VISIONS D'AVENIR...

1. L'emploi - Le taux de chômage réel s'étale entre 15 et 40 % dans la totalité des pays, avec un taux moyen plus près des 30 %. Les chômistes sont donc priés de ne pas se casser le cul à chercher un emploi qui, de toute façon, n'existe pas. Le mineur, viré, par exemple, n'a strictement aucune chance de retrouver un emploi, et devrait se consacrer aux patates, dans son mobil-home, ou mieux, son bunker souterrain, creusé de ses propres mains. Pour un mineur, il a l'habitude. (Pour moi, son avenir n'a absolument rien d'incertain, il est pré-emballé).

2. Retraites - Les fonds de pension sont déjà largement morts, et ceux subsistants, mourant.

3. Compagnies aériennes - Les bétaillères volantes vont être plus chères, pour les veaux. De toute façon, la finalité des voyages, est totalement futile dans 90 % des cas. Et le voyageurs intempérant, capable, par exemple, de payer pour un voyage simulé, mérite la camisole de force. De toute façon, il n'y a pas beaucoup "d'airports", capables de survivre économiquement... Sauf pour les avions à piston...

4. Hôtellerie, tourisme -   Le futile concerne aussi le tourisme de masse qui va totalement disparaître. Petit Nicolas, qui doit passer un an au gnouf, ne pourra plus tenir ses conférences dans les hôtels. Entre nous, un an, c'est pas beaucoup. Il aurait du être passé au karcher. J'ai juste, là ???

5. Bureaux - Le bureau, c'est souvent le travail de merde par excellence. Complétement improductif, la plupart du temps, c'est peigner la girafe, et la meilleure manière de rationaliser, c'est de virer le max de personnes.  Les mots "travail" et "bureau", sont exclusifs l'un de l'autre.

6. Grandes villes - Trop consommatrices de fluides de tous genres (énergie notamment) et je trouve Yves Cochet très optimiste quand il parie sur un - 50 % pour Paris. Les riches, s'ils veulent partir ailleurs, seront quand mêmes les victimes du crash. Ils auraient du tout faire pour l'éviter, plutôt. Paris, pendant la guerre de 100 ans, et la grande crise d'effondrement du XIV°-XV° siècles, c'est plutôt un - 80 %. Et des rentes qui disparaissent.

7. Grandes entreprises - Les grandes entreprises sont trop fragiles trop dépendantes d'un biotope disparu ou en voie de disparition. Les multinationales disparaitront vite, victimes d'elles mêmes (bien fait), et la production sera locale, le commerce concernera des miettes. Et en plus sera réputé amenant des maladies.

8. Banque et finance - 90 % de l'activité économique des banques relèvent de la branlecouillie, échanges entre banques de je ne sais quoi, complétement fictifs.

9. Grands états et organismes internationaux - Certains grands états ont disparus, URSS et empires coloniaux, maintenus sous une autre forme, comme la françafrique, qui visiblement, se délite rapidement, d'autres devraient suivre : Chine, USA, UE, ou plutôt se fragmenter. En dessous, les états classiques auront un destin varié, certains vont certainement se disloquer (Belgique, Royaume Uni, Allemagne), d'autres pourront se maintenir par habitude, avec une grande autonomie locale, et certainement, un communisme municipal, des féodaux locaux, grands psychopathes devant l'éternel, mais résolus et actifs, pas des trous-du-cul, disant "l'état ne peut pas tout". De fait, le féodal, s'occupe de tout, même de ce qui ne le regarde pas...

Beaucoup souffriront et mourront à cause de la pauvreté, de la famine, des maladies et des guerres. L'ampleur de cette dévastation sera bien plus grande que celle du coronavirus (qui tend plutôt vers le ridicule). Voir, la fin de l'URSS. C'est simplement, l"économie qui recolle à la physique.

Ce qui a été vu à la fin de l'URSS, c'est le retour à la terre (le jardin familial), les liens personnels, une décroissance massive de la pollution et des pollutions en tous genres. Après, le changement climatique, va vite sortir des préoccupations...

Le cadre bobo de région parisienne, va rire jaune. Ses vacances à Rhodes sont foutues. Et comme je l'ai dit pour les retraités, si beaucoup sont en mode survie à l'heure actuelle, une bonne partie (les plus aisés), sont en mode décérébrage intensif, avec un bouton réglé sur "voyages-croisières" et des émissions de télés qui voient des vieux vendre leurs immobiliers en viager pour "profiter de la vie, faire des voyages et des croisières..."

Comments

[Misha]

Rose les dix dernières! on peut allez jusqu'à trente!
pourquoi pas deux cent cinquante!
voir cent mille!

Dans le (-cher) concept de chute, le plus important c'est la vitesse, sinon l'accélération....

[Abdel]

Et le village sur Mars , on y aura pas droit :-)

[Chuck]

Sinon vous auriez une bonne nouvelle Monsieur Reymond ?

[Rose]

La bonne nouvelle est comme le dit le taulier "de savoir dans quel monde on vit"

Réellement vivre avec chacun ses moyens intellectuels et financiers, profiter des bonnes choses de la vie tant qu on peut encore vivre avec un peu d insouciance.
Empecher ses gosses de faire des "etudes" de me.rde de socio/psycho, leur ouvrir les yeux sur toutes les conn.eries post modernes et en faire des etres humains et pas des robots de la bienpensance.

Le futur sera certainement plus sain que les 10 dernieres années completement ubuesques... pour ceux qui survivront.

[Patrick REYMOND]

oui, le système s'effondre !