ENTRE GJ, EURO, IMMOBILIER et EFFONDREMENT ENERGETIQUE...
3 Mars 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie, #Immobilier, #Energie
Le choix, ou plutôt le non choix du lieu d'habitation, car cela dépend des revenus financiers, a eu un impact certain sur le mouvement GJ.
Au reste, selon le syndicat policier en colère, 200 000 participants à l'acte XVI, 36 900 selon le gouvernement, après qu'il eut clamé 5600. Même BFM TV a trouvé que le bouchon était jeté un peu loin, c'est dire.
Les gueux appelés "policiers", car dans l'imaginaire des "élites" ce sont aussi des gueux, peuvent bien canner, les gouvernants n'en ont rien à cirer. Ils sont payés pour ça, enfin, en partie seulement, et pas les heures supplémentaires. Pour compenser, ils pourront demander la retraite à 40 ans.
Donc, la jacquerie, pour l'instant, se maintient, mais ne déborde pas, pendant que des officines de propagande insiste sur l'essoufflement supposé du soutien au mouvement. En fait, comme ce sont des menteurs patentés, même s'ils disaient que le ciel est bleu, j'irais vérifié...
Donc, l'euro, ruine des français et des italiens en particulier, est appelé, comme toute monnaie multinationale, à la catastrophe. Comme les mêmes maux provoquent les mêmes remèdes, il y a gros à parier que le prochain épisode sera encore plus claquant. Et sanglant. Les riches se plaignent de la jalousie à leur égard ? Ils verront quand ils seront montés à l'échafaud, comme maintes fois dans l'histoire.
A Nantes, des p'tits cadres bien propres sur eux, sont contents, ils ont quitté Paris, mais pas les avantages de la grande ville.
le télégramme de Brest a sorti 2 articles intéressants. L'un, sur l'immobilier à 2 vitesses en Bretagne, l'autre, sur l'Espagne. En cassant les prix, ils sont arrivés à vendre les appartements, enfin, quelques uns. 60 000 euros pour un appartement en Espagne, qui aurait été vendu 300 000 il y a 13 ans...
Quand on est au prix du marché, tout se vend, une évidence que bien des vendeurs ont du mal à se mettre en tête.
Pour Nafeez Hamed, le Brexit est la première phase de l'effondrement énergétique de l'Europe, avec, en prime, l'effondrement de la structure appelée "Union européenne", ou avatar de l'URSS, sans avoir ni son prestige, ni sa force, ni l'attachement auprès de sa propre population.
« Cela donne à penser que, d’ici 5 à 10 ans, l’ensemble du système habituel de partis politiques de ce pays, et de nombreuses autres nations occidentales, sera complètement discrédité à mesure que les crises continueront de s’aggraver et que les politiques conventionnelles menées serviront largement à les alimenter, au lieu de les atténuer. L’effondrement du système de partis dominants dans les pays qui ont vu naître la démocratie libérale pourrait ouvrir la voie à la légitimation croissante de la politique d’extrême droite d’ici la fin de la présente décennie… »
L'URSS avait le prestige d'avoir défendu sa patrie. On peut dire le contraire de l'UE. Sans énergie, c'est le renouvellement complet de la classe politique qui sera entrepris, et les classes dirigeantes ont 100 % de chances d'être débarquées. A l'instar des fermiers généraux, qui ne se mariaient qu'entre eux et ne finir par ne former qu'une même famille, ils sont dans le même processus. Avec la même fin dans le caniveau au bout.
Pour la Grande Bretagne, ce qui est probable, c'est la fracture territoriale, entre la très ancienne sphère celtique, même le pays de Galles, et l'Angleterre, l'Angleterre proprement dite, se fracturant elle aussi.
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