AUCUNE PAIX DE REPRESAILLES N'A DURE DANS L'HISTOIRE...
5 Novembre 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique
Qui a dit ça, et dans quel contexte ? Je vous le laisse découvrir.
En attendant, une période se clôt. Celle de l'euro fort. Et des Banques.
Celle aussi du IV° reich, soit disant plus pacifique que les autres qui tentèrent l'aventure de la conquête du monde.
Il y a aussi un trait d'union entre Hitler et Merkel. Celle de s'accrocher au pouvoir comme un morpion.
Un morceau d'anthologie : " Les « politiques monétaires » n’ont jamais conduit quiconque à la prospérité. Les bons investissements, la bonne gestion et la concurrence le permettent. Les « politiques monétaires », à l’inverse, détournent l’argent des meilleurs investissements, dissuadent la bonne gestion et faussent la concurrence. "
Bien entendu, il n'est pas venu à l'idée de l'auteur de ces lignes que personne ne sait à l'avance ce que seront les bons investissements, la bonne gestion et la concurrence... Sinon, félicitations, l'auteur a résolu le grand problème du capitalisme : comment transmettre la valeur dans le temps...
Il n'existe que deux variables d'ajustement, la monnaie et la main d'oeuvre, d'où baisse des salaires et chômage.
Le système international actuel repose aussi sur deux paramètres (non négociables) : de plantureux versements de dividendes et des rachats d'actions. Comme les entreprises n'ont pas le premier rond pour le faire, cela n'a pas d'importance. Ils s'endettent à quasi 0 % pour le faire. Le problème survient quand le 0 % n'existe plus. Et les faillites avec.
La crise politique va survenir, par exemple en France, quand un gouvernement stupide et crétin, s'entête avec les hausses de l'essence, sans comprendre que celle-ci a remplacé le pain de 1789.
D'ailleurs, les perspectives s'annoncent mauvaises pour le gouvernement, entre une popularité en berne, et des sondages pour les européennes en berne. Il est clair que le môle solide, c'est le RN avec plus d'ailleurs, ses électeurs, que le parti lui même. Comme l'a dit un élu écologiste, peu suspect de sympathie avec le RN, que comparer Mussolini et Hitler, à Salvini et MLP, c'était absurde. D'autant que les éléments de pouvoir des années 1930 (militants et forces de combats) sont absents.
Il est d'ailleurs assez hilarant de voir certains points de vues journalistiques minimisant les poussées. L'avancée des pestiférés n'est plus qu'un coude à coude.
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