MINER LE MINAGE

La Chine est intervenu sur l'électricité à plusieurs niveaux.

"Pour atteindre leur objectif, les autorités chinoises se sont appuyées, entre autres, sur les fournisseurs de l’électricité de la région. Ces derniers ont reçu pour ordre d’analyser la consommation de leurs clients et de cesser immédiatement de fournir de l’électricité à toute entité s’avérant miner des bitcoin".

Ensuite par la hausse de la production et des importations de charbon, et faire baisser les cours de ceux-ci. Objectifs, oh combien contradictoire, et si une hausse assez homéopathique des importations peut avoir lieu -à la vue des besoins- la hausse de la production ne sera obtenue que par un grand écart avec déchirements des adducteurs, en ce qui concerne les prix de vente, et les coûts de revient. En gros, un énorme trou, financier, jumelé aux trous faits dans la terre...

"le recours accru à l'électricité solaire et aux centrales hydrauliques allaient entraîner une « baisse significative » des prix de l'énergie fossile à partir de juillet". Bref, les chinois sont en train de rire... jaune.

Un barrage gigantesque vient d'être mis en service.

Finalement, le compteur linky dont on nous a affublé, c'est leur manière d'appliquer ce que je vous avais dit :

"Dis moi quels sont tes besoins, je te dirais comment t'en passer".

Ce qui est en cause, ce sont les standards de vie. Et les dérives. On est passé de la loupiotte en 1930 à une foule d'applications de plus en plus inutiles. Le plus inutiles étant ressenti comme le plus vital.

Comments

[nobody]

"Ce qui est en cause, ce sont les standards de vie. Et les dérives. On est passé de la loupiotte en 1930 à une foule d'applications de plus en plus inutiles. Le plus inutiles étant ressenti comme le plus vital."

ceci a été écrit en 1755 :


À l’égard des maladies, je ne répéterai point les vaines et fausses déclamations, que font contre la médecine la plupart des gens en santé ; mais je demanderai s’il y a quelque observation solide de laquelle on puisse conclure que, dans les pays où cet art est le plus négligé, la vie moyenne de l’homme soit plus courte que dans ceux où il est cultivé avec le plus de soin ; et comment cela pourrait-il être, si nous nous donnons plus de maux que la médecine ne peut nous fournir de remèdes ! L’extrême inégalité dans la manière de vivre, l’excès d’oisiveté dans les uns, l’excès de travail dans les autres, la facilité d’irriter et de satisfaire nos appétits et notre sensualité, les aliments trop recherchés des riches, qui les nourrissent de sucs échauffants et les accablent d’indigestions, la mauvaise nourriture des pauvres, dont ils manquent même le plus souvent, et dont le défaut les porte à surcharger avidement leur estomac dans l’occasion, les veilles, les excès de toute espèce, les transports immodérés de toutes les passions, les fatigues, et l’épuisement d’esprit, les chagrins, et les peines sans nombre qu’on éprouve dans tous les états, et dont les âmes sont perpétuellement rongées : voilà les funestes garants que la plupart de nos maux sont notre propre ouvrage, et que nous les aurions presque tous évités, en conservant la manière de vivre simple, uniforme, et solitaire, qui nous était prescrite par la nature. Si elle nous a destinés à être sains, j’ose presque assurer que l’état de réflexion est un état contre nature, et que l’homme qui médite est un animal dépravé. Quand on songe à la bonne constitution des sauvages, au moins de ceux que nous n’avons pas perdus avec nos liqueurs fortes ; quand on sait qu’ils ne connaissent presque d’autres maladies que les blessures et la vieillesse, on est très porté à croire qu’on ferait aisément l’histoire des maladies humaines en suivant celle des sociétés civiles. C’est au moins l’avis de Platon, qui juge, sur certains remèdes employés ou approuvés par Podalyre et Macaon au siège de Troie, que diverses maladies que ces remèdes devaient exciter n’étaient point encore alors connues parmi les hommes ; et Celse rapporte que la diète, aujourd’hui si nécessaire, ne fut inventée que par Hippocrate.

Avec si peu de sources de maux, l’homme dans l’état de nature n’a donc guère besoin de remèdes, moins encore de médecins ; l’espèce humaine n’est point non plus à cet égard de pire condition que toutes les autres, et il est aisé de savoir des chasseurs si dans leurs courses ils trouvent beaucoup d’animaux infirmes. Plusieurs en trouvent-ils qui ont reçu des blessures considérables très bien cicatrisées, qui ont eu des os, et même des membres, rompus et repris sans autre chirurgien que le temps, sans autre régime que leur vie ordinaire, et qui n’en sont pas moins parfaitement guéris, pour n’avoir point été tourmentés d’incisions, empoisonnés de drogues, ni exténués de jeûnes. Enfin, quelque utile que puisse être parmi nous la médecine bien administrée, il est toujours certain que si le sauvage malade, abandonné à lui-même n’a rien à espérer que de la nature, en revanche il n’a rien à craindre que de son mal ; ce qui rend souvent sa situation préférable à la nôtre.

Gardons-nous donc de confondre l’homme sauvage avec les hommes, que nous avons sous les yeux. La nature traite tous les animaux abandonnés à ses soins avec une prédilection, qui semble montrer combien elle est jalouse de ce droit. Le cheval, le chat, le taureau, l’âne même ont la plupart une taille plus haute, tous une constitution plus robuste, plus de vigueur, de force, et de courage dans les forêts que dans nos maisons ; ils perdent la moitié de ces avantages en devenant domestiques, et l’on dirait que tous nos soins à bien traiter et nourrir ces animaux n’aboutissent qu’à les abâtardir. Il en est ainsi de l’homme même : en devenant sociable et esclave, il devient faible, craintif, rampant, et sa manière de vivre molle et efféminée achève d’énerver à la fois sa force et son courage. Ajoutons qu’entre les conditions sauvage et domestique la différence d’homme à homme doit être plus grande encore que celle de bête à bête : car l’animal et l’homme ayant été traités également par la nature, toutes les commodités que l’homme se donne de plus qu’aux animaux qu’il apprivoise sont autant de causes particulières qui le font dégénérer plus sensiblement.

JJ Rousseau.

[nobody]

faites tourner les liens c'est important :

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/07/01/on-atteint-le-plafond-de-verre-ils-deviennent-hysteriques/

https://odysee.com/@lacroixdusud:5/capsule56:e

faut que ca se diffuse au maximum.

[Raymond CRESPO]

La solution bobo écolo Pompili compatible avec prime d'état à l'appui, pour "rouler vert" et "sauver le climat" : La C5 aircross hybride, 40 000 euros à l'achat, 1800 kgs sur la balance et des pneus de 235, consommation 1.8 litres en parcours citadin mais 8.5 l sur un long trajet en autoroute. Avec des dirigeants qui prennent le problème à bras le corps de cette manière, on a pas le c.l sorti des ronces.

[Abdel]

En Syrie, après la guerre, les agriculteurs se sont organisés et ont trouvé une solution pour irriguer ....une idée de notre future ?

https://fr.news.yahoo.com/syrie-l%C3%A9nergie-solaire-charger-portable-071804758.html

[manassas]

Ca me rappelle que j'ai vu un éleveur remplacer son éolienne pour abreuvoir par un mat avec un panneau solaire près de chez moi. A priori, ça semble pas idiot, les mois où les bêtes paissent sont les plus ensoleillés.

Par contre, que ça soit du solaire ou de l'éolien, ça ne remplit pas les aquifères...

[francomusso]

Contrôler l'effondrement ... je ris tjrs plus qd des gens de la plèbe croient posséder quoi que ce soit ...
https://brunobertez.com/2021/07/03/interdire-aux-investisseurs-de-retirer-tout-leur-argent/

[nobody]

les lectures de berthez sont d'égales valeur à lui-même :

"Les dirigeants des banques centrales insistent sur le fait que le récent cycle de les pressions sur les prix s’atténueront une fois que les goulots d’étranglement à court terme de la chaîne d’approvisionnement auront disparu et que la période de fermeture économique de 2020 ne fera plus partie des comparaisons d’une année sur l’autre. "

confondre goulot d'étranglement et nouvelle normalité c'est triste quand même. ca continue de croire à un retour antérieur. .... ok :)

la beauté du positionnement d'un tel mecanisme de réflexion c'est qu'à force de faire peser la charge sur le système et n'avoir rien à en foutre puisqu'on s'appuie sur une résilience synthétique et non physique, quand le physique craque, la première volée de victimes se comptera en milliards tellement les assistés cognitifs seront pire que des biches dans les phares.

lire rousseau sur l'origine des inégalités fait comprendre que ce qui engendre l'erreur malthusienne reste néanmoins une inéluctabilité sur le long terme et que l'heure est enfin arrivée, cette fois, véritablement, TINA.

l'ordre quantitatif est insoluble. aucune virtualisation ne peut sauver cette réalité physique.

la seule chose vraie et intelligente que dit cet escroc de sannat c'est " préparez vous".

[dupontg]

A mon avis il y a une erreur dans la description sur le site belge...
62 millions de KWh par an c'est ridicule pour 16GW...(16millions de KW)...suffirait de fonctionner 4 heures par an
Ca doit etre 62 milliards de KWh (62TWh) pour 4000 heures de fonction par an...soit 45% du temps.