MARTINIQUE, GUADELOUPE ET PARIS MEME COMBAT ?
12 Août 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie, #pandémie
Désintoxiquer du bougisme, voilà le sens profond du covid.
La Martinique et la Guadeloupe vivent du tourisme, comme Paris, bronze cucul dans un cas, prestige et "culture", dans l'autre.
Pour nous sauver, on veut vacciner tout le monde. Les antillais sont méfiants. Forcément, comme les parties périphériques en France, et encore plus périphériques, ils souffrent encore plus des mêmes maux.
Mais que dire du Covid là bas ? Bien sûr, tourisme = importations de cas, c'est évident, mais la pandémie elle même ? Proche du ridicule ? 270 cas en Guadeloupe 58 en réa, 360 en Martinique 61 en réa, pour combien d'habitants ? 376 480 en Martinique (plus les dizaines de milliers de touristes) et 395 700 pour la Guadeloupe. Dans un cas 0.06 % de la population, dans l'autre, 0.09, mais vu le nombre de touristes le ratio est encore plus bas.
Le système sanitaire, déficient en période normal est encore plus saturé en période touristique.
Pour la France entière 9465 patients hospitalisés, soit pour 408 245 lits d'hôpitaux, une charge de 2.3 %...
Dans tous les cas, le principal problème, c'est davantage la carence hospitalière aux Antilles, l'éloignement de la métropole, les grands hôpitaux publics et privés en France peuvent s'échanger les patients, qu'une épidémie peu meurtrière pour lequel on veut nous enfoncer dans la gueule un "vaccin", qui dans le meilleur des cas est un perlimpimpim, et dans le pire, un perlimpimpim toxique.
Inutile pour les gens en bonne santé, il est inutile aussi pour les plus affaiblis...
Le problème est le refus têtu de changer de mode de vie. Combien chaque touriste aux Antilles consomme t'il de pétrole pour son voyage ? 3 litres aux cent kilomètre nous dit on ?
Le tourisme convient parfaitement aux endroits où l'on ne produit rien. Les régions productrices, elles, n'attirent personne en été...
"Vacances gâchées" ? De tous temps, les touristes, même fortunées, étaient vus comme des pigeons. En fait, c'est bien ce qu'ils sont. Des pigeons naïfs, et d'une pauvreté d'esprit affligeante. Obligé de partir en vacances, aussi, parce que leur vie, chez eux est d'une telle pauvreté, qu'il faut qu'ils partent...
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