L'OFFRE QU'ON NE POUVAIT PAS REFUSER ?
26 Juillet 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique
Les mafias ont toutes le même mode opératoire.
D'abord, elles parlent doucement, font la demande poliment, sans éclat de voix et sans publicité.
Après, si il n'y a pas obéissance, il y a le gros bâton.
C'était la manière de parler de Teddy Roosevelt aux sud américains.
Trump a fait ses affaires dans l'immobilier new yorkais. Vu le degré de gangrène mafieux atteint dans ce secteur, on peut dire qu'il devait être bon dans son domaine.
Trump a fait à Macron, une offre qu'il ne pouvait refuser : sortir de l'Union européenne. En échange d'un traité de libre échange avec les USA (Ceux-ci ne craignent guère les exportations françaises).
Le p'tit culotté qui oscille entre Louis XIV et Napoléon a refusé. La suite est donc logique. Il croyait que la déstabilisation c'était juste pour les bananas republics ?
Mai 68, ça lui dit quelque chose ? Non. Pourtant, il est de notoriété que la CIA était sur la brèche, après les tentatives d'assassinats de De Gaulle. Et la suppression physique de l'OAS par Pasqua ?
Il croyait marcher sur l'eau ? Et guérir les écrouelles ? (Non, il aurait fallu rencontrer des pauvres).
Si les capacités militaires de nuisances des USA sont en chute libre, il n'y a pas besoin d'autant pour faire tomber un petit gouverneur d'Europe occidental. Surtout vu le nombre d'agents et de relais dont les USA disposent.
Comme le KGB jadis détruisit lui même son glacis de l'est, pour certains, les petits gouvernants doivent s'aligner ou disparaitre.
Visiblement, Bannon n'est pas à la retraite, et travaille à Bruxelles. "Macron et Merkel tomberont comme des quilles."
Mépris aussi pour l'énarque incapable : « C’est un banquier de chez Rothschild qui n’a jamais fait d’argent - la définition même d’un perdant - et qui vendrait son âme pour rien. Macron rêve d’être quelqu’un. Il veut être une figure historique mondiale, il s’imagine en nouveau Napoléon. »
En plus, l'impudence du personnage donne des verges pour le battre. Pour Sapir, le caïdat de cour de récré est une menace de guerre civile. Le petit gamin jocrisse et égocentrique est décidément en dessous de tout.
Quant à l'efficacité des services, pour une menace de grande importance, elle serait nulle. Ce serait autre chose que de gauler 10 types qui ont trop parlé.
En son temps, Pasqua, c'était Pasqua, pas Benalla. Un type qui en sait assez sur les coups tordus, la culture mafieuse, et pas un gros bras de banlieue, qui se fait punir de ses incartades par 15 jours de congés payés.
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