THE SHIT PROJECT. PARDON THE SHIFT PROJECT...
"Que penser de Jancovici ( the Shift project )
nucléairocrate à fond, qui en ce moment fait quasiment une vidéo tout les 2-3 jours ,
lors de conférences ou il se fait rémunérer
A fond pour le nucléaire,
il ne cause jamais de la base , c.a.d la disponibilité du matériau !!, du pic Uranium" .
Si certains lecteurs me disent, oui il y a le thorium, ceci, cela, d'accord. Mais de fait ces "nouvelles" nucléaires n'ont aucune utilité pour l'existant, qui lui, a bien besoin d'Uranium classique pour fonctionner. Où sont les dépenses pour la création de nouvelles filiales, celle du thorium par exemple ? Nulle part, et la dépense pour les EPR, c'est du grand n'importe quoi.
Pour le moment, on en reste au même point, et superphénix était un nanard éternellement en panne... Pas franchement défendable et avec un sodium ultra dangereux...
Le Shit Project fait aussi des siennes dans le transport aérien.
Seule 10% de la population mondiale prend l’avion chaque année 8 et, en 2018, 1% de la population mondiale était responsable de 50 % des émissions de l’aviation 9. Ramenés au nombre de voyageurs uniques, ces niveaux d’émission prennent une toute autre dimension.
Le secteur aérien compte pour 3,5% du PIB mondial avec plus de 60 millions d’emplois directs et indirects. En France, l’aviation civile représente 4,3 % du PIB (chiffre 2018), dont plus de la moitié pour la construction aéronautique.
Elles dessinent la voie d’une préservation durable du secteur, compatible avec les objectifs climatiques, tout en limitant l’impact sur l’emploi.
La crise devrait rebattre les cartes du marché du transport aérien dans les prochaines années, avec des pertes totales de 118,5 milliards de dollars en 2020 et une perte de chiffre d’affaires annuel liée à la baisse du trafic aérien qui s’est élevée à 510 milliards de dollars, selon l’IATA.
Les prévisions de trafic pessimistes, les reports et annulations de livraisons par les compagnies aériennes (800 réalisées contre 2 000 planifiées initialement, ont entraîné dès mars 2020 une adaptation des rythmes de production des avionneurs (Airbus, Boeing, Embraer, etc...).
Airbus a en outre annoncé en juin 2020 la suppression de près de 15 000 postes, Boeing de 30 000. Ce dernier, déjà fragilisé en 2019 par l’interdiction de voler du 737 MAX, a connu en 2020 la pire année de son histoire, avec des pertes nettes de 11,9 milliards de dollars et 157 livraisons d’avions seulement. Airbus quant à lui, subit une perte nette de presque 3 milliards d’euros sur les 9 premiers mois de 2020 et livré 566 appareils.
Là aussi, un politiquement correct est visible. Aucune allusion à une possible disparition du secteur et une allégorie du "droit à se déplacer". De fait, personne ne remet en cause ce droit. Les castes franques en Inde sont repérés dès le XII° siècle, mais apparemment, ils n'étaient pas arrivés, ni en avion, ni en voitures à pétrole. Sans doute marine à voile, chameau, dromadaire, cheval, à pieds, mais certainement pas avec nos moyens. Là aussi, volonté de ne pas parler des vrais problèmes. La disparition possible de la totalité du transport aérien, ou la réduction à un petit reliquat.
Là aussi, cacas nerveux de riches, qui veulent préserver leur mode de vie, quitte à appliquer une taxe carbone aux conducteurs-de-diesel-fumeurs-de-clopes-illettrés. Si, au plus fort de sa "démocratisation", le transport aérien n'a concerné qu'une minorité de 10 % de riches, ce qui se fera, c'est que la marche arrière enclenchée en concernera de moins en moins, 5 %, 4,3,2... puis 1 %.
Après une pareille dévastation comme décrite ci dessus, qui, sérieusement peut croire à une survie à l'identique, voir à une reprise, ou simplement aux "carburants alternatifs".
Le secteur fonctionne simplement, par habitude, comme fonctionne le secteur pétrolier. bien entendu, sans perdre les mauvaises :
"ExxonMobil, BP, Shell, Chevron et Total ont combiné une perte de 76 milliards $ en 2020." Mais malgré cela, 50 milliards de dividendes distribués. 561 milliards de dollars, pour des flux de trésorerie de 325 milliards de dollars sur les dix dernières années.
Pour ce qui est du merdier, la récente flambée du prix du brut se voit immédiatement contrariée par la baisse de la demande.
Dans la série "caca nerveux de riches", la récente sortie de Meghan Markle", aux capacités cognitives très limités, avec son chéri, très limité aussi, intellectuellement parlant, mais qui doivent se considérer, avec leur "peu", comme de nouveaux pauvres. Pensez, le contribuable godon n'assure plus leur sécurité... Les godons des classes populaires chantaient aussi le "ça ira", pendant la révolution, ça pourrait leur donner des idées. La catin entretenue de la chanson ???
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