UKRAINIA GAZETA V
12 Mars 2022 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Chronique de l'effondrement, #Politique, #Polémique
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Voilà les deux dernières cartes disponibles, l'une l'état actuel, l'autre visiblement, les buts de guerre.
"L’Ukraine comptait en 1989 quelque 51,4 millions d’habitants, mais 47,2 millions au moment du recensement de 2001. En 2019, on estimait que, selon le cas, la population oscillait entre 42,1 et 43,7 millions. On se trompait! Depuis le dernier recensement de 2001, le nombre de personnes dans le pays aurait diminué de 11 millions d'habitants, selon une étude du gouvernement ukrainien rendue publique en janvier 2020. De faibles taux de natalité, des taux de mortalité élevés, une émigration à grande échelle et plusieurs autres causes — taux de mortalité élevé, diminution des soins de santé, détérioration des conditions de vie, crise économique, appauvrissement, corruption, etc. — ont contribué au déclin.
En effet, les dernières statistiques du gouvernement ukrainien (janvier 2020) révèlent que la population du pays est en chute libre. Les migrations et les conflits découlant de l’annexion par la Russie de la Crimée et la guerre civile dans l'Est expliquent cette dégringolade de plus de 10 millions d’habitants en moins de vingt ans. Quelque 37,3 millions de personnes vivaient au 1er décembre 2019 dans les territoires contrôlés par Kiev, ce qui n’inclut donc pas la Crimée annexée par la Russie ni les zones sous contrôle séparatiste. Ce nombre ne comprend donc pas les personnes qui vivent en permanence à l’étranger et dans les territoires occupés. Il s'agit du nombre de personnes se trouvant physiquement en Ukraine".
Des militaires français parlaient d'un possible effondrement du front ukrainien.
C'est sans doute ce qui arrivera dès que les stocks seront épuisés. C'est le syndrome de l'armée italienne pendant la seconde guerre mondiale.
Contrairement à ce qui était dit, les soldats italiens se battaient souvent courageusement, du moins tant qu'ils avaient des munitions, du matériel et des vivres. Très vide, d'ailleurs, cartouchières et gibecières se vidaient. Une fois vide, il n'y a plus que la reddition aux meilleurs conditions...
Je rappellerais une parole d'Adolf : "la guerre, ça se décide restes contre restes".
A Marioupol, on voit que la ville est ratissée progressivement. Pour ce qui est du bourrage de crâne, les télés françaises prennent pour argent comptant, les rapports du QG ukrainien, les QG, c'est bien entendu, ne mentant jamais, ne surestimant jamais les pertes des ennemis, et ne sous estimant jamais les leurs... Surtout un QG qui n'a pas ou plus de liaisons avec les unités sur le terrain.
"Guillaume Bigot : «Lorsque les ETATS-UNIS AGRESSENT un état souverain comme l’IRAK, le BOMBARDE, font 200 000 VICTIMES, ça N’AGRESSE PAS LES DÉMOCRATIES ET LES VALEURS EUROPÉENNES ?»"
Le bombardement de la maternité n'est sans doute qu'un faux drapeau.
"Les sanctions de l’UE à l’encontre de la Russie équivalent à un « suicide par flic interposé »".
The south front, lui, parle de "victoire éclair" pour la campagne russe.
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