CORONAVIRUS 11/03/2020
"Enfin Macron qui psychote, comme un dément, sur les frontières avec l'Italie... C'est réellement fascinant. On sent le tabou ultime, indépassable. Le mec est en mode MK Ultra !
Totalement con-ditionné.
Vertigineux. "
L'Italie est donc venue comme LE foyer de coronavirus actuel en Europe. Ils se tapent une mutinerie dans les prisons, visiblement réprimée à l'ancienne, en torchant le cul avec les droâdelomm.
Le formatage des connards continue. "L'Europe" va débloquer 25 milliards, là où il en faudra 2500 milliards...
Toutes les anciennes règles vont sauter. D'abord, en droit, le recours à la "force majeure", permet de tout faire. Virer ses salariés, ne plus payer ses factures, ses emprunts, et il n'y a aucune parade. Si une pandémie n'est pas une force majeure, alors, qu'est ce qu'il existe comme force majeure.
Il n'y a pas que Macron en mode con-ditionné. Petit Prince Harry trouve normal de lécher le cul de coconne, la gourde à couette, et de voler en avion pour ses commodités. Tristes exigences des grands (connards). Déjà, son père et sa mère avaient de belles gueules de dégénérés, comme la famille royale espagnole peinte par Goya, mais lui, bat les records, s'imaginant être un rebelle...
Deux textes d'Ugo Bardi sont à noter. "L’Italie sous l’attaque du coronavirus. Le retour des propagateurs de la peste". En réalité, le sentiment populaire ne se trompait pas. Seulement de cibles. Les propagateurs sont les voyageurs impénitents qui trouvent toujours une excuse à leur bougeotte, analogue, comme je l'ai dit, à la colique en spray. L'homme qui vient de l'extérieur, apporte les maladies de l'extérieur. C'est une évidence.
Un autre texte concerne Florence. Non traduit pour l'instant : "Florence frappée par le coronavirus: la malédiction de l'hyperspécialisation".
"C'est quelque chose de typique des systèmes complexes. Normalement, ils peuvent absorber les chocs externes et s'adapter. Mais lorsqu'ils sont stressés, il peut arriver qu'un petit choc déséquilibre l'ensemble du système et le fasse s'effondrer."
"Rétrospectivement, ce n'était pas une bonne idée de surcharger l'économie florentine d'infrastructures qui attiraient de plus en plus de touristes dans la ville et qui nécessitaient de plus en plus de touristes pour fournir les ressources nécessaires à leur entretien."
"Mais le vrai problème est avec les personnes dont la vie dépend directement du tourisme. Les gens qui nettoient les chambres des hôtels et des airb & b's, qui servent dans les restaurants, qui conduisent des taxis, qui vendent des bibelots sur les places, qui emmènent les touristes en tournée en groupe, etc. En ce moment, ils sont au bord de la panique. En règle générale, ils n'ont pas de réserves financières et ils sont souvent redevables aux banques. Mais ils doivent payer leur loyer et acheter des provisions pour leurs familles. Et ils manquent d'argent."
L'ami aussi, qui donnait les cours de godon d'anglois et n'en donne plus, faute de demandes...
L'économie italienne peut elle survivre à la perte de 13 % du pib demande t'il. Sans problème, dirais je, mais il va y avoir une casse monumentale.
Une phrase qui s'applique à tous les demeurés sans imagination, qu'ils soient princes, président ou simple (c'est le cas de le dire) citoyen ;
"Les gens ne changent jamais d'avis, tout comme les pandas ne changent jamais leur alimentation. Et, comme d'habitude, nous marchons vers l'avenir tout en regardant en arrière".
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