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ORBAN VICTORIEUX...

9 Avril 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique

En Hongrie, et pas qu'un peu. 133 députés sur 199, et la véritable opposition trouvant, comme en Russie, que c'est un mou.

Le financier, l'empire, n'est fort que de la faiblesse du politique, de son larbinisme.

On dit que c'est son bilan économique qui l'a fait réélire, avec près de 50 % des voix. Sans se poser la question de sa fermeté sur l'immigration.

On voit d'ailleurs le même schéma qu'en occident : "Budapest, alors que cette élection vient confirmer une évolution observée ailleurs en Occident : la concentration d’un électorat libéral et progressiste dans les grandes villes, les campagnes restant acquises aux partisans du repli national."

Inversement des signes : les attardés mentaux sont dans les villes centres. Tous paumés, ils ne savent même pas dans quel monde ils vivent.

Les "membres" des états, voient se retirer le flux d'énergie, et donc, le flux vital. En même temps, le caractère de torche-cul des servants zélés du néo-libéralisme et du financiarisme se confirme. La baisse de popularité du marquis continue son piqué, le temps que ses électeurs oublient pour qui ils ont voté.

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F
ce jour micron annonce le retour explicite au moyen age, il veut rabibocher état et religion.<br /> tout cela était implicite. les serfs n'ont qu'à bien se tenir, les armées papales s'entrainent<br /> à NDDL en ce moment
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F
Tout le site est bon; ça parle de notre quotidien avec tous ces tarés qu'on supporte plus ...<br /> <br /> https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.com/2014/10/17/la-mondialisation-de-la-perversion-narcissique-entre-guerre-economique-et-guerre-psychologique/
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F
http://www.dedefensa.org/article/les-noces-google-pentagone<br /> <br /> confirmation une fois de plus d'au combien la démocratie est par essence féodale, c'est à dire aussi mafieuse, ce sont des synonimes.<br /> <br /> tout ce qui se veut démocratique est mafieux, féodal.<br /> <br /> le seul salut visible c'est la république, pure et dure.
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L
Le pire ennemi de la transition est, nous dit-on, le nationalisme et non les énergies fossiles. Ça sort de la bouche du patron de Total.<br /> Pourtant, je pensais que la transition était d'abord locale, même pas nationale, mais a l’échelle des communes et régions (autoconsommation, valorisation des ressources locales, éviter le transport de matière et d’énergie sur de longues distances etc...).<br /> <br /> https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-181424-le-pire-ennemi-de-la-transition-energetique-nest-ni-le-charbon-ni-le-gaz-ni-le-petrole-cest-le-nationalisme-2167684.php<br /> <br /> Un journaliste fanfaronne parce que tenez vous bien, le plus gros gisement de pétrole aurait été découvert, oui, vous avez bien lu, c'est Byzance, bien plus grand que Ghawar lui même.<br /> <br /> https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/le-pic-petrolier-n-aura-pas-lieu_1998336.html<br /> <br /> Les Échos tentent de parler de la surpopulation. <br /> <br /> https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-181377-surpopulation-et-environnement-le-debat-interdit-2167572.php
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L
je pense que l'oligarchie économique,financier et politique, il n'y a plus trop a mes yeux de différences entre les deux a part qu'il se complète pour nous la faire a l'envers :) Le problème auquel il seront confrontés tôt ou tard dépendra de la notion de préférence, elle semblait avoir disparu en europe. Préfèrent-ont se saigner pour les autres ou pour les siens. Mais les autres et les siens c'est juste une histoire de classe sociale et d'affection, d'éducation.Lorsqu'il va falloir commencer a partager cela risque de passer a des classes géographique. C'est déjà le cas en se momment. La mondialisation cela a du bon lorsqu'il y a abondance. Puisque "abondance de bien ne nuit jamais" :)). On peut tout faire, même les pires conneries, puisque cela abonde. Mais lorsque cette abondance commence a se voir partager par un nombre toujours croissant de consommateurs; ou que la production de certains soit plus compétitive cela commence a créer des coincement.<br /> Il ne faut donc pas perdre de vue que pour beaucoup un tient vaut mieux que deux tu aura. Le problème est qu'il y en a qui veulent tout, partout. :)) est toujours plus. Faut quand même être con ou le faire exprès.
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P
Ce qui me fait bien rire c'est le fait que le journal Le Monde disait il y a quelques jours dans un article qu'Orban allait perdre sa super majorité et risquait même de ne pas être réélu. Résultat : l'inverse. <br /> Je crois que c'est du, comme pour l'élection "surprise" de Trump, au fait que les journalistes ne sortent pas de leur monde et ne sortent pas des capitales. Si tu ne sorts pas de Washington pas moyen d'imaginer que les gens ne sont pas comme toi et ne voteront plus pour le système.<br /> L'opposition à Orban (souhaitée par le Monde) elle est comme en Russie divisée et pas très sexy : recevoir l'immigration poubelle (l'Afrique est en croissance mais les classes aisées y ont fait leur business et viennent avec visa en avion). Pour l'extrème droite, Le Monde feint de ne pas la voir.
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S
Le Figaro avait pondu un article laissant entendre que l'opposition avait toutes les chances de gagner. Le lendemain, pas un article en une, mais des envoyés spéciaux pour le spectacle "Zadistes". Après les "fake news", les "no news".
E
La prospérité allemande est un cauchemar pour 40% de ses citoyens<br /> https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/la-prosperite-allemande-est-un-cauchemar-pour-40-de-ses-citoyens-774658.html
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L
On peut en dire presque autant pour la prospérité suisse.<br /> <br /> https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0301470649959-pauvre-en-suisse-la-double-peine-2166677.php
D
[Voici ce que m'indique un spécialiste de la finance et de la banque (ne me demandez pas trop de précisions ;-) ) :]<br /> <br /> {Le montant des encours notionnels des produits dérivés est un indicateur très significatif de l'activité bancaire telle qu'elle se développe aujourd'hui.<br /> <br /> - Cette donnée n'était d'environ que de 500 milliards au milieu des années 80 (pour des couvertures de risques traditionnels sur les prix de certaines denrées agricoles ou de matières premières). Depuis l'encours a été multiplié par 1400 et représente environ 700 000 milliards de dollars. ( 10 fois le PIB mondial)<br /> <br /> - Ce montant reflète la couverture des risques liés aux variations des taux d'intérêt (pour environ 80%) et des taux de changes (pour 9%). Ces couvertures ont été nécessaires dès lors que les taux de changes et les taux d'intérêt ont été progressivement libéralisés durant les années 1970 et 1980.<br /> <br /> - Aujourd'hui ce sont 14 banques à dimension systémique (sur 40 000 banques environ qui existent dans le monde) qui sont à l'origine des contrats de produits financiers dérivés. Ces banques sont dites systémiques dans la mesure où la chute de l'une d'entre elles peut provoquer un cataclysme mondial (ce qui leur donne un pouvoir de négociation énorme vis à vis de toutes les autorités de régulation).<br /> <br /> - Un relèvement brutal des taux d'intérêt (tendance qui voit le jour actuellement sur les T bonds américains) aurait une double conséquence : elle entraînerait une baisse corrélative de la valeur de marché des titres obligataires détenus par les banques, notamment systémiques, ce qui pourrait très vite entrainer la faillite de l'une ou de plusieurs d'entre elles.<br /> <br /> - L'autre conséquence se ferait sentir sur les contrats swap (échange de taux variables contre des taux fixes proposés par les 14 banques) : un relèvement durable des taux d'intérêt ferait subir des pertes considérables sur ces contrats aux banques : elles seraient obligés de subir le risque liés à ces contrats.<br /> <br /> - Ces deux conséquences possibles expliquent en grande partie les politiques d'injection des liquidités des banques centrales : éviter à tout prix un relèvement trop brutal des taux d'intérêt (évidemment le discours officiel est autre : il s'agit, disent-elles, de favoriser la croissance économique en proposant des taux bas).<br /> <br /> - Finalement si une banque systémique fait défaut, un scénario très noir est à craindre selon la séquence suivante. Dans un premier temps, on assisterait à un blocage des marchés interbancaires, puis à un crédit "crunch", et une baisse de tous les marchés financiers. Puis dans un deuxième temps, l'absence de crédit entraine la chute de la croissance économique, des récessions un peu partout, et finalement l'affaissement du commerce mondial. Le troisième temps sera social et politique, avec tous les risques d'affrontements possibles (recherche de bouc émissaire, replis identitaires etc.).<br /> <br /> - la prochaine crise sera plus violente que la précédente car les Etats sont exsangues et n'auront pas les moyens d'éteindre le feu rapidement, comme ils avaient pu le faire en 2007-2008. }
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D
Ah, çà au moins, soulage<br /> <br /> Jean-Vincent Placé, recalé au 13e RDP<br /> <br /> 08 Avril 2018 à 13h23<br /> <br /> En mai 2016, l’Opinion révélait que Jean-Vincent Placé souhaitait devenir colonel dans la réserve citoyenne au 13e régiment de dragons parachutistes, l’une des unités du Commandement des opérations spéciales. L’affaire avait fait un certain bruit…<br /> <br /> Suite aux récentes mésaventures alcoolisées de l’ancien dirigeant écologiste - il sera jugé le 11 juillet devant le tribunal correctionnel pour violences, injures à caractère racial et outrage à agents - le général (2S) Georges Lebel, président de l’amicale du 13e RDP précise que « Monsieur Jean-Vincent Placé n’a jamais été admis à la qualité d’officier de la réserve opérationnelle du régiment ». C’est tout à fait exact. Voici comment les choses se sont finalement passées.<br /> <br /> Alors secrétaire d’Etat chargé de la réforme de l’Etat et de la simplification, Jean-Vincent Placé, de longue date admirateur du 13, avait manifesté sa volonté de l’intégrer, via la réserve citoyenne avec le grade de colonel. Contrairement à la réserve opérationnelle, celle-ci correspond plus à une distinction honorifique qu’à une fonction effective. De nombreux responsables politiques en font partie dans diverses unités.<br /> <br /> Cette demande, formulée par un membre du gouvernement, avait évidemment retenu toute l’attention des états-majors et des cabinets. On y vantait « la fibre patriotique » du secrétaire d’Etat et les nécessités du « rayonnement » de l’armée de terre. Au 13, toutefois, après la surprise initiale, on traînait sans doute un peu les pieds, notamment du fait de l’insistance quelque peu frénétique de Jean-Vincent Placé. Il suffisait d’attendre : en mai 2017, exit Jean-Vincent Placé avec l’arrivée d’un nouveau gouvernement. L’affaire est enterrée sine die. Dans les milieux proches du 13, on explique que le régiment n’a pas besoin de « people dans le dispositif », privilégiant les personnes qui peuvent « appuyer l’outil dans la discrétion ».<br /> <br /> Une discrétion qui n’est manifestement pas la qualité première de l’ancien dirigeant écologiste.<br /> <br /> https://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/jean-vincent-place-recale-13e-rdp-146472
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D
Retraites: le DRH de la Gendarmerie tire la sonnette d’alarme<br /> <br /> 5 avril 2018 A la une, Vie des personnels Laisser un commentaire<br /> <br /> Auditionné par les sénateurs de la commission d’enquête sur l’état des forces de sécurité, le général Hervé Renaud, directeur des personnels militaires de la Gendarmerie a tenu à les mettre en garde au sujet de la réforme du système de retraites. L’inquiétude des gendarmes face à une remise en cause de leur régime de retraite pourrait en effet les conduire à quitter en masse l’Institution.<br /> <br /> “Une inquiétude larvée qui monte”<br /> <br /> “Cela fait partie des sujets de préoccupation majeurs exprimés par nos militaires”, a ainsi asséné le 27 mars le directeur des ressources humaines de la Gendarmerie. Relayant “une inquiétude larvée qui montent gentiment mais sûrement”, le général Hervé Renaud a rapporté l’état d’esprit de ces gendarmes qui déplorent auprès de leurs chefs qu’on ne veuille “pas (les) écouter”. <br /> <br /> Réforme du régime de retraite encore inconnue<br /> <br /> La source des leurs préoccupations se trouve dans la réforme des retraites annoncée par le Président Emmanuel Macron, censée remettre à plat le système actuel, mais dont nul ne connaît les contours exacts. <br /> <br /> Lire aussi sur L’Essor : La commission d’enquête du Sénat sur la sécurité intérieure s’intéresse aux gendarmes<br /> <br /> Les militaires en général, et les gendarmes en particulier, craignent de voir disparaître certaines dispositions de leur régime qui leur sont très favorables en raison des sujétions particulières de leur métier. <br /> <br /> Ni le CFMG ni le CSFM n’ont été reçu par Jean-Paul Delevoye<br /> <br /> Les deux mois sans réponse qui se sont écoulés depuis que le Conseil supérieur de la fonction militaire a demandé à être reçu par le haut-commissaire à la réforme des retraites Jean-Paul Delevoye n’ont rien arrangé. Plaidant pour sa chapelle, le général Renaud a estimé “important que le haut-commissaire aux retraites reçoive les membres du Conseil de la fonction militaire de la Gendarmerie (CFMG)”.<br /> <br /> “18 à 20 blessés par jour”<br /> <br /> Et l’officier général d’égrener ensuite les arguments en faveur d’un régime de retraite spécifique qui prenne en compte les sacrifices demandés aux militaires.<br /> <br /> Lire aussi sur L’Essor : Suicides dans la Gendarmerie : 2018, une année déjà “extrêmement inquiétante” pour Richard Lizurey<br /> <br /> “Je ne connais pas beaucoup d’institutions qui ont 18 à 20 blessés par jour et une quinzaine de morts par an”, a-t-il noté avant de rappeler que “pour remplir sa mission le gendarme peut être amené à tout donner”.<br /> <br /> Tandis qu’il parlait, et comme pour illustrer ses propos, des sirènes résonnaient dans les jardins du Luxembourg, couvrant sa voix par intermittence. Il s’agissait du convoi mortuaire transportant le corps du lieutenant-colonel Beltrame à la caserne Tournon pour sa veillée funéraire.<br /> <br /> Un pic générationnel déstabilisant<br /> <br /> Le directeur des personnels militaires a ensuite mis en garde contre un risque plus systémique qui pourrait toucher la Gendarmerie en cas de réforme des retraites trop défavorable aux gendarmes. <br /> <br /> Dans les cinq années à venir, en effet, la Gendarmerie va être confrontée à un défi important en terme de recrutement. Entre le flux habituel des gendarmes adjoints volontaires (7000 par an) et les départs en retraite massifs des personnels rentrés dans les années 80 (3000 par an), la Gendarmerie devra former 50 000 personnes dans un laps de temps très court. <br /> <br /> Lire aussi sur L’Essor: La Gendarmerie va devoir former 50.000 nouveaux gendarmes d’ici cinq ans<br /> <br /> “Si, par hasard, il y avait une évolution du système de retraite foncièrement déstabilisante ou vraiment en rupture par rapport à l’existant, je pourrais avoir des départs irrationnels”, a averti le général Renaud. <br /> <br /> “Je ne serai pas en mesure d’assurer la sécurité des français”<br /> <br /> Dans cette hypothèse, 15000 sous-officiers de Gendarmerie pourraient quitter la Gendarmerie au pied levé car ils remplissent déjà les conditions d’ancienneté statutaires pour faire valoir leurs droits. Avec des écoles déjà remplies en raison du pic générationnel, “si demain, je dois en chercher 15000 de plus, à mon sens, je n’y arrive pas et je serai pas en mesure d’ assurer la sécurité des Français”. <br /> <br /> Au delà de la capacité des écoles, il s’agit de conserver une qualité minimum du recrutement dans un marché du travail concurrentiel car lui aussi touché par le phénomène des départs en retraite. Pour contrer ce phénomène, le général de corps d’armée estime donc “important (…) qu’assez vite, nous ayons un cap”. <br /> <br /> Matthieu Guyot<br /> <br /> https://lessor.org/retraites-drh-gendarmerie-alarme/
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F
depuis 50 ans tout le monde se moque du minitel qui a d'ailleurs disparu ....<br /> et depuis quelques années tout le monde se plaint des dérives de plus en plus abjectes<br /> du web et des appli. Et voilà le résultat:<br /> https://anotherwhiskyformisterbukowski.com/2018/02/24/deteste-web-daujourdhui/<br /> <br /> vives les porcs! telle est la devise du web et de tous ceux qui se gavent de lui et sur lui.
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F
petit à petit la vérité sort ...<br /> <br /> http://www.liberation.fr/debats/2018/04/04/jeune-et-musulman-donc-radical_1641055<br /> <br /> le retour à la république, la vraie, la dure, vite !<br /> Car la démocratie c'est et cela a toujours été féodal.
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B
En même temps, la vie dans la Capitale ressemble de plus en plus à celle de villes de pays du Sud. Voici des problèmes apparus récemment.<br /> <br /> - Insécurité aux distributeurs de billets :<br /> https://www.24matins.fr/paris-le-nombre-dagressions-aux-distributeurs-de-billets-explosent-753288<br /> <br /> - Villes de tentes :<br /> http://www.liberation.fr/france/2018/04/04/a-paris-des-migrants-toujours-entasses-dans-des-campements_1641103<br /> <br /> - Gamins dans les rues qui se shootent :<br /> http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-l-ingerable-probleme-des-enfants-des-rues-28-03-2018-7634532.php<br /> <br /> Je vous conseille de suivre ce fil Twitter d'un habitant du 18e arrondissement, si vous voulez découvrir les joies de la vie parisienne :<br /> https://twitter.com/jule7518<br /> <br /> Nos élus sont arrivés à obtenir une situation humaine dramatique, analogue à celle de grandes villes brésiliennes, en menant un politique d'ouverture et de bienveillance, en seulement quelques années. Il sont très forts, il n'y a pas à dire !
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B
Hongrie : le nationaliste Viktor Orban triomphe aux législatives.<br /> <br /> Le Fidesz, la formation d’extrême droite du premier ministre, remporte largement les législatives face à une opposition divisée.<br /> <br /> Le Fidesz, le parti de Viktor Orban, a recueilli 48,5 % des voix. Cette progression de quatre points devrait permettre à M. Orban de décrocher, une fois encore, une majorité des deux tiers au Parlement, avec 133 sièges sur 199. <br /> <br /> Avec 19,61 % des suffrages, le parti d'extrême droite Jobbik peut certes revendiquer sa suprématie dans l’opposition. Mais son chef de file, Gabor Vona, a échoué à s’imposer dans sa circonscription et a annoncé sa volonté de passer la main. <br /> <br /> Les socialistes (MSZP) ont recueilli 12,3 %, les Verts (LMP) 6,87 % et DK, une formation de gauche dissidente de l’ancien premier ministre Ferenc Gyurcsany, 5,55 %. <br /> <br /> Leur présence dans l’Hémicycle sera symbolique et ils représenteront surtout les habitants de la capitale, Budapest, alors que cette élection vient confirmer une évolution observée ailleurs en Occident : la concentration d’un électorat libéral et progressiste dans les grandes villes, les campagnes restant acquises aux partisans du repli national.<br /> <br /> http://www.lemonde.fr/europe/article/2018/04/08/elections-en-hongrie-orban-donne-vainqueur_5282652_3214.html
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