AVANT/APRES
23 Mai 2020 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #transport aérien
Le transport aérien aura un avant et un après la pandémie.
Avant, c'était la démocratisation, après ce sera cher, avec l'avantage de se séparer de ces salauds de pauvres. Un niveau égal à 20 % du trafic antérieur, peut être un peu plus avec les transports de marchandises, qui eux, auront plus de mal à disparaitre.
Bien entendu, toute l'économie aura été soviétisée, c'est à dire, dépendra directement de subsides d'état.
Variante désormais célèbre du Titanic, avec moins de morts : "On raconte que lorsque le Titanic a coulé, les passagers de troisième classe sont restés enfermés dans les ponts inférieurs et se sont noyés. Ces passagers, de toute évidence, étaient considérés comme des rats nuisibles. Aujourd’hui, je pense que les élites ont déjà compris qu’il n’y a vraiment aucune raison pour que les avions aient une « classe économique »."
Dans la traduction de l'article de Ugo Bardi, on a des vrais morceaux de terreplatistes. Le pétrole est éternel. Ben voyons.
J'avais déjà cité cet article, dans la version originale. Donc, passage de 7 millions de barils/jour consommé par le trans-porc aérien, à... beaucoup moins. Disons, dans un premier temps, à moitié moins. Mais comme ces ânes de dirigeants de compagnies aériennes s'étaient "couverts", pour le risque carburant, ils vont, paradoxalement, le payer beaucoup plus cher qu'il n'est...
On va donc subventionner les beaucoup plus riches, pour qu'ils continuent à voyager, sans s'embarrasser des pauvres.
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