 391 $ de prêts étudiants... Sans doute, des petits jeunes de 79 balais, qui veulent percer avant la fin de la présidence Eisenhower... Pardon, Truman.
Parions que ces 61 554 $ sont uniquement des intérêts, le principal ayant été payé depuis très très longtemps.
La banqueroute de Law a laissé un proverbe en France : "Qui paie ses dettes s'enrichit". A l'époque, les communautés paysannes endettées avaient renégociés leurs prêts, passant d'un taux d'intérêt de 15-16 % l'an, à seulement 3... L'origine des prêts ? Personne n'en avait souvenir...
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