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RETOUR DES REGLEMENTS DE COMPTE.

25 Novembre 2020 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Energie, #Chronique de l'effondrement

Que fait on quand la justice est aux abonnés absents ? On la fait soi même. Des commandos de gros bras ont tendance à tout casser chez les squatteurs, et rendre les logements inhabitables.

En cas "d'intervention", là aussi, la police a pour consigne de rester l'arme au pied.

Evidemment, tout le monde aura compris qu'il n'y a aucune chance qu'un squatteur s'attaque à Dupont Moretti. Ni aux très riches. Ils ne s'attaquent qu'à ce qui constitue la classe populaire ou classe moyenne inférieure.

D'une manière générale, cela correspond à ce que j'avais déjà signalé. Sous Louis XIV, les paysans détruisaient le toit de leur maison, pour ne pas payer les impôts. Et se regroupaient par lignées sous une seule. La population d'une seule atteignait facilement 40 personnes.

La "faiblesse de la croissance", entrainera ce genre de comportements. En plus, excellent moyen de se débarrasser d'un immobilier devenu encombrant et non rentable. Quand le commando est "clandestin", le propriétaire est une victime indemnisée. Toute somme investie devra être un jour, désinvestie.

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D
Faut pas se foutre de la gueule des russes. Leçons militaires du Haut-Karabakh : des raisons de s'inquiéter pour L'Europe.<br /> <br /> La plupart des armées de L'Union européenne seraient aussi lamentables que l'armée arménienne contre les drones et les tactiques de L'Azerbaïdjan<br /> <br /> "Les conseillers militaires turcs, en affinant la manière de combattre de L'Azerbaïdjan, ont contribué autant à la victoire de Bakou que la livraison de matériel.<br /> <br /> (...)<br /> <br /> La Russie avait dès le début de la guerre indiqué qu'elle n'avait aucune intention d'aider les Arméniens en dehors de leurs frontières reconnues. La Russie a également considéré la pression militaire azérie comme un outil pour affaiblir le premier ministre arménien, Nikol Pashinyan, qui a dirigé la révolution de 2018 qui a éliminé l'Ancien Régime. L'action azérie serait, en outre, susceptible de conduire L'Arménie à accepter des “plans de paix” précédemment négociés qui renforceraient la position géopolitique de Moscou. Cette situation politique défavorable s'est directement traduite par des désavantages militaires sur le champ de bataille pour les Arméniens.“<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Most armies in the European Union would do as miserably as Armenia's army did against Azerbaijan's drones & tactics<br /> <br /> “Turkish military advisers, by refining Azerbaijan’s way of fighting, contributed as much to Baku’s victory as the delivery of hardware.<br /> <br /> (...)<br /> <br /> Russia had from the onset of the war indicated that it had no intention of assisting the Armenians outside of their recognised borders. Russia also saw Azeri military pressure as a tool to weaken the Armenian prime minister, Nikol Pashinyan, who headed the 2018 revolution that removed the old regime. Azeri action would, moreover, be likely to lead Armenia accept previously negotiated “peace plans” that would strengthen Moscow’s geopolitical position. This adverse political situation directly translated into military disadvantages on the battlefield for the Armenians.“<br /> <br /> <br /> <br /> Military lessons from Nagorno-Karabakh: Reason for Europe to worry<br /> <br /> https://ecfr.eu/article/military-lessons-from-nagorno-karabakh-reason-for-europe-to-worry/
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L
Haut-Karabagh : victoire de Londres et d'Ankara, défaite de Soros et des Arméniens, par Thierry Meyssan<br /> https://www.voltairenet.org/article211683.html<br /> <br /> Analyse de Thierry Meysan du conflit du Haut-Karabagh, que je rapproche de celle du Saker anglophone, très différente en apparence, mais pas tant que cela finalement.<br /> <br /> https://lesakerfrancophone.fr/comprendre-lissue-de-la-guerre-pour-le-haut-karabagh<br /> <br /> Les deux s'accordent au moins sur un point : un fiasco pour les américains. <br /> Fiasco nuancé pour Meyssan, qui fait une différence entre "l'état profond" militaire américain et les globalistes sorosiens. <br /> Simple revers -un de plus- pour le premier, déroute pour les deuxièmes, dont les Arméniens, qui auront confondu à tort révolution colorée et assistance militaire assurée de l'oncle Sam, auront fait tristement les frais.<br /> <br /> Meyssan introduit ensuite une deuxième nuance qui va à l'encontre de ce que l'on admet généralement dans la "dissidence". <br /> Depuis l'arrivée de Bojo aux affaires, la politique extérieure des britanniques tend de plus à se découpler de celle de leur allié américain de principe. <br /> Toute l'affaire du Haut-Karabagh aurait été manipulée par le M16 britannique, en accord avec les turcs, pour au final permettre à la perfide Albion d'avoir un accès préférentiel au pétrole de Bakou (et aux mines d'or du coin). <br /> <br /> Nuance étrangère au Saker (The), Qui voit dans l'occident une entité globale qu'il désigne par le terme "d'empire anglo-sioniste". Et à rebours de cette thèse, il semble bien en cette affaire que, de par les manoeuvres tortueuses britanniques, Israël soit également dans les choux.<br /> Rappelons tout de même qu'historiquement les rapports entre l'Angleterre et Israël sont déjà passés par des phases hautement conflictuelles, avant l'expédition de Suez en 1956 qui n'était qu'une alliance de circonstances.<br /> <br /> The Saker pense aussi à une opération sans grand avantage pour la Turquie, qui a toujours eu des liens très étroits avec l'Azerbaïdjan, alors que Meyssan souligne l'importance d'une alliance turco-britannique qui aura permis à Erdogan d'échapper à une intervention américaine, dont le prétexte aurait été un deuxième génocide arménien. <br /> Et il est vrai que la gestion militaire invraisemblable de la crise par les autorités arméniennes donnent à penser que celles-ci avaient délibérément choisi de laisser massacrer une partie de la population pour provoquer une intervention américaine. <br /> <br /> Sur le rôle de la Russie, Meyssan voit simplement en elle le pompier de service qui aura éteint l'incendie en catastrophe, alors que the Saker voit en elle le grand vainqueur de l'épisode, puisque le fiasco américain lui aura donné la place de l'autorité tutélaire suprême dans une région essentielle pour ses intérêts -ce qui est aussi mon avis. <br /> Disons que Meyssan a raison de conclure au grand retour d'une configuration classique, le Grand jeu des anglais et des russes à nouveau directement face à face dans le secteur. <br /> <br /> <br /> CONCLUSION PLUS GENERALE<br /> <br /> Tous obnubilés par nos covideries, le conflit du Haut-Karabagh nous aura à l'évidence paru comme secondaire, alors qu'à la réflexion il marque un point de basculement essentiel de toute la géopolitique mondiale, le point où un certain nombre de petits cochons parmi nous risque de ne plus retrouver leurs petits. <br /> <br /> a) <br /> Premier petit cochon disparu, le "clash des civilisations" et autres fadaises ethnico-religieuses. <br /> Il y avait là en effet le prétexte rêvé -et certains comme Zemmour en ont ouvertement éjaculé dans leurs babines- à la dernière  grande croisade des chrétiens meurtris contre les infidèles cruels. <br /> Polope ! Macache ! <br /> Pour l'heure, il semble bien que le bon dieu ne fasse toujours pas le poids fasse aux saintes reliques des intérêts des États et de l'or noir qui les irrigue encore en particuliers.<br /> L'identité religieuse reste commode pour manipuler des conflits de voisinage -plus séculairement ethniques que proprement religieux d'ailleurs- mais le temps des croisades est bel et bien derrière nous. <br /> <br /> b) <br /> Deuxième petit cochon introuvable, le Nouvel Ordre Mondial dit NOM, dont cerner les contours exacts dans tout cet imbroglio me paraît relever de la quadrature du cercle. <br /> <br /> Concernant l'empire américain, Thierry Meyssan introduit déjà un distinguo intéressant entre l'état profond et les globalistes (lesquels en fait de profondeur agissent de plus en plus à découvert), et qui recoupe assez bien l'autre conflit ancien (et inexpiable) qu'il discerne entre les puritains des périphéries côtières et les jacksoniens de l'intérieur, conflit que l'on a vu ressurgir à l'occasion des dernières élections. <br /> <br /> Cette distinction existe aussi chez Christian Greiling dont je ne peux que vous conseiller le dernier article :<br /> <br /> http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2020/11/pour-en-finir-avec-le-n.o.m.html <br /> <br /> Entre l'état profond (une partie du pentagone, de la CIA et des agences de renseignement) et l'oligarchie globaliste (les milieux de la finance, des technologies de l'information et des médias, les professions, intellectuelles et juridiques en particulier) existent certes des passerelles surtout représentées par les ONG, dont Georges Soros est quasiment l'emblème. <br /> <br /> Viennent surtout se greffer les trois grands lobbies de l'empire américains que sont :<br /> <br /> Le lobby militaro-industriel, que l'on met à toute les sauces depuis le fameux discours d'Eisenhower en 1960, mais dont on devrait tout de même se dire qu'il ne trouve pas forcément son compte dans les tribulations erratiques de la CIA ou du business Soros. <br /> <br /> Le lobby sioniste (au sein duquel il ne faut surtout pas oublier le poids des chrétiens évangélistes), cœur quasi métaphysique du mal pour les soraliens (je ne pousserai pas plus loin l'ironie vu le boulot fantastique de réinformation qu'ils font par ailleurs. Pour moi leur érudition les aveugle. C'est tout). <br /> Alors que son influence aussi puissante que prégnante ne s'exerce qu'au proche Orient, pas toujours à son avantage d'ailleurs. <br /> <br /> Enfin le lobby pétrolier, tout puissant jadis, mais qui ne sert plus que de prétexte et de faire valoir à des opérations purement politiques, souvent au vrai désespoir des pétroliers. <br /> Prétexte efficace d'ailleurs si l'on en juge au succés toujours intact du "tout ça ne sont que des histoires de pétrole" dans la dissidence occidentale. <br /> <br /> Toutes ces planètes se sont trouvées triomphalement alignées pour une période très brève, de 1985 (premiers grands craquements du bloc soviétique) à 2007 (annonce de la tempête financière), ce qui a porté certains à  croire en un nouvel ordre mondial monolithique et irrésistible. <br /> Mais cette illusion est déjà loin derrière nous, après le big bang de 2008 qui n'était lui-même que le symptôme de contradictions -surtout en matière énergétique- insurmontables. <br /> La globalisation a vu renaître à la place la puissance de grands états battant en brèche l'empire, comme le montre la Résurrection de la Russie et de la Chine. <br /> <br /> La tentative de dictature mondiale sanitaire à laquelle nous assistons maintenant n'est que l'effort désespéré de la secte globaliste internationale de recoller les débris du prétendu NOM sous sa coupe. <br /> Cela ne marchera pas, simplement par les tensions que l'opération a révélé au sein de l'état profond US, mais aussi par le résultat des élections (?), qui laisserait un président démocrate sans moyen face à un ouragan économique qui s'annonce. <br /> <br /> Finalement le seul état où cet offensive folle apparaît comme couronnée de succès est la France.<br /> <br /> Logique, puisqu'il s'agit du seul pays où l'oligarchie nationale est parvenu à soumettre tous les contre-pouvoirs potentiels y compris son propre état profond, ce qui a donné l'avatar Macron et annonce la nouvelle nullité qui monte : le pauvre petit soldat de sit-com de Villiers. <br /> <br /> L'avenir dira s'il ne s'agit que d'un succès de surface, ce qui préluderait soit à la disparition historique d'une nation, soit à une réaction bien plus violente et originale qu'ailleurs. <br /> Nous n'en sommes qu'au traité de Troyes (1420).
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L
"Les migrants, c’est différent. Il y a de l’empathie, et quand on arrive, ils partent en s’excusant..."<br /> <br /> Ton margoulin, je le sens mûr pour louer un pavillon transformé en bergerie à Cedric Herrou.
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V
Pierre-Yves Rougeyron : Gouverner par le foutage de gueule ou le cas jean Castexhttps://www.youtube.com/watch?v=ab5N7g9fykA
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G
Simplement info, le coronavirus dans le monde au 24 novembre (graphiques)<br /> <br /> Final #coronavirus numbers for Nov 24th. The world saw its deadliest day of the pandemic yet yesterday with 11,720 lives lost to #COVID19 while adding another 543,373 new #COVID infections. Total to date infections now surpass 60 million.<br /> <br /> Numéros finaux du #coronavirus pour le 24 novembre. Le monde a connu son jour le plus meurtrier de la pandémie hier avec 11 720 vies perdues à # COVID19 tout en ajoutant 543 373 nouvelles infections #COVID. Le total des infections à ce jour dépasse maintenant les 60 millions.<br /> <br /> https://twitter.com/WoodfordinDK/status/1331480852547706880
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G
Peut etre, le début de l'histoire, Info ou intox (il faut aller voir l'info, dans le lien du tweet, car difficulté de transcription)<br /> <br /> Q INFOS – Le laboratoire chinois de Wuhan appartient en fait à Glaxo.<br /> <br /> https://twitter.com/qactusinfos/status/1330852698623799296
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