BIDEN : PAS DE CHANGEMENT...
22 Janvier 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Chronique de l'effondrement, #Politique
En matière de politique étrangère, selon "Moon of Alabama",en fait, si, les changements seront énormes.
De fait, si Trump tonnait beaucoup, la foudre, autre qu'économique ne tombait jamais. Même quand les iraniens écrasaient une base aériennes, faisaient 80 victimes, Trump proclamait la victoire et disait qu'il n'y avait pas de pertes. Bon, je sais, si 80 % sont des mercenaires, le mercenaire, ça compte pas vraiment, ça compte pour du beurre, comme disent les gamins. On s'en fout, surtout si c'est de l'ougandais. ça pousse comme du chiendent.
Pour ce qui est de déclencher ou d'approuver les guerres, Biden est, par contre, champion. L'administration du prix Nobel de la paix, Obama, en a déclenché 7. C'était open bar, grâce à ce prix Nobel de débilité. Trump a rompu avec la tradition, il n"en a commencé aucune.
Pour ce qui est de la dislocation de l'empire, les USA n'ont rien à offrir aux alliés. La Chine et la Russie ont du réel. Les autres du vent et du verbe. Pire, ils n'ont que du nuisible. L'Allemagne sans gaz russe ??? Où avec une disponibilité en gaz de mer du nord qui se réduit, le recours aux réserves russes est indispensable.
Par contre, pour ce qui est de commencer des nouvelles guerres, il risque d'y avoir comme un problème. La Russie est capable de pulvériser les USA en 1/2 journée, leur propre armement nucléaire est obsolète, la Chine, c'est aussi compliqué de lui faire la guerre, sans ses pièces détachées (Quand on est con, on est con), et pour l'Iran, c'est compliqué aussi de faire la guerre, avec une puissance qui peut mettre la production gazière et pétrolière HS du golfe en quelques dizaines de minutes et détruire Israël en pas longtemps aussi. On a parlé depuis plus de 10 ans des "100 000 missiles du hezbollah", depuis le temps, c'est le million qui a dû être atteint.
Après, le Venezuela, c'est compliqué aussi. Tout est compliqué, quand il y a moins de muscles, et qu'on n'a pas réussi à le faire quand on était en pleine forme. 65 000 hommes comme corps de bataille, c'est très peu, même avec des alliés.
Pour ce qui est de la guerre à l'interne, avec la garde nationale qui tourne le dos, ça va être compliqué aussi. Marrant, d'ailleurs, de voir le compte touitteur qui le disait suspendu.
"En tout cas pour s'entourer de 65 000 militaires il faut soit être complétement paranoïaque ou savoir que l'ont c'est fait beaucoup d'ennemi. Les deux a la fois ne sont pas incompatible."
"> Pour ce qui est du pouvoir, il se méfie aussi de sa garde prétorienne. Il a raison.
> En cas de guerre civile, gardes nationales et armée se disloqueraient très vite.
Video filmée qui proviendrait du cortège de Joe Biden qui va au Capitole faire son investiture en tant que président des USA. Les soldats de la garde nationale sont au bord de la route et regardez bien ce qu'ils font : ILS TOURNENT LE DOS à BIDEN. La confiance règne ... "
Sur You tube, ça y est encore. Profitez en tant que c'est possible.
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