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ILS COUTENT UN POGNON DE DINGUE...

23 Avril 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie, #Politique

En région parisienne et en PACA !

A eux deux, ils font plus que le déficit extérieur français !

"Loin d'être des centres d'activités productives, les grandes métropoles mondiales de Paris à Londres en passant par New York sont surtout des pôles de consommation complètement déconnectés des réalités économiques. Elles sont des trous noirs commerciaux que les nations supporteront de moins en moins bien. "

En plus, tous les gens qui y travaillent, croient bosser réellement. Ce qui est loin de la vérité. Voilà pourquoi, ces déconnectés-demeurés sont capables de voter à 90 % pour Macron. Ils préfèrent faire crever la bête. De toute façon, pour eux, la situation est éternelle.

Dans les émissions télés, on s'obstine à dire que les GJ sont 10 000 et qu'ils ne comptent pas. Donc, pour David RD, c'est 10 000, pour le chiffre jaune plus de 92 000 et pour le syndicat policiers en colère, 90 000 à la dernière mouture, avec, à Paris 9 700 manifestants (on admire les 700) dont 35 600 radicalisés. Bon, le sinistre de l'intérieur a jamais bien su compter, vous savez, avec tous les problèmes qu'il a eu en maternelle et en primaire, sans compter, le vol de son nounours.

Ailleurs, PJ délire toujours sur son blog sur l'ingérence russe dans l'élection de Trump. Il espérait tellement être député européen, avoir un coussin pour dormir au parlement. Quand à "échouer à faire des USA un état mafieux", il faudrait peut être l'avertir que c'est fait depuis belle lurette. Déjà, en son temps, l'administration Grant Brillait par sa malhonnêteté congénitale. Mais je crois que je vais lui envoyer des fleurs. Un bouquet de narcisses me semble bien.

Ils sont finalement des miroirs. Des miroirs de ce que pensent les gens de ces régions, avec une très bonne image d'eux mêmes, totalement survendue.

Les pôles d'arrogants déconnectés, ce sont les habitants de Rome ou de Constantinople des empires décadents. Quand aux ottomans, ils perdirent notablement en pugnacité, quand ils furent lestés de ce poids mort d'Istambul. Ataturk, d'ailleurs, choisit avec raison d'installer sa capitale, très loin de cette ville, pour tout un tas de raisons, toutes plus bonnes les unes que les autres.

Une ville qui n'est qu'un ventre, ça fait peut être bien sur le papier, le PIB, notamment, en valeur immobilière. Mais la valeur intrinsèque n'est pas nulle. Elle est négative. Toute activité productive a disparu désormais de NY, Paris ou Londres, comme jadis, de Rome ou Constantinople.

L'activité a été délocalisée, non pas par pression des prix de l'extérieur, mais par pression immobilière. Le loft à bobo, c'est plus rentable que l'atelier de bicyclettes.

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A
"New York sont surtout des pôles de consommation complètement déconnectés des réalités économiques" <br /> A chaque fois que je vois une issue de secours, je pense au New York industriel où en 1911, la ville concentrait 80 000 ouvrières du textile (notre Bangladesh d' aujourd'hui ) et où un terrible incendie tua 146 ouvrières :<br /> <br /> https://fr.wikipedia.org/wiki/Incendie_de_l%27usine_Triangle_Shirtwaist<br /> <br /> Sinon, allez à la Tour Eiffel et penser que jusqu' en 1975 , il y avait une usine Citroën à ses pieds , remplacé par des tours de verres :<br /> <br /> https://fr.wikipedia.org/wiki/Quartier_de_Javel
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A
Si il n'y a pas d'activités productives et que pourtant ce sont des pôles de consommation, c'est que l'Etat intervient pour redistribuer la richesse mal répartie.<br /> <br /> Y paraît même que c'est pour ça que les GJ manifestent. Pour encore plus d'interventions, seul rempart face à l'ultra-libéralisme.
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A
@Sébastien<br /> La première partie, je n'ai pas compris.<br /> L'organisation des flux sans l'Etat, ça s'appelle un marchand. Il ne produit rien, il organise les flux depuis très longtemps et ça rapporte.<br /> Quant aux coûts, ils sont toujours supporté par le consommateur. Que ça soit dans le prix de la marchandise ou par les prélèvements fiscaux. Vu que l'Etat ne crée rien.
S
Si le libéralisme existait vraiment, on vivrait grosso modo comme au Moyen-Age, tout simplement parce que la consommation n'est qu'un gaspillage d'énergie, qu'il n'y a pas de consommation sans production et pas de production sans énergie ni 7 milliards de consommateurs pour l'écouler.<br /> Comment vous organisez de tels flux sans intervention de l'Etat? Qui les prendrait en charge étant donné que l'organisation nécessaire ne produit rien, n'est pas vendable et ne rapporte rien? Ou alors à un coût réel que devraient supporter les différents acteurs économiques rendant toute possibilité de bénéfices impossible.
L
En somme ce dont tu rêves c'est une manif de condamnés à mort dans une prison privée au cri de « à bas l'état et vive la guillotine ! ».<br /> <br /> T'en as pas marre d'égrener ton chapelet ?