NIOUZES ENEREGETIQUES 17/05/2021
17 Mai 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie
En Russie, le mot d'ordre, c'est "vite forons", avant que la baisse de la demande pétrolière ne fasse son oeuvre. Et tant qu'il y a des clients solvables, c'est à dire jusqu'en 2030.
Visiblement, c'est un grand classique pour la plupart des états pétroliers, forons, forons, comme des fous, parce que dans beaucoup de cas, c'est la dutch disease qui parle, il n'y a pas ou peu d'autre activité économique.
On peut penser aussi qu'il y aura une dépression de la demande quand les prix redressés auront cassé la reprise.
Comme on voit, il n'y a qu'une gestion à court terme. Pourtant, on pourrait dire dans bien des pays, qu'on consacrera les ressources à la consommation interne, qu'on pourrait toujours manipuler.
On dit que les godons ont un plan génial pour relancer les mines de charbon. Les utiliser pour la géothermie. Ils pourraient aussi récupérer le grisou pendant qu'ils y sont. Je vois pas ce qu'il y a de génial, à utiliser de vieilles installations différemment. Je constate simplement qu'ils ont mis du temps à percuter...
Dunelm Geotechnical and Environmental Ltd espère extraire l'eau via des forages verticaux à une profondeur de 300 -400 mètres. Une pompe à chaleur sera utilisée pour extraire la chaleur de l'eau, qui sera comprimée à une température plus élevée.
Une centrale électrique sur le site minier distribuera l'énergie nécessaire pour chauffer les bâtiments locaux, tels que les tours résidentielles. Le plan consiste à utiliser des panneaux solaires et une unité combinée de chaleur et d'électricité pour produire de l'électricité afin d'alimenter le système.
Comme la mine a fermé en 1932, on peut pas dire que ça soit de la rapidité. On peut aussi récupérer les gaz, dans des forages horizontaux, là aussi, c'est une vue à très long terme, une quantité modeste, mais stable, pour une durée de plusieurs siècles.
USA : la remise en service de colonial n'a pas permis de réapprovisionner les stations services. Il était marrant d'ailleurs, de voir les consommateurs US se plaindre d'un (gros) plein à 35 $, trouver exorbitant un prix de 7 $ le gallon (5 litres). On comprend mieux pourquoi la plupart des gens ne croient pas au pic pétrolier.
La vitesse de croissance du renouvelable d'ailleurs est impressionnante.
France, il risque d'y avoir des risques pour le nucléaire, le Kazakhstan a l'air de se faire prier pour continuer/développer/ne pas réduire la production d'uranium. Il faut dire qu'au prix actuel, c'est totalement sans intérêt.
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