UKRAINIA GAZETA XXXIV
Il n'y a pas à dire, il y a de la décadence. On peut même plus compter sur les nazis, pâle reflets de ceux qui existaient à la grande époque.
A vrai dire, à part se faire tatouer le cul, on se demande à quoi ils étaient bons, en plus de massacrer ceux sans défense.
En effet, on peut dire ce qu'on veut des waffen ss, ils étaient au moins, courageux, et tellement embrigadés qu'ils méprisaient la mort.
Peu avant la prise de Falaise par 3000 canadiens, il restait 60 waffen ss de la division Hitlerjugend. Le commandant désigna un volontaire pour porter le message à kurt "Panzer" Meyer, la nouvelle de la chute de la ville. Il prit le plus vieux (aucun ne voulait partir), âgé de 18 ans. Il lui dit qu'il le trouverait facilement, que ce serait le premier allemand qu'il rencontrerait sur son side car.
Kurt Meyer était réputé détester l'arrière, et dans un de ses livres, Sven Hassel en donne une description saisissante et physique et de caractère. Il fait débarquer des voitures des gradés toutes leurs putes, débarrasser leurs bagages, et charger les blessés à évacuer. Il en fait aussi fusiller quelques uns des dits gradés.
Bien qu'ils apprécient peu et les gradés (ils les zigouillent quand ils en ont l'occasion) et les ss (pareil), Sven Hassel et ses camarades le respecte. Kurt Meyer avait, de plus l'avantage de ne pas avoir à tenir compte d'aucun des ordres de l'état major, qui ne lui parvenait jamais, ou bien trop tard... 3 waffen ss survécurent à la bataille de Falaise. Des 20 000 hommes de la 12° panzer division, il en restait 500.
Mollah Omar et sa mobylette avait il lu les mémoires de Kurt Meyer ?
là, à Marioupol, les nazis locaux, tatoués mais dont l'esprit de sacrifice n'était visiblement pas la qualité première, ni à la hauteur de leurs prédécesseurs, se sont visiblement rendus comme un seul homme, et tout aussi visiblement, n'avaient pas souffert de la faim, sans doute parce qu'ils se prétendent tous cuisiniers. Bon, visiblement, ils avaient oublié que comme nazis, ils devaient se battre jusqu'à la mort. Ils se sont dit qu'entre le Goulag et la mort, il valait encore mieux le Goulag.
Pour résumer :
- les néonazis ukrainiens ne sont pas des combattants remarquables. Ils n’ont pas défendu Berdiansk très longtemps au début de la guerre ; ils n’ont pas mené une « défense héroïque » de la ville de Marioupol mais se sont réfugiés dans l’usine d’Azovstal en prenant en plus des civils en otages.
- les troupes kiéviennes opposent aux Russes et aux armées républicaines d’une part des troupes équipées et entraînées par l’OTAN mais qui ne manœuvrent pas. Soit que leur formation soit incomplète soit que l’idéologie kiévienne de tenir la « terre ukrainienne » coûte que coûte les en empêche. D’autre part des militants fascistes qui font penser aux Waffen SS par leur manque de formation au combat – ils ont passé plus de temps à se faire tatouer des signes nazis et à défiler aux flambeaux qu’à apprendre l’art de la guerre. Ils sont finalement plus forts pour la guerre des mots et pour se planquer au milieu des civils ou dans des hôpitaux ou des écoles (afin de faire accuser les Russes par les médias occidentaux de crimes de guerre) que pour se battre selon la vieille éthique guerrière de l’Occident, fondée sur le respect de l’adversaire et la protection des gens désarmés.
En langage nettement moins châtié, ce sont des fiottes, bien formé au format Otan-mercenaire : apte à tuer des civils sans défense, mais guère plus. Pour ce qui est des divisions ss, si certaines ne valaient rien, d'autres ont été très coriaces. Cela dépendaient essentiellement de leur nature. les panzerdivisions, ss ou classiques comme la panzerlehr, avaient le même "rendement". "Le bilan des opérations militaires de la Waffen-SS est mitigé et globalement comparable à celui de la Wehrmacht, avec des niveaux de pertes du même ordre".
Le désastre financier en occident s'est installé. Parce qu'il était latent, et que les sanctions ont accentués son déroulement et sa vitesse.
Le grignotage de l'Ukraine, sans grosses pertes humaines, se poursuit et s'accentue.
On parle de fin de la mondialisation, là aussi, simple constat d'un processus déjà ancien, mais qui devient visible pour tous les bredins de base.
Les bredins d'en haut parlent de revenir au charbon. le seul problème sera de le trouver. Parce que, visiblement, la rentabilité n'est pas là, même avec des prix stratosphériques.
Olivier Delamarche lui, nous parle du gouvernement français : « Ce n’était pas facile de trouver un gouvernement comptant plus de débiles et de racailles que le précédent !! Macron l’a fait !!! »