MALADIE MENTALE INCURABLE...
23 Mai 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Immobilier, #Faits divers
Donc, Montreuil est une ville plus chère que Lyon. Je citerais un internaute : "Plus Paris se transforme en camps de réfugiés, caca, maladies médiévales et tropicales, crasse, violences, cingleries, démences, criminalité... plus la ville subit une tiers mondisation accélérée avec de pseudo autorités totalement dépassées et encore plus débiles (on pense à la secrétaire qui fait office de maire)...
Plus des "crétins" (votre expression) achètent !"
S'ils veulent vraiment quelque chose de cohérent pour l'époque, c'est, pour le même prix, plutôt le château médiéval avec la herse et le gibet qu'il faut rechercher.
Quand on pense que police et justice sont impuissants contre les pickpockets ? Non, le gibet de Montfaucon n'était pas inopérant. Celui qui était pris ne recommençait pas. Au moins à l'époque, la récidive n'existait pas.
Un autre qualificatif que crétin ? Je ne trouve pas... Il faut vraiment, vraiment être perdu dans son monde pour l'imaginer à Paris, à part pour le natif, qui, comme l'a dit un lecteur, n'a pas les codes ailleurs. Pourtant, souvent, ils sont très simples. Petits services rendus, un apéro. Sans attendre de contrepartie. Eviter de dire du mal de tel ou untel, surtout dans les endroits où ils sont tous cousins. Ne pas vouloir s'accaparer les communaux. On peut au contraire s'y glisser aisément. A condition de se débarrasser, effectivement de ses codes antérieurs. Le mec qui tond son herbe et l'amène à la déchetterie, ça fait effectivement, urbain déraciné, comme le mec qui gueule contre l'écobuage.
Mais comme l'a dit un autre internaute, l'abandon de la bagnole, ce sera sans doute un soulagement -au moins financier-, qu'une contrainte. D'ailleurs, beaucoup de parisiens l'ont abandonné.
Pour ce qui est du gibet de Montfaucon, et tous les gibets qui existaient aux temps de la haute et basse justice, il est vrai que la terre avait été convenablement fumée. On y revient en force.
Pour ce qui est de l'avenir, on peut penser au roman de Barjavel (comme l'a dit un internaute), "Ravage", qui fut écrit à une époque de l'effondrement d'un pays (1943), avec tout cela que ça entraine. Et on peut comprendre que des hommes politiques aient cru de leur devoir et simplement voulu rebâtir une certaine normalité, même sous "occupation". Parce que c'était simplement, la vie ou la mort de millions de personnes dont il s'agissait. Et que celle-ci, serait très vite arrivée dans un pays effondré.
On peut tout à fait trouver des similitudes avec des jeux de guerres actuels. Sans compter que l'époque fut une transition brutale en France, où l'on passait en quelques jours d'une société globalisée à une société européanisée. Avec son corollaire, moins de charbon, et quasiment plus de pétrole. Et un partenaire privilégié, l'Allemagne, qui vous achetait tout, avec votre pognon.
Là aussi, avec une variante. Le lien commercial s'est distendu. L'autosuffisance des jardins ouvriers, ou des employés, devenue reine, les services rendus et réciproques, indispensables. Les liens familiaux, vitaux.
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