NOUS AVONS BIEN ATTEINT LE STADE DU KRACH (ENERGETIQUE) III

Tout d'abord, les aéroports français, sempiternellement déficitaire sans subventions, problème sur lequel j'avois moult fois alertoit le villain (Je me suis mis au vieux françois, je me replonge dans la crise d'effondrement du XIV° siècle).

Mais comme l'homme politique local a vocation à regarder la longueur et la grosseur de la sienne -piste d'atterrissage, vous aviez compris- pour voir qui fait pipi-ste- plus loin que l'autre, le flux de subventions ne s'est jamais arrêté, même si, en matière de développement économique, l'effet a été nul ou négatif.

Alors que vous, heureux hommes et heureuses femmes vous étiez prévenus depuis plus d'une décennie de ce que les autres viennent de découvrir (en 2019) : "Sur les 86 aéroports ouverts à l’aviation commerciale en métropole recensés par l’Union des aéroports français, moins d’une quinzaine accueillent un volume de trafic suffisant pour leur permettre d’être financièrement rentables". Encore, cela était il AVANT le covid. Mais les 15 bénéficiaires sur 86, ont des chances d'avoir rejoint la deuxième division des aéroports déficitaires, qui eux rejoindront la division des aéroports ayant un trafic inexistant, les pistes d'atterrissage pouvant accueillir les troupeaux, comme le forum romanum qui devint le "pré des vaches".

Bon, aux USA, ou Le covid a attrapé le Trump 2016-2020, virus orange en pleine, bruyante et rapide expansion, les villes démocrates, noeuds de communications reliées à l'économie globalisée, vont se ramasser un autre coup de bambou. Elles vont perdre 100 000 emplois. Dommage que l'administration Trump n'ait pas vu que ces villes aéroportuaires et l'état de Washington qui produit les Boeing, c'était des zones démocrates...

Bon, en plus, l'organisation mondiale de la santé avoue sous la torture que le fait de ne pas avoir voulu fermer les frontières, c'était par antiracisme militant, pour ne pas "stigmatiser". La science, au contraire, rendait impératif la fermeture rapide et immédiate des frontières et mettait le doigt sur le point essentielle : tout le "bougisme", c'était mortifère. Et les "mélanges" de population, mélangent d'abord et mondialisent les pandémies.

Sans "plans de relance", de fait, qui ne relancent rien, l'économie réelle s'effondrent plus vite encore.

L'effondrement politique et culturel peut se sentir sur l'histoire de l'Hydroxychloroquine, qui, au Maroc, donne semble t'il des résultats très probant. Seul problème pour les lobbys pharmaceutique, la Chloroquine, ça ne coûte pas cher, et ça ne crée pas des malades chroniques (déficiences rénales), comme le remdesivir.

Pour l'effondrement économique, on y est aussi.

Sur la situation interne des USA, on peut citer le dernier texte de JH Kunstler, "Problèmes féminins "... Un délice...