VRAI OU FAKE ???
17 Octobre 2022 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie, #Actualités, #Chronique de l'effondrement
La Franceuh n'importerait plus d'uranium russe, sauf quantité infinitésimale...
En même temps, la vérité finit toujours par transparaitre et suinter. Même si l'aveu ne concerne pas franchement le sujet en question.
6262 tonnes d'uranium importée en 2020. Là est un élément important. sauf que pour 56 réacteurs, il faut, à la louche, entre 8000 et 10 000 tonnes par an, donc, on note un déficit important.
Après, là aussi, on est dans le même cas que dans une vaste partie du monde, la tendance au zéro stock et juste à temps. On peut imaginer, par exemple, dans "le couple franco-allemand" qui n'existe qu'en France, une Allemagne sans combustible pour les trois centrales laissées en activité en demande un petit peu, chose qu'on ne pourrait, bien sûr refuser.
138 230 tonnes importées en 16 ans, cela fait une moyenne de 8640. Donc, chaque année, une perte nette, aggravée aussi par le fait qu'on en exporte aussi...
La "France", prétend avoir "sécurisé" ses approvisionnements. Il faut voir avec quelle facilité les australiens se sont torchés avec le contrat des sous marins nucléaires.
Sans compter que tous les "Stan" d'Asie centrale sont, bien entendus, entourés de voisins bien plus puissants qu'eux, qui pourraient avoir besoin, "éventuellement", de beaucoup d'uranium. Ou plutôt qui auront dans quelques temps, besoins des dernières ressources en uranium. Là, on verra ce que pèse un "stan", de 25 millions d'habitants, face à une Chine de 1300 ou même une Russie de 140...
En Suisse, on entrevoit la fermeture des stations de skis. Ceci, parce qu'elles se révèlent très gourmandes en énergie, pour une utilité économique pour le moins, marginale, et simplement, occupationnelle. De plus, ces stations se fournissent au prix du marché pour l'électricité, et le tarif est totalement "out of control" ... Là aussi, ils sont pitoyables sur leurs "efforts", d'économies d'énergies.
La seule bonne économie à faire pour ces stations, c'est de les fermer. Elles sont l'image de leur époque, ces années 1960 où on les pensât, sans penser qu'elles étaient une gabegie énergétique sans fond. ll faut se poser la question de savoir si les loisirs des cadres sont si importants en période de restrictions énergétiques.
En France, aveuglés par la flambée immobilière, on n'a pas vu que 4,8 millions de logements sont des passoires. Et sans doute le double ne valent guère mieux.
Bonne soirée...
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