FLIP PUIS FLOP...

Les manifestants de gôche se sont retrouvés très seuls, à l'état de groupuscule, ceux qui aiment bien les migrants, les wokes, les lgbtqiz.... Mais qui détestent les bleus.

Et dont le niveau de culture est bien en dessous de zéro, et le niveau de réflexion est tellement dans les chaussettes depuis tellement longtemps que ça commence à sentir le camembert bien fait.

Ils étaient 30 000 nous dit on, sans doute, en réalité, la moitié de ce chiffre et deux fois plus de policiers pour la manif anti police.
L'article de Marianne a raison de rappeler que ces soi-disant association, sont, en réalités, des tiroirs caisses pour subventions. La "droâte" au pouvoir, pendant des années, n'a même pas eu ni le courage, ni la sagacité de leurs supprimer leurs prébendes.

D'ailleurs, le néolibéralisme a fondé son succès sur les donneurs de leçons, gourmands et gonflés de subventions, de connivences, sur le "social", forcément déficitaire, car trop noble pour se salir les mains à gagner de l'argent, ou assez d'argent pour être viable.

On a assisté à la flambée des loyers HLM depuis les années 1980, au delà de toute raison, sans doute, parce qu'au delà de toute raison, le parasitisme s'y est installé et incrusté.
Au début des années 1960, les HLM avaient peu d'employés, des prêts à taux imbattables, des terrains très peu chers. Qu'ont ils fait des fortunes accumulées pendant les années 1960 et 1970, bien que certains locataires, protégés par le PC ne payaient pas de loyers depuis dix ans ? Ils ont dilapidés ça. Rémunérations inconsidérés (des dirigeants), embauches socialistes en pagaille et dans une pagaille indescriptible...

les rénovations nécessaires au début des années 1980 ont été très peu fait avec des fonds propres, mais avec des taux qu'on hésite à qualifier de "bonifiés", à 20 % entrainant des doublement de loyers, compensés pour certains, par des APL, et pour les autres, par des déménagement pour des cieux plus cléments.

La dérive des HLM est ancienne, et comme toute organisation, elle vieillit mal et est frappée de sénescence. Le logement social est aussi devenu le fromage de nombreuses souris gourmandes bien installées dans leur sinécure...

De fait, l'idéééologie + la fossilisation qu'on peut constater dans de nombreux secteurs, comme les HLM depuis de nombreuses années, c'est le schéma de la soviétisation des années 1970 et 1980.

Pour rappel, le HLM, c'est destiné à loger, pas les plus pauvres, dans de bonnes conditions, à des tarifs bas.

La soviétisation, c'est la corruption généralisée, des appels d'offre, des attributions des logements à la tête du client, des rémunérations (en haut de l'échelle) indues et indécentes, un chômage larvé pendant des décennies, couverts par la formule magique "pour l'emploi", avec comme marque "pour le social".

Dois je rappeler qu'avec l'alternance de 1981 la masse salariale dans les HLM a gonflé de nombreuses compétences qui restent encore aujourd'hui à prouver, et les mauvaises langues pensaient qu'elles étaient surtout justifiées par une carte d'adhésion à des partis politiques en phase avec le pouvoir...