NOUS AVONS BIEN ATTEINT LE NIVEAU DU KRACH IV
8 Octobre 2020 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Politique, #economie, #energie
Le programme alimentaire mondial est alarmiste. On s'attend à des famines de dimensions bibliques. La dite famine aura son lot aussi, de conséquences : pandémies, troubles sociaux, guerres, dislocations d'état déjà disloqués.
On peut penser qu'une Somalie (ou d'autres) assistée au niveau alimentaire depuis des décennies risque de voir disparaitre cet assistanat. Youpie dirons certains.
Ce qui est marrant, d'ailleurs, dans la liste des famines, c'est que c'est une liste très politique. Certaines sont très oubliées, n'ont jamais existé. La famine du Raj, par exemple, est l'exemple le pire. Parce que pour l'Inde britannique (1750-1947), on peut considérer que la totalité de la période est une famine avec des flambées. Ne parlons même pas de l'Irlande, ni de l'Ecosse.
Ne parlons pas non plus de l'anomalie statistique des années 1930 aux USA. Mais où sont passés ces 10 millions d'habitants ???
Comme les chiffres officiels de la pauvreté, de la très grande pauvreté, c'était déjà du pipotron XXXL, on peut s'attendre à ce que beaucoup passent du stade "moyen", au stade "pauvre", "très pauvre" et en "faim" de compte, "tout à fait mort".
La statistique de la pauvreté est faite pour évaluer celle-ci et prouver l'excellence de la globalisation. Le covid, avec son pendant, la désorganisation totale de l'économie mondiale, fera disparaitre cet élément de propagande qui n'est qu'un élément de propagande.
En 2008, avec la flambée des prix alimentaires, on n'a pas observé de montée de la pauvreté, alors que la moitié de la planète a du réduire ses quantités d'aliments consommés...
Le "sentiment" de la population, s'est révélé plus juste que la voix officielle... "La majorité - 52 % - pensent à tort que la part de la population vivant dans une pauvreté extrême a augmenté dans les deux dernières décennies".
De plus, là, il s'agissait d'un phénomène ponctuel. Là, on va vers une réorganisation durable des flux. Et certains vont être broyés, tandis que les structures productives et de transports sont en passe d'être économiquement mises à terre.
Question statistique, même Xerfi reconnait, par exemple, qu'en France, le chômage officiel, c'est du grand n'importe quoi : "grosses ficelles statistiques"...
L'économie, d'ailleurs, ne se remet pas de la crise du covid. Elle ne tourne, et c'est à mon avis, très optimiste, qu'à 90 %.
Bp d'ailleurs, dit que la croissance de la demande de pétrole est finie, mais à mon avis, ce n'est pas pour la bonne raison, c'est pour cause de paupérisation et de krach économique. Et cela, sans effondrement des USA, ce qui est, à mon avis, en cours.
Pour le renouvelable, je peux être clair. On peut le critiquer. Mais on aura le choix. Entre ça, et rien du tout.
Au final : "Et à défaut d’agir sur le réel, les économistes sont devenus des maitres dans l’art de la déconnexion… Bourses déconnectées par la magie des taux zéro, emploi ou chômage déconnectés… Nos économies en surcapacité se parent des habits du plein emploi… et font mine de s’étonner que l’inflation ait disparu".
Là aussi, c'est un syndrome de l'effondrement... Le réel n'existe plus.
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