RETOUR VERS LE FUTUR, ENFIN, VERS LE PASSE...
14 Juin 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Energie
Donc, il y a eu une coupure (très douloureux, ça !) d'internet (très salutaire ça) pour tout un tas de sites de vente en lignes.
Donc, ils vont trouver une parade géniale, on pourrait imprimer des tas d'album papier, en envoyer partout, partout, partout, avec un truc encore plus génial : un bon de commande en papier, payable par chèque ou virement. Je vois le problème qui arrive. La plupart des clients ne sauront pas rédiger le bon de commande, faire le total, et ne savent pas ce qu'est un chèque. Bon, il faudra un temps d'adaptation. Et revoir le système d'enseignement.
Il faudra aussi un nom qui claque. Genre "tarif album", en Amérique, on pourrait l'appeler "tarif album manuamerica", et en France "tarif album manufrance". Ce qui serait, j'en suis sûr, du jamais vu.
Parce qu'un aussi gigantesque instrument que le Oueb, ne peut faire que comme tous les systèmes. Un jour, il tombera en panne, de manière irrémédiable. On peut aussi penser qu'une monnaie dépendant de l'électricité, n'est pas une bonne idée. Parce qu'avoir une électricité en tous temps en tous lieux, n'est pas évident.
Le barrage d'Inga, par exemple, est un archétype d'un système tombant en ruine, qui préfigure l'occident. Il était capable de produire beaucoup d'électricité, mais il n'y avait pas de clientèle solvable. Total, les vannes n'ont pas été révisées et les barrages fonctionnent à 20 % de leurs capacités.
On a attiré mon attention sur "les indes noires" de Jules Verne. Ce livre est paru en 1877, 12 ans après "la question du charbon", de Jevons. Jules Verne n'a pu ignorer cela. Dans le livre, on trouve une jeune femme qui n'a jamais été à ma surface. Est ce que cette jeune femme, c'est une allégorie pour nous décrire ? Nous n'avons jamais connu autre chose que la société pétrolière. les indes noires parlent de la déplétion que Jevons nous a décrit.
Le différence essentielle, c'est qu'aujourd'hui, production de pétrole, de charbon et d'uranium, n'augmentent plus. Seule celle de gaz, a encore du mou, mais elle est trop faible pour tout remplacer. Quand aux foutaises sur l'uranium, ce sont et ne restent que des foutaises. Pour l'éternité.
Dans le "guide finance", back to the 80', avec les placements en containers. Il me semble bien, qu'à l'époque, les Zeureux Zinvestisseurs, à qui on promettait monts et merveilles (20 % l'an), ont achetés "à grands prix, beaucoup de regrets" (Merci Louis XI, une grande classe, ce roi !). En fait, ils s'en sont mordus les "doit".
La crise de 1973 n'a été que ma déviation de la demande d'énergie, du pétrole, vers le charbon, le gaz et l'uranium quand c'était possible. Comme devant chaque niche, il existe un gros chien de garde, celui-ci a jappé contre le renouvelable qui avait le culot pour certains, de ne pas avoir besoin de combustible. Quand au 100 % renouvelable pour l'électricité, il n'y a aucun doute que c'est possible, qu'on est en train de le réaliser (y compris EDF pour l'outremer).
Une propagande, ne reste qu'une propagande, pas la vérité, même si on la clame de façon insistante selon la technique Goebbels. le réchauffement climatique n'est qu'un faux nez, celui de l'épuisement du fossile. Et pour pouvoir continuer, le "business as usual" encore un peu. Dire la vérité, c'est effondrer le système.
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