CRISE DES INFRASTRUCTURES, CAFOUILLAGES ET PREMIER DE CLASSE...
Vous savez ce qui arrive au premier de classe ? Pour vous mettre sur la voie, je vous parlerais de GM, Toyota, VW... Vous avez trouvé ? C'est la place qu'on a quand les emm... iellements commencent...Aujourd'hui, c'est Renault Nissan qui s'y colle.
Ce machin, c'est le truc qui porte la poisse. Et quand on voit le cafouillage qui se produit dans les entreprises concernées...
Cafouillage, chez "En Marche", il parait que c'est le premier parti de France. 300 000 et quelques adhérents, mais qui n'adhèrent pas, puisqu'il n'y a pas de cotisation... Et entre nous, 300 000 participants, pour un truc gratuit, c'est pas grand chose. Visiblement, d'après l'article, les C... ça ose tout, même se faire élire député.
"Château en ruine, villas historiques démolies : le petit patrimoine disparaît peu à peu. " Comme me disait un lecteur élu municipal, le foncier peu utilisable, ça coûte un bras. Mais contrairement à lui, je pense que la salle des fêtes, ça coûte un bras en endettement, et on peut rajouter aussi, que la réfection du château local, ça coûte deux bras, surtout si après, on y loge des migrants. Grâce à cette politique habile, les maires n'hésiteront plus à détruire. Paf, un coup de bulldozer pour bien des horreurs, ça fera passer l'envie de l'utiliser. Et d'y loger la misère du monde...
On peut aussi incriminer le gouvernement. On baisse les subventions, et les municipalités baissent la garde. Comme le dit Orlov, toute construction est destinée, un jour, à s'effondrer ou à être démolie, même si cette date n'est pas fixée, elle va forcément arriver.
Que cette évolution ait du se faire n'est pas le problème. Le problème, c'est comment on fait l'ajustement. On le fait brutalement, en ne voulant pas que les autorités locales, surtout, réduisent leurs "investissements" (lire, gaspillages dans des travaux sans fins).
Les maires d'ailleurs, viennent d'hériter de problèmes qui n'étaient pas, jusqu'à présent, les leurs. Le débroussaillage assuré jusqu'à il y a peu, par le bétail, leur incombe, mais les administrés ne veulent ou ne peuvent pas payer. Dans l'article du figaro, on que les cons, ça vole en escadrilles fournis. Obliger les propriétaires terriens et absentéistes (tous, pratiquement, quoi), à débroussailler, c'est mission impossible. Débroussailler à leur place, pas davantage réalisable (et puis, au nom de quoi ?); à part si la municipalités veut être ruinée par les procès. Le loup, en bannissant les troupeaux, est 100 % responsables. La différence essentielle étant qu'avant, les troupeaux étaient gardés constamment, les combats avec les loups, fréquents, sinon incessants (heureusement alors que le "loup n'attaque pas l'homme"). L'écolo et le bobo urbain n'assument jamais la responsabilité de sa bien pensance. C'est le contribuable en général qui doit le faire. Les chainages écologique, d'ailleurs, échappent visiblement aux bobos-écolos. En Suisse, la chasse a été interdite, et sa conséquence logique c'est que c'est une adminstration qui chasse...
Côtés infrastructures, les autoroutes plastronnent. C'est toujours comme ça avant la grande chute.
Californie ; après des années de sécheresses, les pluies et les neiges ont été trop importantes pour les dites infrastructures. Les constructeurs, s'ils étaient vivants, pourraient répondre qu'ils n'avaient pas prévus les oscillations de phénomènes climatiques. S'il tombe en moyenne, 82.5 cm d'eau, ils veulent bien entendre parler d'écarts de 77.5 à 87.5, mais pas de 12.5 à 152.5. Cela ne se fait pas, les barrages se sentent mal, et les routes sont emportés par les éboulements, causés par l'alternance des phénomènes de sécheresses/inondations, et puis surtout, l'empreinte humaine est trop importante en certains endroits...
En Islande, d'ailleurs, on en a marre de ces connards de touristes -enfin, pas si connards quand ils amènent leur euros, c'est même le seul moment où l'on veut bien les considérer comme des êtres humains et pas du bétail-. Il faut dire que passer de 500 000 touristes à 2 000 000, ça fait vraiment, bétaillère, avec tous les problèmes d'urines, de fientes, et de nourriture du bétail. Comme tout bon nomade, d'ailleurs, les merdes sont partout, mais le nomade s'en fout. Il ne reste pas.