FAUT PAS POUSSER...

" "on peut même créer des parkings (là, je crois que je vais être brûlé en place de grève)."

Faut pas pousser, tu te prends pour Jeanne d'arc, mais c'est quand même contradictoire avec certaines de tes prédictions.
Pourquoi pas des grandes pelouses pour jouer au foot ? (là c'est moi qui crame) ou des terrains de pétanque avec buvette à côté ? (idem) "

Je prends en compte le besoin immédiat. Raison pour laquelle, on peut penser à quelques parquingue. Mais à plus long terme, on peut convertir, parquingue, terrain de foute ou de pétanque, en cimetière. ça serait une utilisation adéquate.

Mais j'aime énerver la fibre écologiste de certains tartuffes. C'est pour ça que j'ai parlé de parquingues. Et que pour cela, je pensais être brûlé en place de grève. Et il faut pas pousser. Jeanne n'a été qu'une illustre victime, au milieu de bien d'autres. D'ailleurs, il me semble qu'à son époque, les prophètes disant la même chose, pullulaient, il suffisait de pousser une pierre pour qu'il en sorte 10 de dessous.
Pareil, en l'an 30 après JC, en Palestine, les prophètes poussaient comme après une pluie d'orage.

Comments

[La Gaule]

" D'ailleurs, il me semble qu'à son époque, les prophètes disant la même chose pullulaient "

Exact, la médiéviste Colette Beaune avait traité de cet aspect dans son « Jeanne d'Arc ».
Il faut dire que l'histoire de « la pucelle » renvoyait à une autre histoire bien connue de l'imaginaire du temps, celle du christ.
Mais c'est elle qui assurément avait le meilleur scénario.
Un peu comme les sept mercenaires de John Sturges étaient un remake parfait des sept samouraïs de Kurosawa, mais là je m'égare (pas tant que ça... finalement).

Allez, un peu de Musique  -d'ailleurs Jeanne aurait probablement aimé, avec Xaintrailles, La Hire et l'affreux Gilles de Rais chevauchant à ses côtés pour aller casser du godon !

https://www.youtube.com/watch?v=8XDB7GMnbUQ

Elmer Bernstein, fabuleux compositeur, prolifique mais oublié.

[La Gaule]

Je concède. Disons que Kurosawa était plus que parfait.
Mais il y avait aussi une dimension parodique dans l'adaptation de Sturges qui annonçait les faux nanars et vrais chefs-d’œuvre de Morricone, dont c'était d'ailleurs SON film de référence.

[simplet]

La musique ok.
Mais la photo, malgré l'âge et le grain qui accompagne,
cela avait une autre gueule avec Kurosawa.
La scène du duel par exemple...