VISITE AU SUPERPRIMOU GEANT
18 Octobre 2023 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Economie
Donc, ma curiosité personnelle m'a amené à aller visiter un superprimou géant, qu'avait changer de propriétaire, passant de Cajino à intwermaché.
Donc, ma constatation est un changement radical.
- Au niveau odeur et propreté, c'est nettement mieux, carrément différent même. La présentation aussi, est nettement meilleure.
- Au niveau prix, incomparablement plus bas.
- Au niveau des caissières, pardon, hôtesses d'accueil, avant, c'était une caisse ouverte, quelquefois mais rarement deux, maintenant, c'est 10, toutes pleines. Par contre, les caisses où il faut se débrouiller seul étaient quasiment désormais à l'abandon.
- Au niveau fréquentation, c'est nettement plus important.
Dans l'un des cas, intwermaché, c'est tenu par des commerçants, dans l'autre cas, par des technocrates, qui n'avaient jamais dû y mettre les pieds.
Le parasite appelé énarque, connard nuisible et bien connu, sans aucune utilité aucune, est donc réputé pour savoir changé l'or en merde, sur tout ce qu'il touche.
Pour leur rappeler :
- "Faire de ma marge", c'est à dire des prix hauts, c'est pas bien bon pour les ventes globales, malgré tout ce qu'on peut penser du consommateur, il est capable de comparer les prix et de partir chez moins cher,
- l'absence de caissière, pardon, hôtesse de caisse, ou trop d'attente, ça fait décamper la clientèle, dans une proportion de 20 %, au moins,
- les caisses automatiques, aussi, chassent la clientèle.
- De même, le fouillis, et une propreté négligée...
Résumons : Prix élevés + absence de caisses + saleté + caisses automatiques, ça fait vite perdre la moitié de la clientèle, seule restant, pour les produits d'habitude ou une certaine clientèle avec un certain degré de captivité. Dans ce cas là, le transfert de Cajino à Intwermaché, n'a fait qu'un malheureux, le Lidol d'à côté (fallait voir la gueule du directeur !).
Après tellement de mauvaises décisions, on a crée un trou gigantesque, il a fallu creuser encore pour atteindre les tréfonds de la connerie, on crée un hashtag ridicule : "Hyperfrais". N'importe quoi. Mais normal. Pour faire plus bredin, il faut que les responsables soient payés au moins 200 000 roros le mois...
"Qu'ils mangent de la brioche". Oui, mais, ailleurs.
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