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TRUMP "EMBOURBE"

4 Août 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique, #Economie, #Actualités

Nous dit le comic's appelé "les échos", toujours bon pour raconter n'importe quoi.
Un déficit installé depuis si longtemps, mettra du temps à se résorber, à moins, bien sûr que le Titanic appelé "USA", ne coule à pic, ce qui reste du possible, à court terme, du probable à moyen, et du certain à long terme, avec le problème des 500 milliards de déficits qu'ils adressent en commandes au reste de la planète...

A cette insondable bêtise, vient s'en rajouter une autre. La chute de certaines devises, comme le yuan, c'est clairement du protectionnisme, mais jamais identifié comme tel par les pisseurs de copies.
Les tarifs sont inefficaces, nous dit on ? D'abord, il faut reconstruire l'appareil de production, ce qui ne se fait pas en un tour de main, et puis, essayons le tarif à 50 %, 75 %, 100 % puis 300. On verra si ce n'est pas efficace !

On verra si, au moment de l'effondrement des USA, que provoquera ce déficit commercial farfelu, mais qui ne choque personne, si l'onde de choc n'est pas pire que la reconstruction d'une industrie...

Décidément, aux échos, ils doivent recruter leurs journalistes dans un diner. Celui qui gagne est embauché...

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L
@Horzabky<br /> <br /> Les climatologues dont tu parles ont peut-être fait la même connerie que moi, cela du à la chaleur (et uniquement à la chaleur, Ben, la chaleur et bien sûr la soif intense à 2h du mat). <br /> Taper «antropique » par mégarde, et le correcteur de word qui vous sert « entropique » presque en tête de liste (« anthropique » est caché par la vilaine bulle de 1664 sur le haut de vos lunettes), et roulez la faute énorme d'homonymie !<br /> Sinon, Moâ, l'Ange Exterminateur, et Reymond, ont tout dit sur la dyslexie organisée et généralisée.<br /> Je le ferai plus je le jure.<br /> <br /> @ Boro<br /> <br /> ''''...ce dont je suis certain c’est qu’on assiste à un changement de culpabilité et celui-là est permanent.''''<br /> <br /> Un changement ou un retour de la culpabilité ? <br /> Jadis, la colère des éléments était bien interprétée comme procédant de la colère de(s) Dieu(x). Pense aux sept plaies d’Égypte.<br /> Le problème est que les dieux se font rares aujourd'hui, et ceux qui restent ne font pas le poids contre les idéologues, leurs ersatz, et les manipulateurs qui n'ont rien dans le crâne mais tout dans les poches.<br /> On peut donc s'attendre à ce que les culpabilisés acceptent et fassent n'importe quoi.
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A
Le vinaigre en trop, pique.
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L
(Noblesse oblige)<br /> <br /> Le vinaigre en trop, pique<br /> Mais ce remède, sous les tropiques<br /> Sert à anesthésier la tique<br /> Et fait fuir le moustique.
B
@ La Gaule<br /> 70 ans passés et pas besoin de faire une analyse de sang pour savoir que j’ai trop duré.<br /> Pour les désordres climatiques, ma grand-mère savait que c’était la faute des Spoutniks. Elle lisait beaucoup les revues scientifiques telles que France Dimanche et par-dessus tout elle était mariée avec un polytechnicien. Le résonnement scientifique est une MST. De plus, elle avait une forte conscience politique comme en attestait la flaque qu’elle laissait sous elle chaque fois qu’elle voyait Lecanuet à la télé.<br /> Depuis mon enfance donc, j’ai appris que le dérèglement climatique était le fait des russes avec leurs machines diaboliques. Le phénomène depuis s’est estompé avec l’envoi des gentils satellites américains.<br /> Là où j’ai du mal à suivre c’est quand j’entends ces petites dévergondées qui ne couchent même pas avec des polytechniciens nous dire à la même télé que ce sont les gars à Effetzer. Oh les méchants ! Toutes mes valeurs sont bouleversées. Je ne sais pas si on assiste à un changement climatique mais ce dont je suis certain c’est qu’on assiste à un changement de culpabilité et celui-là est permanent. <br /> C’est quand on arrive plus à suivre les changements d’opinion qu’on réalise qu’on est trop vieux et qu’il serait temps d’aller se reposer.
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H
@ La Gaule<br /> <br /> "des tenants du réchauffement climatique d'origine entropique (théorie des gaz à effets de serre)."<br /> <br /> Non, ça n'a rien à voir avec l'entropie, il s'agit du réchauffement climatique d'origine ANTHROPIQUE, c'est-à-dire humaine... Pourquoi certains climatologues s'obstinent à dire "anthropique", au risque de confusion avec ENTROPIQUE à l'oral, est un mystère... "réchauffement climatique d'origine humaine" semble pourtant clair et bien français...
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L
La canicule semble tirer ses derniers feux, pour ce mois -ci tout au moins.<br /> <br /> http://www.meteo-paris.com/actualites-meteo/quel-risque-de-nouvelle-canicule-d-ici-la-fin-de-l-ete-05-aout-2018.html<br /> <br /> Mais cela m'étonnerait que l'ami BA ne remette pas le couvert sur la question. Donc, d'avance, reposons le débat la tête froide après une douche.<br /> Ci-après un article alarmiste, tiré d'un lien donné par le blog de Berruyer, dont c'est l'un des fonds de commerce -avec le point de vue « raisonnable » sur les attentats du 09/11.<br /> <br /> https://www.les-crises.fr/il-va-falloir-vivre-avec-ces-canicules-durant-plusieurs-decennies/<br /> <br /> Je le trouve très emblématique -sans excès, c'est pourquoi je le donne en exemple- du camp des tenants du réchauffement climatique d'origine entropique (théorie des gaz à effets de serre).<br /> Il part de faits mesurables scientifiquement mais forcément particuliers (LE climat de la planète est une vue de l'esprit) pour valider sa théorie favorite, cela avec les arguments d'autorité d'usage -convocation de l'inévitable et floue « communauté scientifique » et de quelques comités Théodule qui prétendent l'incarner dans sa totalité.<br /> L'un des commentateurs de Berruyer commet à son sujet la mortelle erreur de vouloir à tout prix chercher des sombres motivations vénales aux convictions de cet homme. <br /> Cela disqualifie la valeur de ses arguments puisque des margoulins, on pourra toujours en trouver des deux côtés vu les intérêts en jeu.<br /> <br /> L'autre article ne vient pas vraiment d'un climato-sceptique puisque son auteur (dont j'ai déjà parlé ici) se démarque de ceux qu'il appelle les « climato-sceptiques purs et durs » .<br /> <br /> Le site de Frédéric Decker<br /> http://www.lameteo.org/<br /> <br /> Lui reprend les mêmes faits que l'article précédent mais les relativise en les replaçant dans un contexte global incertain, et surtout en débordant du cadre historique étriqué généralement invoqué par les « réchauffistes » (terme péjoratif mais commode).<br /> Quelques morceaux choisis  de l'article de F. Decker :<br /> <br /> http://www.lameteo.org/index.php/news/3074-canicule-questions-reponses<br /> <br /> ''''Nous sommes actuellement dans la période la plus chaude qu’aient connue la Terre, l’Europe et la France, depuis environ 700 ans, donc depuis au moins les environs de l’an 1.300, fin de l’Optimum Médiéval. L’Optimum Médiéval était une période chaude, notamment en France et en Europe, entre 800 et 1.300. A cette période, les étés caniculaires se succédaient déjà les uns aux autres de façon effrénée. Les écrits de l’époque et la paléoclimatologie l’attestent. A suivi le Petit Age Glaciaire de 1300 à 1850, 550 années fraîches à froides, ponctuellement chaudes mais rarement, marquées par un refroidissement des quatre saisons et une raréfaction des canicules.<br /> Mais plus près de nous, on constate aussi des variations en terme de fréquence des canicules : fréquentes entre la fin du 19ème siècle et le début du 20ème, puis dans les années 30-40, elles ont brutalement reculé de 1950 à 1981 à la faveur d’un petit fléchissement des températures terrestres, européennes et françaises. Cette baisse, de l’ordre de 0,6 degré chez nous, a suffi à rafraîchir trois saisons sur quatre, printemps, étés et automnes, et à faire chuter la fréquence des jours chauds, très chauds et des canicules. <br /> Depuis bientôt 40 ans, c’est l’inverse : la hausse rapide des températures (+1,6 degrés en France entre les années 70 et les années 2000), a vu le retour des canicules, avec une fréquence, une intensité et une durée plus longues.''''<br /> <br /> ''''Le réchauffement climatique produit davantage de canicules. Mais les canicules ne produisent pas le réchauffement climatique ! Cet été 2018, très chaud et même parfois record sur une grande partie de l’Europe, au Japon, sur l’est du Canada, ne prouve rien. Et pour cause : il faut une tendance lourde (sur 15, 20, 30 ans) pour affirmer un changement réel. L’été 2018 ne suffit pas.<br /> Alors que le printemps et la première moitié de l’été étaient anormalement chauds sur ces contrées, l’Espagne, le Portugal, le Maroc et l’ouest de la Méditerranée en général restaient presque constamment sous les moyennes saisonnières. Une large partie de l’Amérique du Sud connaît également une période froide longue et récurrente ces derniers mois... Ce qui montre que le principe des vases communicants fonctionne toujours : quand il fait trop chaud quelque part, il fait trop froid ailleurs.  ''''<br /> <br /> '''Bien sûr, pas question de minimiser le réchauffement climatique moderne. Mais lorsque l’on s’intéresse à l’histoire du climat, on comprend vite que nous ne connaissons finalement pas une période exceptionnelle : il a déjà fait beaucoup plus froid, il y a peu, et beaucoup plus chaud… il y a peu aussi à l’échelle de la durée de vie de notre planète : aussi chaud qu’aujourd’hui, à peu de choses près, entre 800 et 1300, et beaucoup plus chaud entre -3000 et -1000, durant l’âge de bronze, avec environ 2 à 3 degrés de plus qu’aujourd’hui et un Sahara… encore bien vert !<br /> Entre les « réchauffistes » du GIEC et des médias et les « frigoristes » que sont les climato-sceptiques purs et durs, il est important de savoir être plus nuancé. Le seul fait de s’intéresser au climat et de chercher à s’informer, en cherchant plus loin que la période 1880-2018 sans cesse mise en avant alors qu’il s’est passé énormément de bouleversements climatiques antérieurement à 1880, permet justement de ne pas tomber dans l’alarmisme et le catastrophisme du GIEC ou de Jean Jouzel qui buzze (bugue?) et nous annonce 55°C dans 30 ans en France, ni dans le refus de voir la réalité du réchauffement des climato-sceptiques.''''<br /> <br /> '''Nous sommes dans une période interglaciaire… pas particulièrement chaude. Entre deux glaciations, notre Terre a déjà connu des réchauffements extrêmement brutaux et importants. Même en 2018, nous sommes dans une phase très modérée de notre climat, ni trop froid, ni trop chaud. Le climat n’est pas déréglé puisqu’il n’est pas réglé ! ... Le problème aujourd’hui, ce n’est pas le climat, mais plutôt l’homme qui ne semble pas prêt à s’adapter ! … L’homme est victime de son propre mal. Le climat finira par s’auto-réguler comme il l’a toujours fait. Mais la planète est malade par bien d’autres aspects plus graves : pollution des airs, des mers, des cours d’eau, du sol et une surpopulation galopante qui ne fait qu’aggraver les problèmes environnementaux.    ''''<br /> <br /> ''''… durant l’été 1911, des canicules se succèdent de début juillet jusqu’au 13 septembre (encore plus de 35°C à Paris début septembre !), soit plus de deux mois de fournaise, entrecoupés de très courts répits de chaleur plus modérée.  Un été torride arrivé pourtant au pic d’un rafraîchissement du climat sur les trente années précédentes ! Durant cet été, on compte pas moins de 40.000 morts en France, quasiment trois fois plus qu’en 2003 ! Contrairement à cette dernière, la surmortalité concernait surtout les nourrissons et les enfants, dans une moindre mesure les personnes âgées. <br /> … Outre des périodes de canicules durant l'été 1921 se poursuivant jusqu'au 20 octobre dans le sud (!!!) et dans une moindre mesure sur le reste de la France, un blocage anticyclonique exceptionnel s'est produit entre décembre 1920 et mai 1922, soit un an et demi ! Et pas seulement sur l'Europe, mais aussi sur la Russie et l'Amérique du Nord, quasiment toute l'hémisphère Nord ! Un événement totalement inédit et isolé, puisqu'il ne s'était a priori pas produit avant (entre 1650 et 1920) et ne s'est pas produit après. Les conséquences furent évidemment catastrophiques, avec seulement 270 mm de pluie à Paris en 1921, soit moins que lors d'une année "normale" au... Sahel ! Les rendements agricoles furent modiques sous cette sécheresse extrême étant donné l'étendue géographique hors-norme. Mais à l'époque, les médias n'en faisaient pas des tonnes et on ne parlait pas de "changement climatique"... <br /> <br /> Voilà ! J'espère que cela vous aura intéressé. Figure-toi que c'est c'est le but, Ben. <br /> Faire l’intéressant pour t'intéresser et te sortir de la pente funeste qui mène du spleen à la boisson. <br /> Si ça ne va pas, je connais un truc épatant. <br /> Un litre de Vichy avec une cuillerée à soupe de vinaigre de cidre à 5 % dedans. Radical pour éponger les cuites, Ben.
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