MOYOCOYATZIN
8 Janvier 2023 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Chronique de l'effondrement, #Politique
ça pétarade dur au Mexique, où les Zusa visiblement, n'ont pas assez de guerres -perdues- en cours, pour ne pas en vouloir une autre.
Et puis, le Donbass, peuplé de russes, veut rejoindre la Russie, alors, il est logique que les mexicains majoritaires dans beaucoup de comtés des états annexés en 1848, veuillent rejoindre le Mexique.
Pour le moment, il est question de guerre entre les cartels, notamment celui de Sinaloa, le Mexique, aidé par des "conseillers" US. La très célèbre ville de Culiacan, épicentre du cartel de Sinaloa, est le théâtre de combats entre sicarios (nombreux, bien payés et très bien armés) et armée (pas nombreuse, mal payée et pas trop bien armée) ainsi qu'une police qui a une certaine tendance à se faire porter pâle face aux cartels.
Normal, nourris et largement arrosés par ceux-ci, les policiers ont un zèle tout à fait relatif à les pourchasser...
La population, quand à elle, sait très bien qu'elle est sensée ne rien dire, voir ou entendre...
Le Mexique, a beaucoup perdu dans l'ALENA, 5 millions d'emplois agricoles, 2 millions d'emplois industriels correctement payé, remplacé par 2 millions d'emplois mal rémunérés dans les maquiladoras. Le trafic de cocaïne avec la Colombie a remplacé les activités défuntes... La position géographique fait du Mexique l'entrée naturelle des stupéfiants aux états prétendus unis.
La dégradation de la situation sociale a ouvert la voie non pas aux cartels, mais à un net accroissement de leur puissance.
Bien entendu aussi, la production pétrolière de Mexique, en pleine récession, désargente un état mexicain, et les états mexicains, qui, de fait, doivent composer avec les narcotraficantes, aux moyens financiers et militaires importants.
« Une crise énergétique est une crise globale de la société ».
Les affrontements, d'ailleurs, se font sentir aux USA, très fortement dans les 7 états annexés en 1848, mais ont aussi largement débordés sur le reste du pays depuis une quinzaine d'années.
Les latinos, à la différence des noirs, agissent dans des bandes fortement structurées et sont issues de familles, elles aussi, très structurées. Les noirs sont, eux, des bandes dysfonctionnelles, avec des membres issus de familles dysfonctionnelles.
Il faut rajouter d'ailleurs que les latinos, se collent au cul, tous les LGBTIQ+++ de la terre.
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