LA RAMASSE...
8 Novembre 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #energie, #politique, #economie
Les fins d'empire, c'est aussi le rachat d'entreprises pour pas grand chose, qui donne une rentabilité fictive parce que la "nouvelle entreprise", ne représente plus le coût de réalisation de l'investissement.
Dans cette catégorie, on a le rachat d'entreprises de forages de pétrole de schiste. Mais il faut faire la différence entre ceux qui forent à 100 % du coût, et ceux qui rachètent pour 10 % de cette valeur.
Dans les centrales au charbon, le principe est le même. Les opérateurs historiques vendent pour une bouchée de pain. Et que certains rachètent une fraction du prix initial. (Bernard Tapie, sort de ce corps !).
Mais la création d'une nouvelle structure est impossible. Là, le calcul s'avère judicieux.
Par contre, les gros cons, signalés par Todd, font partie de cette catégorie qui rachètent leurs propres actions.
Pas stupides les classes dirigeantes ? Si. Elles détruisent le biotope qui les nourrit si bien. Et ce n'est pas avec leurs avoirs de papiers qu'ils survivront à l'après. Ils ne savent rien faire dans une société sans énergie carbonée.
Pour d'autres, la transition sera plus rapide et plus concevable.
L'image du crétin faisant partie des 30 % les mieux placés de la société, et ayant voté Macron, fait de plus en plus furieusement penser à Will E. Coyot, ingénieux, mais dont tous les tours foirent, et qui ne s'aperçoit du vide sous ses pieds qu'à retardement.
L'homme d'avenir, ce n'est pas le d'jeun cadre d'ynamics, c'est le gros beauf à la machette affutée.
Visionnage conseillé : Outlander. Ou retour vers le passé et ses moeurs vigoureuses.
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