L'IMMOBILIER, CA PEUT PAS BAISSER !
31 Mars 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Chronique de l'effondrement, #Immobilier, #energie
Surtout ici, à Paris, ville la poubelle du monde !
Donc, là-où-ça-pouvait-pas-baiser, pardon, baisser, dans les studios étudiants, bien entendus, hors de prix, à plus de 800 roros la bêbête, et qu'on doit baisser de 2 %, ça leur parait un scaaanndâââle comme disait Georges (Marchais), même s'il y a des pointes à - 5 % ! De fait, c'est le problème des goinfres qui se bâfrent et se scandalisent de se voir refuser le dernier petit chocolat.
On peut même citer, désormais, comme un gag, le "Ici, c'est les prix !"
Bon, après qu'ils aient payé trop cher leur bouse ou soient surendettés, c'est pas le problème de leur locataire, ils pourront râler quand ils n'auront plus du tout de demandes.
De toutes façons, il n'y a pas à pleurer pour des gens soit disant avisé, qui en sont à 20 ou 50 euros près. La notion d'aléa, pour l'investisseur, ils connaissent ???
Ici, il y a eu un gros pavé de baisse de la demande, pour une région économiquement inutile, et hypertrophié, une vraie prostate de vieillard.
Pour commencer la destruction d'une bonne part du parc immobilier, on peut aussi durcir les normes et obliger aux travaux. Cela entrainera, d'une part une réhabilitation, de l'autre côté une destruction du parc pour une fraction non négligeable.
Mais, de toute manière, vu l'inconséquence des bredins qui nous gouvernent, ils ne s'aperçoivent pas que c'est inutile. Il faut se poser la question de savoir si l'énergie considérée comme "normale", aujourd'hui, sera disponible demain. Là aussi, ce n'est pas le cas. Le tri, qu'on veut imposer, ne se fera pas.
Et on sous estime la tendance d'une re-cohabitation, même pénible, entre générations. Quand on n'a pas le choix... On n'a pas le choix...
Les bouseux, voient arriver (malgré les odeurs, le chant du coq et les routes défoncées) de nouveaux arrivants, fuyant les joies du covid, mêlé au vivre ensemble et de la diversité.
On peut aussi rajouter, dans certains endroits, la joie de vivre dans une commune qui a largement pêté plus haut que son cul.
Après, piégé dans la glu de leur investissement, il est clair que les couillons investisseurs pensent toujours trouver une échappatoire.
Il est d'ailleurs très marrant de voir comment on espère le "retour à la normale" et les touristes, comme soeur Anne.
Pour ce qui est de Paris, ADP n'y croit pas franchement.
Toulouse, le marché immobilier est atone, mais en léger tassement seulement, Sannat attend le rebond immobilier après le rebond du transport aérien et des commandes (de quoi se pisser dessus !). Simplement, ce qui prévaut, en ce moment, c'est l'attentisme, avec le gonflement de l'épargne, qui permet la possibilité de cette situation.
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