GJ XIV°

XIV° séance pour les gilets jaunes, avec 41 500 manifestants selon la police, plus de 100 000 selon les GJ, 230 000 pour la police (syndicat police en colère). Avec une nette décrue de la violence, sans doute due à la condamnation de l'ONU et de l'UE.

"La condamnation de la France par l’ONU et l’Europe en matière de répression des Gilets jaunes a semble-t-il conduit à une modification de la doctrine du maintien de l’ordre pour cet acte 14... "

Les dirigeants français hypocrites, pris la main dans le pot de confiture...

Sans doute aussi une certaine peur de la part des policiers. Si la justice, totalement larbinisée, ne poursuit pas, les préfets, eux, ont saisis les affaires internes, de plus, vu la sujétion à des traités européens, des saisies des cours étrangères sont à craindre, avec beaucoup de dégâts, notamment financiers.
Pour les policiers, toujours d'après le syndicat policier en colère, les policiers ayant été violant seront lâchés en rase campagne par ceux qui ont donné les ordres...
les hommes politiques ne se distinguent pas par leur vaillance et héroïsme. Ils sont toujours "responsables-mais-pas-coupables".

Seul, Pierre Laval fut condamné pour ses activités, mais il fallut choisir un tribunal fait sur mesure... La plupart des responsables de 1945 se défila.

Le seul reflux qui est réellement perceptible, c'est celui de la conjoncture. En matière automobile, notamment, il est clair qu'on a atteint un maximum et qu'on a atteint le point de décrue.
Sans doute aussi, en France, a t'on atteint le maximum du marché immobilier, avec des taux qui ne pourront plus baisser. Sans parler de remontée, il est clair aussi que la saturation est la règle, et l'équilibre, l'exception de quelques zones géographiques peu étendues.

Il est clair aussi, que la crise est mondiale. Entre les conflits programmés, comme celui de l'arc caraïbe, qui n'épargnera même pas les pays copains des américains, on peut voir des naufrages aussi spectaculaire, comme celui de l'Argentine, dont on ne parle pas, parce qu'aligné sur le dogme libéral.

D'ailleurs, si, comme je l'ai dit, la mise en feu de l'arc caraïbe est prévue, la mise à feu des USA parait aussi probable. "Asymmetrical Warfare And 4GW: How Militia Groups Are America's Domestic Viet Cong."

En plus, se grève les problèmes de non viabilité de certaines entités, comme la Californie (ou Paris), cela personnalisé merveilleusement par le fait que 53 % des californiens n'ont qu'une envie, foutre le camp. Vie trop cher, trop de pollution, et là encore, zerohedge met en cause... l'état et le socialisme. Pourtant, maitriser l'urbanisme me parait un minimum vital, dans un état où tous les clignotants du milieu naturel, ont virés au pourpre flamboyant.

Pour répondre à un internaute, l'adaptabilité des GJ, conditions de la survie, n'est pas à craindre ; "Formé par Pôle emploi au jardinage, il se lance dans la culture de cannabis."

On peut dire que le pauvre gars n'a pas eu de chance. Moi, tous ceux que j'ai rencontré dans cette situation (c'est curieux comme le jardinier est une espèce qui s'adapte vite à son biotope, que ce soit en en 1340, en 1940 comme aujourd'hui), n'ont jamais été poursuivis les bleus se contentant de détruire ce qu'ils possédaient sur eux. C'est pas un nombre considérable, mais qui dépasse une main. Et tous m'ont dit la même chose ; "ils s'en foutent"...

Comments

[Sébastien]

Pour répondre à Dimezanov, il est évident qu'il s'agit d'un coup monté. Le mec que Fifi-brin-d'acier a en face de lui sort le discours parfait pour sa stratégie national-sioniste et anti-islamiste. C'est cadeau...
Par contre, étant donnée l'hystérisation pour des tags toujours non-identifiés sur une boite aux lettres et une insulte qui n'en est pas une, qu'est-ce que ça va être quand ils essaieront de nous faire gober d'avantage.
Ils n'osent même pas se lancer dans l'agression physique remarquez. Imaginez Fifi à l'hôpital comme Faurisson. C'est la loi martiale et le couvre-feu dès le lendemain. Allez les mecs, chiche!

[gutknecht]

« Fincrotte » dément lui meme, qu’on l’ait traité de « sale juif »

Alain #Finkielkraut aujourd’hui sur : « On ne m'a jamais traité de sale Juif, en revanche, on me traite de sale raciste. » Mais le parquet de #Paris ouvre quand même une enquête ???? Sans commentaire !
https://twitter.com/Le_Che7/status/1097114712658063360

[Dimezanov]

Quelques doutes et réflexions coperniciennes

Je m'interroge depuis hier et le visionnage de ces images de Finkielkraut rudement apostrophé dans la rue en marge d'un cortège de GJ.
Ce qui, bien sur, fait la une de la bonne presse ce matin : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/alain-finkielkraut-témoigne-après-avoir-subi-des-insultes-antisémites-jai-ressenti-une-haine-absolue/ar-BBTGnYq?li=BBoJIji&fbclid=IwAR1aWDtspWFxGt2TKoPsrOXe3O_hUQzI3bpaKB34OZeevn-um8S1EOrMJ_U

Comme tout le monde ou presque je connais Finkielkraut pour l'avoir vu de plusieurs fois, de temps en temps en fait, à la TV, depuis plusieurs décennies…. mais je le croiserais ds la rue que je ne le reconnaîtrai pas…. nous connaissons tous plus ou moins bien des gens pour les avoir vus à la TV mais nous serions pourtant incapables de les reconnaître instantanément et avec certitude si nous les croisions sur le trottoir ….. je suppose que cela arrive tout les jours d'ailleurs ....
Donc de deux choses l'une, soit les gens qui l'ont pris à partie sont extrêmement physionomistes, soit il y a dans cette vraie-fausse affaire Finkielraut une évidente tentative de manipulation. La réflexion s'appuyant sur la combinaison des lois régissant les probabilités me conduit à penser que la tentative de manipulation par une PsyOp est bien plus vraisemblable. D'autant tout ceux qui manifestent sur Paris depuis le début du mouvement n'ont jamais vu quelques élus ou personnages médiatiques remarquable se faire insulter en marge des cortège ! Et bizarrement ce type sort comme par enchantement lors du cortège pour faire une brève apparition "collatérale" .... cela juste après la semaine de polémique sur le bien opportunément étrange tags anti-juifs "juden" qui va bien et en jaune en plus ! .... bon, tout ça c'est trafiqué, tordu, arrangé, prémédité!
La vraie répression républicaine contre les GJ n'a pas encore commencé. Dans le genre, une vrai-fausse attaque "terroriste" attribuée au GJ serait et sera la bienvenue.
Bon chacun sait que la DGSI a déja mis au point un dispositif spécial d'infiltration et de surveillance de ce qu'ils appellent {"l'extrême droite" radicale} avec officiellement fichage S à la clef et officieusement beaucoup plus si affinités (de A comme abduction ou approfondi à Z comme zombification en passant par C comme clandestin ou contrôle, D comme disparition, E comme écoutes, F comme fiscal, I comme interrogatoire, inattendu ou imprévu, O comme occulte, P comme pressions et R comme retournement ...).
https://reseauinternational.net/france-psyop-en-cours-pour-transformer-la-contestation-sociale-en-mouvement-terroriste/?fbclid=IwAR0gEsmDSpWz55WezO0gtNpPrKcbnC0trhNAxRGnP5GJ1ecmGKhbCsrckcU

En parallèle au débat de façade à sens unique, le régime Macron mène donc actuellement une opération de guerre psychologique (PsyOp) dont l’objectif principal est de transformer le mouvement de contestation populaire des Gilets Jaunes (mais également n’importe quel autre mouvement contestataire) en un mouvement terroriste soutenu par des puissances étrangères aux yeux de l’opinion. Le mouvement est en train d’être infiltré dans toutes les zones où il a réussi une certaine mobilisation.
C'est pas Castaner (bien trop con) qui est à la manœuvre, c'est le mec à la gueule de grosse fouine toujours faussement endormie qui est attaché à ses basques, c'est Nunes, l'ancien directeur de la DCRI, qui agite et manipule tout cela, forcément directement sous contrôle, sur ordre et en suivant à la lettre les instructions de Macron qui court-circuite le premier ministre Philippe dans ses rapports avec l'équipe Nunez. Mais Macron a absolument besoin de Nunez pour ce type de boulot tordu car Foutriquet n'est pas du tout un spécialiste des coups tordus de gouttières et de caniveaux et il ne s'y connait pas plus que Castaner dans cette matière. Ce Nunez est un tordu et un vicelard de première, hyper connaisseur et hyper introduit dans tout ce qui est milieux interlopes, muzz plus ou moins sanglants doubles monadiques, islam-à-blocks de banlieux plus ou moins raides et radicaux mais toujours abrutis et vraiment tordus, équipes de blackblocs fils à papa adolescents boutonneux en mal de sensations fortes, barbouzes de diverses nuances, antifas pro-charlies bien cons, LDJ bien tarés tapissés au kravmaga et rembourrés à la Uzi, hommes de mains divers plus ou moins stupéfiants et tutti quanti. Le tout sous contrôle constant et bien palantirisé des agents maussades et sous la surveillance politique du CRIF.
Ainsi ce pouvoir fantoche, qui louait les réseaux sociaux s'agissant des soit-disant "printemps arabes" et de la soit-disant "révolution" colorée en Ukraine (il n'y a jamais eu de printemps arabes ni de révolution colorée ukrainienne.. seulement des coups de la CIA), en est il arrivé à mettre en garde à vue et à poursuivre en justice de simples citoyens ayant commis le crime de mettre en ligne des images de "manifestations non autorisées".

..... « mais pour cela il doit impérativement transformer la perception d’un mouvement de contestation sociale en un groupuscule terroriste pour mieux l’abattre » ..... ou, pour commencer en un groupuscule antisémite, comme le montre la dernière psyop "en marche'', celle avec Finkielkraut, mais celle là est plutôt ratée, tout juste bonne pour les bobos à Paris (des pro-Macron convaincus de la première heure) car en province cette polémique bidon avec un "philosophe" en carton pâte plus doué pour le Buzz et la polémique que pour autre chose, tout le monde s'en fiche.... un reste de bon sens provincial en quelque sorte.

Pour finir, vu là où nous en sommes, et bien je pense que nous n'avons encore rien vu, que certains salauds sont prêts à TOUT pour que la France continue à dormir et ne puisse sortir de leur griffes .. avec les beaux jours qui arrivent et compte tenu que les bleus vont de plus en plus gamberger au fur et à mesure que la température va devenir insupportable sous leur armure noire avec leur équipement pesant au total près de 25 kg .... et bien, dans ces conditions un bon vrai-faux attentat bien teinté de jaune du type "Copernic" ou "des rosiers, cela ne m'étonnerai pas plus que ça. Mais bien rouge sanglant sur un fond bien jaune vif fluo le truc.

[Dimezanov]

Pari risqué. A trop pousser en avant ce qui n'est pas du tout la préoccupation première du Gilet Jaune lambda, on risque fort de provoquer chez lui une série d'étincelles de prise de conscience des liens existants entre les différentes strates et réseaux de pouvoirs en France. Si ce n'est déjà fait... D'autant plus que les violences récentes le réveillent et l'éveillent à la réalité.
Le FREXIT, le RIC, la vraie démocratie, la démocratie directe, terrorisent les apprentis dictateurs et les mafieux en place. https://youtu.be/JoR8izwksDQ

[Max]

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/la-silicon-valley-et-le-mythe-de-la-generation-spontanee-807036.html

[gutknecht]

Les puits de pétrole de schistes s’assèchent plus vite que prévu

http://versouvaton.blogspot.com/2019/02/les-puits-de-petrole-de-schistes.html

Un milliard de barils manquants

Et si Pioneer est devenu l’un des foreurs les plus actifs du Permien, il n’est pas le seul à faire des projections douteuses, selon le Journal.

« Les deux tiers des projections faites par les sociétés de fracturation entre 2014 et 2017 dans les quatre régions de forage les plus chaudes d’Amérique semblent avoir été trop optimistes, selon l’analyse de quelque 16 000 puits exploités par 29 des plus grands producteurs dans les bassins pétroliers du Texas et du Dakota du Nord », a-t-il indiqué. « Collectivement, les entreprises qui ont fait des projections sont sur la bonne voie pour pomper près de 10 % moins de pétrole et de gaz que prévu dans ces régions, selon l’analyse des données de Rystad Energy AS, une société de conseil en énergie. »

« C’est l’équivalent de près d’un milliard de barils de pétrole et de gaz sur 30 ans », a ajouté le Journal, d’une valeur de plus de 30 milliards de dollars aux prix courants.

Les problèmes sur lesquels le Journal s’est penché sont familiers à ceux qui ont jeté un regard critique sur les réserves de schistes dans le passé : Les zones les plus productives sont plus petites que prévu et les entreprises prévoient que les puits s’assécheront plus lentement qu’ils ne l’ont fait. DeSmog a lancé sa dernière série sur les difficultés financières des schistes en avril 2018 et notre couverture de cette industrie s’étend déjà sur une demi-décennie.

Pour le Journal, les déceptions étaient d’ordre financier. « Jusqu’à présent, les investisseurs ont largement perdu de l’argent », souligne le journal, ajoutant qu’un examen de 29 foreurs a montré que les sociétés ont dépensé 112 milliards de dollars de plus que ce qu’elles ont gagné en forage au cours de la dernière décennie. « Depuis 2008, l’indice des sociétés pétrolières et gazières américaines a chuté de 43 %, tandis que l’indice S&P 500 a plus que doublé au cours de cette période, dividendes compris. »

Les défenseurs de l’industrie soutiennent que dépenser de l’argent maintenant pour faire de l’argent plus tard, c’est tout simplement la façon dont fonctionne une entreprise – les « pertes » de cette année sont en fait des investissements dans les profits futurs.

Mais comme le forage du schiste argileux est relativement nouveau, même les experts sont laissés dans l’incertitude quant à la quantité de pétrole qui s’écoulera des puits 10, 20 ou 30 ans après leur fracturation – et les investisseurs sont frustrés car les foreurs de schiste argileux n’ont pas réussi à tourner la page et à commencer à faire des profits au lieu de continuer à fonctionner dans le rouge.

[Max]

J'ai vraiment hâte que le prix du baril remonte. "C'est quand la mer se retire qu'on voit ceux qui se baignent nus"

[Dimezanov]

Par les miracles et la grâce des technologies de la communication et de l'information :

§- Nous n'avons plus nul besoin d'aucun représentant ni d'aucun intermédiaire pour nous identifier avec certitude auprès des services sociaux (CPAM, CARSAT ...), auprès des administrations d'Etat les plus sensibles (fisc, état-civil), ni pour établir directement nos diverses déclarations sociales, fiscales et autres, ni pour payer, rubis sur l'ongle, ce que nous réclame ou nous prélève directement le Trésor Public de l'Etat Français.

§- NOUS N'AVONS de la même manière, PLUS BESOIN D'AUCUN REPRÉSENTANT NI D'AUCUN INTERMÉDIAIRE POUR DISCUTER ET POUR VOTER -LOIS -BUDGETS -IMPÔTS -TAXES -TRAITES etc etc ....

§- NOUS N'AVONS PLUS BESOIN D'AUCUN REPRÉSENTANT NI D'AUCUN INTERMÉDIAIRE POUR DISCUTER ET POUR VOTER DES DISPOSITIFS RÉVOCATOIRES A L'ENCONTRE DES ELUS QUI TRAHISSENT AVEC CYNISME LEURS PROMESSES, NOUS TRAHISSENT, TRAHISSENT LE PAYS ....

EXIGEONS DE DÉCIDER PAR NOUS MÊMES DE CE QUI NOUS CONCERNE;
EXIGEONS LA VRAIE DÉMOCRATIE.
EXIGEONS LA DÉMOCRATIE DIRECTE en complément et par dessus la démocratie représentative, à chaque étage (commune, région, nation).
Ce n'est que justice.

[Dimezanov]

Quête d’un «Ordre Juste» et «Insurrection».

«Insurrection» par Michel Drac :
https://youtu.be/1tobMK-GvoQ

Quête d’un «Ordre Juste» :
"Les Gilets jaunes ne sont pas un parti, les Gilets jaunes ne sont pas un syndicat, ils ne sont pas non plus une association. Ils sont un mouvement en mouvement.
Ils sont une dynamique, qui entraîne derrière elle une part significative de la population, qui se reconnaît dans leur demande, mais pas dans des « leaders » inventés par un système médiatique qui a besoin de faire de l’argent.

Et pour cela ce système médiatique a besoin de plier toute réalité qui se présente à ses modèles financièrement cadrés, par le type de studios dont ils disposent, par la recherche d’audience et la publicité.

Ces Gilets jaunes représentent une révolte d’une part de la société qui se sent totalement exclue du système et qui exige un retour à l’ordre.

Oui, un retour à l’ordre, après le désordre évident que constitue Robin des bois à l’envers, que constitue un chef d’État qui insulte son peuple régulièrement, que constitue une société entièrement tournée autour de l’accroissement sans fin des privilèges d’une petite nomenklatura, appuyée sur un réseau de médiateurs qui chantent sa gloire, alors que c’est du peuple tout entier que vient la richesse de cette société.

C’est vraisemblablement la raison pour laquelle ils ne veulent pas de représentants, ils ne veulent pas de chef, ils ne veulent pas d’organisation, ils ne veulent pas de listes, ce n’est pas leur demande, leur demande est que la société se remette à marcher sur ses pieds et arrête de marcher sur la tête.

Leur demande s’adresse à l’exécutif, c’est pourquoi ils veulent aller à l’Élysée se faire entendre, c’est une vieille tradition française, c’est la tradition des mouvements qui ont précédé la Révolution française." Gilles Casanova

Il souhaitent que la société récompense le travail et l’effort, et que les dirigeants soient là pour diriger la société dans l’intérêt de la société tout entière, même si au passage ils se servent d’une manière plus élevée que la moyenne des membres de la société.

C’est cette demande d’un « ordre juste » qui est la motivation de ce flux.

Au lieu de le comprendre et d’y répondre directement, l’exécutif fait le dos rond, lance la violence physique de Castaner et la violence verbale de tous ses idiots utiles

Naturellement tous ceux qui sont les défenseurs ardents de la petite troupe des privilégiés qui, à la manière de Carlos Ghosn, en veulent toujours plus, essayent d’identifier ce mouvement à un stock, et dans le stock ils puisent tel ou tel dont ils disent ensuite : « regardez il est complotiste », « regardez il est antisémite », « regardez il est ceci ou cela ».

Je l’ai déjà dit, avec cette méthode, je mets un gilet jaune au chat de ma voisine et je peux démontrer ainsi que les Gilets jaunes ne sont même pas des humains !

Évidemment en refusant de s’organiser, en refusant d’entrer dans le cadre classique des mouvements de la société contemporaine, qui sont malheureusement totalement discrédités à leurs yeux, ils laissent ouverte une béance : n’importe qui peut les créditer ou les débiter de n’importe quoi.

Mais on se rend compte que cela a assez peu d’effet sur le soutien que la société apporte à leur demande.

Et la grande manifestation anti Gilets jaunes sous prétexte de rassemblement contre l’antisémitisme autour d’Emmanuel Macron à la manière de la kermesse d’Oradour-sur-Glane, si elle sera parfaitement négative pour le combat contre le racisme et l’antisémitisme, sera sans effet contre ce que représente dans notre société comme aspiration des catégories populaires, les Gilets jaunes." Gilles Casanova

[Dimezanov]

C'était le "cri du cœur", bien avant l'épisode de l'élection à l'Académie Française :
"Ce pays {il s'agit de la France} mérite notre haine" - Alain Finkielkraut, 2005. Donc, à présent, QUE FINKIELKRAUT AILLE SE FAIRE FOUTRE.

"Je suis né à Paris et suis le fils d’immigrants polonais, mon père a été déporté de France, ses parents ont été déportés et assassinés à Auschwitz, mon père est rentré d’Auschwitz en France.
Ce pays mérite notre haine.
Ce qu’il a fait à mes parents était beaucoup plus brutal que ce qu’il a fait aux Africains. Qu’a-t-il fait aux Africains ? Il n’a fait que du bien. Mon père, il lui a fait vivre l’enfer pendant cinq ans. Et on ne m’a jamais enseigné la haine. Aujourd'hui la haine des noirs est encore plus forte que celle des arabes."
Alain Finkielkraut in : Haaretz (quotidien israélien) du 18 novembre 2005. https://fr.wikiquote.org/wiki/Alain_Finkielkraut

[Dimezanov]

Pour une action militaire ou quand Finkielkraut et son "Comité Kosovo" appelaient passionnément non seulement au bombardement mais à l'invasion et à la destruction de la Serbie par l'OTAN ... donc, à présent, QUE FINKIELKRAUT AILLE SE FAIRE FOUTRE

L'Europe devra reconnaître l'indépendance du Kosovo. Pour une action militaire. Au Kosovo, devant l'entreprise odieuse et folle d'éliminer un peuple, l'intervention des Etats européens doit être à la hauteur de ce qui est indispensable, matériellement, moralement, politiquement. Cela veut dire maintenant: action militaire, puisque, pour les négociations, il est ou bien trop tard (elles ont échoué) ou bien trop tôt, puisqu'il faut d'abord avant la souhaitable conférence sur les frontières dans la zone des Slaves du Sud arrêter Milosevic, l'empêcher de régler les choses à sa manière. Cette action militaire ne doit pas être une forme de protestation ou d'assistance, mais une politique, un moyen de régler la situation, de créer les bases d'une solution juste. Pour cela, il faut quitter deux ornières: D'abord, l'ornière des seules frappes aériennes. Celles-ci, à quoi l'Otan réduit jusqu'à présent son action, n'ont pas fait céder Milosevic. On les justifie maintenant par la destruction de l'appareil militaire serbe. Mais cet objectif en principe rationnel risque de conduire à quelque chose de moralement détestable: une politique de la terre brûlée en Serbie. Il est clair qu'il faut changer de moyens militaires et que les Européens devraient en prendre l'initiative.

Ensuite, l'ornière du juridisme international. En Bosnie, on n'est parvenu qu'à un résultat précaire et artificiel en y projetant un multiethnisme et un postnationalisme sans rapport avec l'état des esprits. Au Kosovo, c'est l'obsession morale de punir Milosevic qui aveugle. Les juristes le cherchent, les avions le visent, pour ses crimes passés et présents. Les politiques, eux, devraient s'occuper d'abord de l'avenir, en soutenant les victimes du tyran, en contrant ses entreprises, en réglant contre ses voeux la situation, en conduisant les Serbes à ne plus s'identifier à leur dirigeant.

Les bombardements dont Milosevic est la cible symbolique ont un triple inconvénient: ne pas arrêter l'épuration ethnique; ne pas empêcher Milosevic d'espérer qu'il conservera une partie de sa proie; resserrer les Serbes autour de lui. Une autre action est possible qui permettrait de délégitimer le chef serbe, d'appuyer les Kosovars, de régler la question du Kosovo; les Européens doivent l'entreprendre.

L'essentiel est de passer à l'action sur le terrain, celle qui romprait avec le style «archangélique», et indécent, d'une guerre sans morts pour nous, où les Américains s'enferment et nous enferment. Dès maintenant, en attendant la mise en place d'un corps expéditionnaire suffisant pour tenir le Kosovo, on peut aider et armer les Kosovars, créer, défendre, étendre une zone refuge à partir de l'Albanie et de la Macédoine, agissant comme soutien des troupes au sol.

Mais cette intervention doit clairement avoir pour but la mise en oeuvre de l'indépendance du Kosovo, sans perspective de partage ni d'intégration à la Yougoslavie. La reconnaissance par les Européens de cette indépendance est indispensable pour que leur engagement apparaisse définitif, qu'on voie bien que la solution ne passe pas par Milosevic.

Milosevic a deux moyens de couvrir sa brutalité et d'en tirer parti: la souveraineté yougoslave et le besoin de son consentement pour régler les problèmes de frontières. L'usage qu'il fait de la première est tel qu'on ne peut plus s'y arrêter. Il faut aussi le priver du second atout en ne faisant plus de lui l'acteur essentiel sur qui on «fait pression», en créant un fait accompli contraire à ses plans.

Pour préserver l'instrument de leur tutelle sur l'Europe, les Américains limitent à ce qu'ils peuvent assumer (et qui est évidemment insuffisant) l'intervention de l'Otan au Kosovo. Voilà pour les Européens une occasion de s'émanciper non par ressentiment ou en cultivant l'ingratitude mais par nécessité, par devoir envers eux-mêmes, non pas en traînant les pieds comme des clients rétifs mais en prenant les choses en main. Sont-ils capables d'un tel geste d'autonomie fondatrice?

Nous sommes de ceux qui ont critiqué (nous critiquons encore) la manière dont l'Union européenne s'est faite, par contournement et abaissement des nations, par destruction non par création de volonté politique. L'actualité ne nous donne pas tort. Mais si l'Union européenne saisit l'occasion qu'elle a de se légitimer dans l'action, nous l'appuierons sans hésiter, quitte à continuer à discuter son style institutionnel. La volonté d'Europe, la volonté que l'Europe s'affirme, est le critère pour choisir entre les diverses formes d'Europe.

Rony Brauman président honoraire de Médecins sans frontières , Alain FINKIELKRAUT philosophe , Jean-Claude GUILLEBAUD journaliste , Paul THIBAUD philosophe https://www.liberation.fr/planete/1999/04/07/l-europe-devra-reconnaitre-l-independance-du-kosovo-pour-une-action-militaire_270610

[Dimezanov]

"L'imposture Kusturica" ou QUE FINKIELKRAUT AILLE SE FAIRE FOUTRE

"Quand Finkielkraut appelait passionnément au bombardement et à la destruction de la Serbie, au côté de BHL, ça n'émouvait pas grand monde. Et les Serbes ce ne sont pas des petits mots fleuris qu'ils ont pris sur la gueule. Si certains oublient, ce genre de choses je n'oublie pas. Comme disent ceux qui appartiennent à sa famille de pensée : "Ni pardon ni oubli". Qu'il aille se faire foutre." HJMB

L'imposture Kusturica
PAR ALAIN FINKIELKRAUT
LE MONDE - 2 Juin 1995 - Page 16

Le public qui a acclamé debout Underground, la grande fresque d'Emir Kusturica sur cinquante ans d'histoire yougoslave, et le jury qui lui a décerné la Palme d'or du Festival de Cannes ont éprouvé, sans nul doute, la grisante certitude de faire d'une pierre deux coups. Dans le moment même où ils célébraient un artiste pourvu de tous les signes extérieurs du génie, ce public frénétique et ces jurés fervents manifestaient leur indignation devant le carnage de Tuzla et leur solidarité avec les victimes de la guerre. L'hommage qu'ils rendaient au cinéaste sarajévien s'étendait tout naturellement à ses compatriotes. Ils mariaient ces deux impératifs si souvent contradictoires : l'exigence esthétique et l'urgence de l'engagement. Le beau se confondait dans leur enthousiasme avec le bien, l'amour de l'art avec la participation à l'Histoire et l'admiration pour l'audace formelle d'une oeuvre avec le zèle compatissant pour les malheureux.

Au dire même de son auteur, Underground est pourtant un adieu nostalgique à la Yougoslavie. ” Il était une fois un pays ” prévient, sans ambages, le sous-titre. Et pour Kusturica, la destruction de ce pays n'est pas imputable à ceux qui, dès l'occupation du Kosovo, affichaient leur intention d'en faire une ” Serboslavie ”. Elle incombe tout entière aux nations qui ont choisi l'indépendance pour échapper à leur mort spirituelle annoncée.

En octobre 1991, c'est-à-dire dans les premiers mois du conflit, Kusturica écrivait : ” Il y a plein de choses que je ne savais pas étant enfant. Maintenant je sais. Le Slovène a toujours rêvé son rêve slovène, rêve d'un écuyer autrichien. Mais ce sont nos ancêtres qui, pendant la première guerre mondiale, ont sauvé ce même Slovène des merdes de Vienne ” (” L'acacia de Sarajevo ”, Libération du 21 octobre 1991).

Quatre ans, plusieurs dizaines de milliers de morts et quelques ” urbicides ” plus tard, Kusturica persiste et concrétise ainsi son propos : ” Les archives utilisées dans le film montrent les troupes nazies entrant en Slovénie, où elles sont accueillies comme chez elles […], ce qui est toujours le cas aujourd'hui, car la Slovénie a été conçue comme une avancée germanique dans le monde orthodoxe […] puis elles sont à Zagreb, où c'est la même chose. Et quand elles entrent à Belgrade, on ne voit personne dans les rues […] elles sont en terre étrangère. ”

Et, révolté par le soutien que certains intellectuels ont pu apporter à la Bosnie en flammes, Kusturica conclut : ” Il faut être stupide pour refuser de comprendre que la chute du mur de Berlin a complètement bouleversé ces endroits si fragiles, et surtout tous ces petits pays satellites des nazis, comme la Slovénie, la Croatie, la Hongrie [… ] et la Bosnie ! Il y a un terme complètement stupide qu'on entend partout, celui de ” Grande Serbie ”. Comment un pays de neuf millions d'habitants peut-il être qualifié de ” grand ” ? En même temps, il y a l'Allemagne unie, avec quatre-vingt millions d'habitants et qui est vraiment grande, et personne ne le remarque ” (Les Cahiers du cinéma. Juin 1995, page 70).

Nazification des victimes du nettoyage ethnique, dénonciation du IV Reich, défense du David serbe dans son combat héroïque contre le Goliath germanique, recouvrement de tous les crimes actuellement et quotidiennement commis par l'image elle-même trafiquée de la deuxième guerre mondiale : ce que Kusturica a mis en musique et en images, c'est le discours même que tiennent les assassins pour convaincre et pour se convaincre qu'ils sont en état de légitime défense car ils ont affaire à un ennemi tout-puissant. Ce cinéaste dit de la démesure a donc capitalisé la souffrance de Sarajevo alors qu'il reprend intégralement à son compte l'argumentaire stéréotypé de ses affameurs et de ses assiégeants. Il a symbolisé la Bosnie suppliciée alors qu'il refuse de se dire Bosniaque et qu'il entre dans une sainte colère quand on ose traiter Slobodan Milošević de fasciste ou les Serbes d'agresseurs.

En récompensant Undergroud, le jury de Cannes a cru distinguer un créateur à l'imagination foisonnante. En fait, il a honoré un illustrateur servile et tape-à-l'oeil de clichés criminels ; il a porté aux nues la version rock, postmoderne, décoiffante, branchée, américanisée, et tournée à Belgrade, de la propagande serbe la plus radoteuse et la plus mensongère. Le diable lui-même n'aurait pu concevoir un aussi cruel outrage à la Bosnie ni un épilogue aussi grotesque à la frivolité et à l'incompétence occidentales.

Alain Finkielkraut est philosophe et directeur de la revue ” Le Messager européen ”

[christophe]

Pour la Californie... ZH a raison.

->ceux qui quittent la Californie comme par hasard.... vont vers des états low tax...
->la population globale se maintient uniquement grâce aux... "migrants" (ça ne vous rappelle rien ?)
->les politiques type "sida mental", exemple : les "villes sanctuaires", la défense fanatique... des criminels d'origine étrangère (comme chez nous) au détriment des petits blancs (les de souche).

->Mais citons également : la démence du politiquement correct et des affirmative actions sur les campus, dans les écoles, la folie impôts et taxes, etc.

Bref, la Californie c'est le Paris bobo version de la secrétaire de Delanoé dopée aux hormones de croissance. A l'américaine donc.

L'eau, les problèmes environnementaux -la non viabilité comme vous dites- là-bas comme ici, le pékin moyen s'en tape totalement (en tout cas, ça lui passe au-dessus des cheveux).

Pour résumer : trois problèmes :
-taxes et impôts
-insécurité
-xylophilie fanatique, préférence étrangère, politiquement correct devenu fou

.... Ce qui est exactement la version moderne des étatistes socialos...

De Paris, à Berlin, en passant par Barcelone, Athènes, Los Angeles et Londres. Les mêmes causes produisant les mêmes effets.

C'est bien une idéologie qui est à l'oeuvre. La qualifier en utilisant les mots "état" et "socialisme" n'est pas dénué de bon sens.

[bugbreeder]

Et ce qui me fait méchamment suer, c'est qu'ils reproduisent strictement les mêmes c*onneries qui les ont fait fuir de Californie une fois installés ailleurs (je suis au Texas).
Ça va vraiment se terminer en guerre civile ici...

[La Gaule]

Ai récupéré mon PC chez le bricoleur « arabe » du coin, échoppe pittoresque dans son décors de faubourg mal gentrifié.

http://pcoccaz.com/Accueil

Cela m'attriste quelque part puisque je commençais à m'y faire, de ne plus subir l'angoisse de la fin des temps -l'Effondrement pour les laïques- et surtout de lire moins de conneries.
Je sens que je vais me remettre à boire.

Tenez, l'histoire de l'urologue Laurent Alexandre, transformée en question saugrenue par le bouffeur de ragondin : « les urologues sont-ils plus utiles que les planteurs de patates ? ».
Un qui doit se retourner dans sa tombe, c'est l'un des arrières grands pères de la théorie économique, François Quesnay, autant passionné par la chirurgie que par la culture des grains.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Quesnay

Quelles sont les compétences d'un urologue ? Éventuellement savoir prévenir et guérir certains désordres physiologiques qui arrivent à tout âge et pas seulement après soixante ans.
Par exemple, souffrir jeune d'une infection chronique des voies urinaires due à un rétrécissement urétral n'est pas la panacée pour réaliser quoi que soit, y compris planter et récolter des haricots. Mais il est des évidences qui n'en sont pas même pour ceux qui nous disent avoir tout compris.

Mais puisque l'on vous dit que le grand couperet de l'espérance de vie rendra caduque ces vaines compétences -les fayots eux ne mentent pas !
Il faudrait tout de même savoir pourquoi l'on dénonce inlassablement certaines choses et s'interroger sur ce que l'on veut mettre à la place.
Ce n'est pas ici qu'il s'est dit que Cuba n'avait pas grand chose comme richesse -dont beaucoup de fayots rouge- mais aussi l'une des meilleures médecines de masse du monde -et donc forcément des urologues, vu le nombre de maladies tropicales qui affectent les voies urinaires ?

Tout le monde sait sans oser l'avouer que les causes de l'élévation de l'espérance de vie sont incertaines et que le poids de la technostructure médicale y jouerait plutôt un rôle marginal même si ô combien onéreux.
Par ailleurs, si l'avenir inexorable est le champ de patates et de haricots et les compétences strictement attenantes, on ne voit pas trop comment cet horizon ne nous ramènerait pas les temps bénis de l'extorsion de la plus-value par l'esclavage latifundiaire.
Il n'y aura même pas besoin de faire venir les nègres. Les gilets jaunes suffiront au cheptel.
C'est ça que tu veux, Ragondingrobis, ou alors tu ne fais que prendre ton pied à nous susurrer tes histoires de croquemitaines ? On va finir par croire que derrière tout Patrick Reymond il y a un Jacques Attali qui sommeille.

Le problème du guignol Laurent Alexandre n'est ni un problème d'utilité, ni un problème de compétence et encore moins un problème d'intelligence, car des ordures intelligentes l'histoire en regorge dans ses poubelles.
Il s'agit tout simplement d'un problème d'éthique, ce dont ce trou du cul semble être totalement dépourvu.
Il faudrait d'abord lui rappeler que le serment d’Hippocrate existe et qu'il ne faut pas le confondre avec le serment d'hypocrite.
Moi, j'ai la chance d'avoir un uro sympa et pas trop regardant sur la quantité et la qualité de mes libations -un uro en or qui me laisse vivre et se contente de faire durer ce petit plaisir fugitif.
Sur le plan éthique il avait fait pas mal parler de lui il y a quelques années, montrant à l'occasion que tous les gens de la profession n'ont pas la même bouillie reptilienne dans la boîte crânienne.

http://sylviesimonrevelations.over-blog.com/article-coup-de-colere-du-dr-didier-legeais-117949085.html

https://www.lepoint.fr/sante/ame-france-terre-d-asile-des-malades-etrangers-04-12-2013-1764628_40.php

Notez que ces articles semblent déjà sortir d'une autre époque, celle où Mac Macron (Que de pognon ! Que de pognon!) n'avait pas encore donné le coup de grâce à l'hôpital public français.

[anonymous19]

@Jerome 15/02/2019 01:53

Je ne suis pas, et de loin, un spécialiste de Marx. Mon créneau, c'est Von Mises et l'école autrichienne.

Ce que Marx désigne par l'expression "travail mort" et "travail vivant", c'est les dépenses d'investissement (CAPEX) et le travailleur.
Il utilise ces notions pour fixer la valeur d'un bien en fonction de la quantité de travail.

Dans une économie de marché, un bien n'a pas de valeur intrinsèque. Ce n'est pas le producteur qui fixe le prix d'un bien, mais l'acheteur. Le choix du producteur se limite à produire ou ne pas produire.

Pour revenir à votre question, ces notions renvoient à la production de bien et de services.
Or dans ma remarque, je ne fais pas état du processus de production, mais d'un phénomène purement monétaire.

[Jérôme]

Merci bcp pour vos rectifications.
Excellent dimanche

[anonymous19]

https://t.co/oh5rKEmXPM

[Max]

Pour les californiens, c'est simple, c'est la surnatalité. Trop de densité urbaine, et le rêve américain fout le camp. Natalité, immigration ... On voit le résultat. Et c'est partout pareil dans le monde. Sauf au Japon et en Russie, où ils ont tout compris.

[NeverMore]

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