MONDE DE DEMAIN CONTRE MONDE D'AVANT...
Le monde d'avant, merveilleusement personnalisé par Macron, n'en finit pas de se mourir.

Macron aime bien les vieilleries. Il en faut pour tous les goûts me direz vous.
Il s'effondre -encore- dans les sondages, mais on peut trouver sa côte de popularité encore très importante, vue la population pour laquelle il travaille (le 1 %).
A l'image des médias, ce sont les têtus et obstinés, qui refusent de voir la vérité. Pour les 4 % de très satisfaits, il n'y a rien à faire.
Le pouvoir est prudent, vis-à-vis de la jacquerie, et il a bigrement raison. Parce qu'il faut bien appeler ça une jacquerie. Bien sûr, il pourrait l'écraser. Et après ? Finir à 1 % de popularité et 5 % aux européennes.
Historiquement, on a vu les résultats du Bloody Sunday. Le massacre a débouché sur 25 ans de guerre et le gonflement des rangs de L'IRA. Beau score. Et bel illustration des résultats de la répression à grande échelle.
PJ délire sur la frontière irlandaise et le Brexit. Bien sûr que le Brexit est possible.
Mais il faut le vouloir, quand à la frontière nord irlandaise, il faut rappeler l'histoire. Lors de la séparation des deux Irlande, on a donné à l'Ulster 2 comtés qui étaient clairement catholiques et nationalistes et 2 mitigés, pour seulement 2 qui étaient clairement protestants et orangiste.
Rien n'empêche de bouger les poteaux frontières. Ils n'ont fait que ça aux cours des siècles (Adolf Hitler).
Même les rectifications mineures, les orangistes les ont refusées. Pourquoi ? Paranoïaques et cinglés, ils voulaient avoir leur minorité à maltraiter. On ne change pas plusieurs siècles de comportements pervers. "Syndrome de Massada", en plein éclairage.
Quand à PJ il faut aussi lui rappeler un circuit économique qui a existé longtemps, le "smuggler express", ou train des trafiquants. Il allait soit dans un sens ou dans l'autre. Mais visiblement, rien n'empêchait les affaires suivant le cours des monnaies et d'autres paramètres.
Mais vu l'évolution démographique, les unionistes devraient vite larguer les 4 comtés devenus catholiques ainsi que les districts qui le sont, et rester dans leur asile psychiatrique, avec leurs entonnoirs. Quand aux anglais, aux écossais et gallois, ils seraient très heureux de se débarrasser -enfin- de l'Irlande. Faut il que le gouvernement britannique soit toujours éternellement à la botte des orangistes ? Dans ce cas, il faut trancher.
Les élites sont elles devenues tellement tarés qu'elles ne puissent pas s'adapter à un Brexit ???
Quand aux gilets jaunes, ils étaient sans doute plus près de 1.2 millions que des moins de 300 000 reconnus par le gouvernement, et le dimanche, il y avait bien plus que les 150 points de blocages reconnus. Sans doute plus de 1000 et pas loin du nombre identifié la veille.
Lutte des classes ? Oui. Mais avec des syndicats aux abonnés absents (achetés à la note de frais ?).
Rappelons une intervention de Delamarche : "
“Oui, il y a un ras le bol général depuis les élections avec Macron où on a quand même l’impression qu’il est nul à l’extérieur et nul à l’intérieur. On se demande si on va pouvoir supporter ça pendant 5 ans. […] Il se prend pour un dirigeant ? Sérieusement ? Enfin !! Il est grotesque depuis le début, on sait qu’il ne sert à rien. Il l’a dit lui même, c’est l’Europe… Il dirige rien du tout le pauvre. Il est tellement pathétique depuis le début qu’il n’y a pas grand chose à raconter sur ses déclarations qui sont toutes plus nulles les unes que les autres. Ca n’a pas grand intérêt.”"
Ca, c'est pire que tout. Il le catalogue en Louis XVI, capable de lire une bibliothèque de haute volée. Mais incapable de comprendre la vie. Parce qu'elle n'était pas écrite à la bibliothèque.
Sans doute, Collomb, en tant que ministre de l'intérieur était bien informé, et a su en tenir compte. Le gouvernement ? Lui, n'en tiendra aucun compte.
Dans le politiquement correct, on soupçonne une agression homophobe.
Dans le monde réel, un lobby doute des facultés mentales de Macron, qui s'en est fait un ennemi. Faut voir la gueule des proprios du lotissement à côté de chez moi (celui qui ne se vend pas).
Pathétique aussi, comme le dit Delamarche, à l'extérieur. Le monde ne correspond pas à ses attentes.
Pathétiques aussi, les lapins crétins euronouilles.
Pathétique aussi, l'ex-star éteinte de 1968 qui défend le président.
La vérité ? Une pénurie physique de pétrole est en vue. Pitrerie aussi : c'est le Figaro qui s'en aperçoit, 50, 40,30 ou 10 ans, après les menaces... Mais comme le dit Gail Tverberg, pas forcément flambée des prix.
Pour finir, je citerais : "Matthieu Auzanneau : « Augmenter les taxes sur l’essence sans proposer d’alternative cohérente, c’est faire le lit du fascisme »".
Encore une vieille rengaine. La menace du fascisme ? On nous a sorti ça en 2002 et en 2017. Il faudrait acheter un cerveau. Mais il faut signaler ce qu'était le fascisme des années 1930. A l'opposé des partis de droite traditionnels, ils avaient quand même le souci des petites gens.