PREUM'S

C'est moi qui l'ait dit le premier. Je revendique. G. Tverberg confirme que selon elle, 2019 est le début de la fin.

"l’économie mondiale passe progressivement d’un mode de croissance à un mode de contraction." Pendant ce temps là, le matamore mignon poudré et pommadé continue à insulter les "feignasses" de français. Le choix va être très vite à faire à l'Elysée entre la valise et le cercueil, mais je ne sais pas s'il est assez intelligent pour faire la valise. 

Lui et ses copains milliardaires vont débarrasser bientôt le plancher. Pour le chef de guerre. Les tensions internes ne vont que croitre. Et LREM veut adapter le pays à une mondialisation moribonde, qui vient d'entrer aux soins palliatifs. Là aussi, une belle tête de vainqueur pour les marcheurs. Là, je me rappelle "un taxi pour tobrouk", à savoir qu'un con qui marche va plus loin qu'un intellectuel assis. Mais, là, le con qui marche, va au suicide. A l'époque du taxi, le con était beaucoup moins con. Il savait au moins où il allait, il avait un but.

Le pic industriel d'abord, peu de temps après le pic alimentaire. Il est clair aussi que l'ajustement risque d'être très brutal. Je ne pense pas qu'il puisse être progressif. Surtout avec un gouvernement aussi terriblement limité intellectuellement parlant, et des bruxellois fous.

Que la population continue son expansion pendant une génération, dans ce cadre, cela me parait douteux.

Deux constats intéressants :

- " China's economy is showing signs of extreme stress, and not just because of President Donald Trump's trade war."

- Le charbon australien n'a plus d'avenir, indépendamment de l'importance de la ressource.

La pénurie énergétique ne se réglera pas forcément par une flambée des prix. Les quantités marginales font le prix. Une moindre demande peut les propulser dans la cave. Finalement, les capacités de stockages sont très réduites... Encore moins les disponibles...

"3. L'économie mondiale n'échoue pas nécessairement d'un seul coup. Au lieu de cela, les pièces qui sont, dans un certain sens, des utilisateurs «moins efficaces» d’énergie peuvent reculer. Au cours de la grande récession de 2008-2009, les pays qui semblaient être les plus touchés étaient la Grèce, l'Espagne et l'Italie, qui dépendent du pétrole pour une part disproportionnée de leur consommation totale d'énergie. La Chine et l’Inde, dont les sources d’énergie sont dominées par le charbon, sont beaucoup moins touchées."

Dans ce cas d'espèce, si l'Inde a une toute petite marge de manoeuvre charbonnière, la Chine, pas du tout. La population chinoise diminue, et la population active, encore plus.

G. Tverberg indique, comme moi même, que la première guerre mondiale a été déclenchée aussi par le pic charbonnier britannique (et le tassement de la puissance britannique correspond aussi, en 1865, avec la décroissance de la productivité des mines). L'Allemagne a voulu se saisir du sceptre à ce moment. pour la seconde, c'est à mon avis, la volonté d'accéder à des ressources supplémentaires alors que les siennes piétinaient... D'ailleurs, Hitler était obnubilé par les questions économiques et énergétiques.

""Something Biblical Is Approaching" - Here Are The Scenarios Of The Collapse" Pendant ce temps, on peut noter l'ineptie macronienne.

Comments

[Mario]

Something Biblical is approching !!

Les économistes sont des religieux.

Ils ont leurs dogmes, leurs fondements, leurs chapelles aussi comme leurs prophètes, et eux aussi savent et attendent l’Armageddon au balcon de la banque centrale US, le nouveau Vatican.

[anonymous19]

Logique, leurs maîtres font le travail de Dieu.