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LES DIVAGATIONS...

22 Février 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique, #Economie, #transport terrestre

Il y a des mauvais perdants, notamment Dupond-Moretti, qui par l'occasion devient Dupont-lajoie, avec son inénarrable :  " "Et si Cahuzac se flingue en taule ?""

Il a triché, perdu, il paie la mise. Il revendique pour sa classe un "droit d'impunité", la taule étant réservée aux ouvriers, employés et chômeurs ?

L'un trouve l'immigration géniale, ce qui est discutable. Encore un type qui ne connait pas le mot "chômage", et qui veut faire plaisir au patronat. Un fonctionnaire qui plaide pour la flexibilité, en ignorant 10 millions de chômeurs, et que le patronat est composé de névrosés. En effet, dans leurs usines, ils acceptent des types venant d'ailleurs, sur parole, mais se font un plaisir oh combien malsain d'éplucher les CV et bien sûr de les recaler sans rémission... Et ensuite de dire ; "on arrive pas à recruter"...
Que les employés, considérés comme des kleenex, traite aussi leur jobs comme des kleenex, quoi d'étonnant ???

A l'inverse, un point de vue beaucoup plus sensé : "Djordje Kuzmanovic (FI) : « L’immigration économique est d’abord un drame pour les pays d’origine »".

Les centres villes, eux, meurent. Aussi en servant de lieux de relégation aux immigrés. Forcément, on peut toujours construire beaucoup plus vite que ne croit la population, et quand celle-ci diminue... On peut donc se poser la question de l'utilité de maintenir le niveau d'activité du bâtiment. En ex-URSS, ce n'était pas considéré comme de l'investissement et de la formation brute de capital fixe, mais comme une consommation. En tout cas, pour la bonne allocation des ressources, c'est zéro.

Bien sûr, les maires multiples ne se sont jamais posé la question de savoir si ce n'était pas eux les responsables. En effet, en multipliant les zones et les locaux, beaucoup plus accessibles en voiture, on a poussé au plus facile. De même, les transports subventionnés ou gratuits n'intéressent que ceux qui les prenaient déjà...Ou encore...

Le chemin de fer français ne peut continuer, nous dit on. Construit pour transporter des marchandises, le fret est tombé à zéro, et maintenant, le CDF transporte des voyageurs. Si le gouvernement veut fermer les lignes déficitaires, il peut fermer la boite, et la RATP en prime. Le voyageurs, c'est jamais rentable.

Mais la notion de lutte des classes n'est pas absente. Dans toutes les sortes de transports, ce sont hommes et femmes "d'affaires", qui intéressent les autorités.

 

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H
"Les voyageurs, c'est jamais rentable."<br /> <br /> Sans doute, mais sans le métro et les train de banlieue, aucune ville ne pourrait dépasser 500 000 habitants, à moins d'avoir tous les jours des embouteillages monstrueux.<br /> <br /> Les transports en commun, même non rentables, ça permet à un pays de continuer à fonctionner quand il fait faillite, comme la Russie pendant les années Yeltsine.<br /> <br /> Il y a des tas de choses qui ne seront jamais rentables : la police, l'armée, l'Éducation Nationale, le système de santé... Même aux États-Unis, où les dettes médicales sont la 1ère cause de faillite personnelle, l'État est obligé de sortir les sous de sa poche, sinon 80% des Américains ne seraient pas soignés du tout.<br /> <br /> Les transports, ça fait partie de l'infrastructure.
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D
"Le patronat est composé de névrosés. En effet, dans leurs usines, ils acceptent des types venant d'ailleurs, sur parole, mais se font un plaisir oh combien malsain d'éplucher les CV et bien sûr de les recaler sans rémission... Et ensuite de dire "on arrive pas à recruter"..."<br /> <br /> Le pire, c'est que s'ils épluchent effectivement les CV, les employés chargés de ce boulot ne vérifient pas grand chose. Du coup, c'est la foire aux exigences et c'est un jeu sans fin où sont éliminés les plus honnêtes. Par ailleurs, on pourrait se demander jusqu'à quel point les annonces de recrutement ne sont pas bidons ou disons pipées. Le patron lance une procédure de recrutement, mais ses employés ont déjà fait passer le mot à leurs proches pour qu'ils postulent en présentant le profil "adéquat". Autrement dit,les patrons croient recruter des candidats ayant passé des filtres sévères, mais ils embauchent des incapables pistonnés. (Et quand on se sait incapable, moins on en fait, moins on court le risque de fauter...)<br /> <br /> Et puis il y a carrément les patrons de mauvaise foi, comme ces artisans qui croulent sous les commandes et prétendent ne pas trouver un seul apprenti : pourquoi former de futurs concurrents quand on peut se contenter de faire flamber la facture en faisant bien comprendre aux clients que s'ils veulent être servis rapidement, il ne faut surtout pas discuter la facture, et que ce n'est pas leur faute, eux embaucheraient bien, mais c'est celle des jeunes qui ne veulent surtout pas travailler ?<br /> <br /> Et n'oublions pas les sociétés de prestation de services qui passent des annonces avant d'avoir remporté un appel d'offres et qui laisseront les candidats sur le carreau sans remords si le marché n'est pas signé...
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S
Effectivement David, la vision du Saint-Patron s'est bien installée en France, alors qu'il y a beaucoup de margoulins.