BOING BOING BOING...
28 Mai 2020 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Economie, #transport aérien
Bon, derrière l'affriolante nouvelle (Boing boing va recommencer à construire ses bouses), la réalité est plus crue. Les licenciements vont pleuvoir.
Quand aux bouses en question, comme elles ne sont pas encore autorisée à voler, on va manquer de places de parcage pour ces dites bouses. En plus de tous les appareils mis au rencart pour cause de défaut de la demande...
16 000 suppressions d'emplois sur 160 000, c'est comme le covid 19 : la première vague seulement.
"La remise en service de cet avion vedette n’est toutefois pas imminente car Boeing doit encore obtenir le feu vert des autorités de l’aviation civile sur les modifications effectuées, notamment sur le logiciel anti-décrochage MCAS mis en cause dans les deux accidents. "
Quand à retrouver la confiance du client, désormais encore plus désargenté qu'avant (et même au bord de la faillite).
Quand à la proportion, 3800 Boeing 737 max en commande, pour un carnet de commandes de 5000 au total, cela donne, non pas un pourcentage des 2/3 mais de 76 %. Où alors, les commandes ont été annulées en masse...
En France, Air Rance-KLM va réduire de 40 % ses offres sur le territoire national.
Les licenciements, d'une manière générale, vont pleuvoir en France.
D'une manière générale, il est impôt-cible que la situation de boing boing s'améliore, et même que la situation générale se raffermisse.
- Les actions perdront 75% à 95% en termes réels suite à l'implosion de la bulle boursière.
- Les obligations perdront 90% à 100% de leur valeur en cas de défaillance des emprunteurs souverains et privés.
- La valeur des biens immobiliers implosera de 75% à 95% avec des taux supérieurs à 15% et aucun crédit disponible.
- Les placements en capital-investissement perdront 70% à 100% de leur valeur à cause de l'effet de levier élevé et les taux.
- Le cash sera soit ponctionné des comptes (bail-in), soit perdu en cas de faillite bancaire, soit totalement déprécié par les gouvernements.
C'est pas Penelope qui me contredira quand je dis que c'est le merdier. Si un pôvre ministre-dépoté ne peut plus taper dans la caisse, où va t'on ???
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