REFORME DE LA SNCF, TOVARITCHS...
18 Février 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #transport terrestre, #Economie, #Energie
Après le retour de l'appartement communautaire, sous la forme dite "moderne" (quand on ne rajoute pas moderne, c'est pas bon), sous forme de "colocation' (comme ça, ça sonne mieux), l'appartement pourri, dans les banlieues pourries, marque aussi de l'URSS, on nous sort une autre variante.
Le train va donc être supprimé sur des milliers de kilomètres, pour être remplacé par un "droit à la mobilité", sous forme de blablacars ou taxis clandestins à la soviétique, mais sous forme elle aussi "moderne".
Les infrastructures coûteuses, ce sera toujours l'état qui paiera, et les bobos de région parisienne verront les coûts s'envoler. Mon petit "doit", me dit que pour les JO, les parisiens vont déguster, non à la britannique, mais à la brésilienne.
Je dois donc proclamer mon admiration pour la population soviétique, qui avait déjà pas mal de choses, sans même un aïe-phone, ou même un simple téléphone, mais par simple ingéniosité...
Là bas, en effet, tout le monde savait qui faisait le taxi clandestin, où aller, et à quel prix. On amortissait simplement le coût de l'achat d'une voiture.
La région parisienne devient de plus en plus un poids mort et intolérable, parce qu'à l'heure actuelle, le système n'est fait que pour elle, et accessoirement quelques métropoles.
Hors subventions, aucun réseau de chemin de fer n'est rentable à l'heure actuelle. Et souvent, dans le passé, aucun ne l'a jamais été.
La lubie libérale des "réformes structurelles" est ancrée dans l'esprit des hommes politiques, alors que c'est totalement faux. On crédite par exemple, le retour de la croissance (enfin, plutôt, une pause dans l'effondrement), par les réformes Hollande. On peut admirer la boule de cristal des commentateurs, mais le pauvre biquet n'y est strictement pour rien. Merci la FED d'avoir financer sans fin le pétrole de schiste (totalement déficitaire aussi), et permis de produire 6 millions de barils jour de pétrole de schiste...
1600 communes vont sortir des "zones agricoles défavorisées", alors que la situation, depuis 1976, a toujours empirée. Mais là aussi, on préfère subventionner les gros, notamment la région parisienne, complétement étouffée par les pesticides et les engrais (ils en ont de la chance, les petits canaillous.
Apparemment, d'ailleurs, la chute de valeur s'accentue, même si parfois, elle prend des allures humoristiques...
Cela s'était observé aux USA, de façon brutale, mais visiblement, la France prend le chemin de cette même brutalité des phénomènes économiques, qui, bien sûr, ne peuvent toucher Paris...
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