RETOUR AUX TEMPS ANCIENS...
15 Janvier 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #transport terrestre
"J'ai vu la vidéo : très intéressant avec au final deux idées. La première, le mythe de la voiture électrique pour tous : se sera plutôt le vélo électrique pour tous. La seconde, la décroissance, liée au manque d'énergie, c'est les deux ou trois pulls quand il fait froid.
En gros, l'énergie et les métaux rare étant plus difficile à obtenir, on finit par s'en passer. "
Même le vélo électrique ne sera lui même que transitoire. Le temps que disparaisse le goudron des routes, ce qui devrait être relativement rapide.
Pour l'agro-carburant, ce devrait être bien plus résilient, mais pas avec 35 000 000 de véhicules, une palette de 200 000 à 2 000 000 serait plus vraisemblable. 2 millions, c'est les années 1930, 200 000 ce sont les années 1910, et la route en caillasse. En pavés, là où ils ont des sous...
Parce que, sans investissements (alors qu'on dit que l'investissement dans la téléphonie ont atteint les 90 milliards ces 10 dernières années), la densité de véhicules encore en circulation aura tôt fait de détruire les dites routes, et là aussi, le flux n'est plus adapté aux contraintes physiques de la route.
Grâce à Waze, on a même un état précis de l'état déplorable des routes, chose qu'il faudra corriger avec la nouvelle loi sur les fausses nouvelles.
L'élevage de poules prolifère, y compris à Paris, malgré 128 millions de budget.
La région centre de la France, elle même n'échappe pas à cette dégradation rapide. Donc, le centre économique,que certains qualifient de "poumon", du pays, moi, je le qualifierais plutôt de "boulet"...
Quand on descend au niveau communal, c'est la débandade, avec l'absence désormais totale de moyens. On va vite atteindre le stade ultime, où l'on interdira le passage de poids lourds...
Ces petites communes qui servent de délestage n'auront bientôt plus pour alternatives, que d'interdire le passage... D'une manière ou d'une autre...
Pour ce qui est du pull, c'est le succès au XVIII° siècle des peaux venus de Sibérie ou d'Amérique, allié à l'écurie qui communique avec la seule salle existante, la cuisine. La chaleur des vaches chauffe la maison (c'est très chaud), et socialement, la senteur de la vache est un marqueur. Au XVII° siècle, deux nobles s'entretuent en duel. L'un avait accusé l'autre de sentir "la vache à Colas" (une affaire judiciaire)...
A long terme, c'est plutôt le muletier qui aura le vent en poupe...
Newsletter
Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés.
Pages
Catégories
- 2317 Politique
- 1954 Energie
- 1873 Actualités
- 1471 Economie
- 605 Chronique de l'effondrement
- 447 Immobilier
- 289 transport aérien
- 133 transport terrestre
- 112 pandémie
- 109 Polémique
- 106 politique
- 92 transport maritime
- 74 energie
- 60 economie
- 37 Faits divers