RACISME
26 Novembre 2023 , Rédigé par Patrick REYMOND
L'incantation "raciste", cherche à faire oublier que les "minorités", sont souvent très criminogènes, se prétendant victimes, alors qu'elles sont agressives, délinquantes, et pillardes, au moins, pour une petite partie de celles-ci.
De fait, le cri du délinquant, c'est que la victime est forcément raciste, le policier, même noir, qui arrête un autre noir, aussi, de fait, la terre entière lui en veut.
De fait, c'est la gôche qui a bouté en touche avec le "racisme". Explications. Vous prenez une banlieue lyonnaise RVI, les Minguettes pour ne pas la citer, au moment du tournant de la rigueur, vous faites passer les effectifs de l'usine de 20 000 à 10 000, pour les virés, souvent en pré-retraite, ce n'était pas un drame, mais de fait, la génération montante n'a, pour un temps, plus de débouchés, et la classe ouvrière d'origne étrangère se voit dire par les socialistes, "c'est la faute au racisme", et bien entendu, surtout pas à la logique économique.
Simple mesure de diversion, on imputait à un racisme mythique, les conséquences envers une classe ouvrière où les immigrés étaient surreprésentés, le tournant de la rigueur.
Evidemment, les premiers intéressés ont pris cela comme argent comptant, et la délinquance étrangère l'a pris comme alibi commode, et la justice, comme excuse à son laxisme. De fait, aussi, la délinquance étrangère a caché derrière son propre racisme.
La sphère médiatique véhicule ce message depuis des décennies, et c'est presqu'une religion.
- "vous voulez qu'il y ait des ratonnades", Sandrine rousseau, visiblement, préfère la chasse au blanc, et le dépeçage au couteau.
- D'ailleurs, la gôche reste égale à elle même : "Mort de Thomas : Sacha Houlié dénonce la "responsabilité politique" du RN après la descente de militants d'extrême droite à Romans-sur-Isère". On tente de renverser les responsabilités. Qu'une bande ethnique armée ait tué, ça ne les déranges pas, pourvu qu'elle soit arabe. Culture médiatique de l'excuse.
- "Romans-sur-Isère : les habitants du quartier de la Monnaie craignent d’être stigmatisés après le meurtre de Thomas". Article, bien entendu, complétement nul. Thomas, ils n'en ont rien à cirer. Renversement aussi, les meurtriers sont à considérer comme des victimes, loufoquerie complète.
- "Indignation après des émeutes qui font honte à l'Irlande" : les émeutes quand ce sont les minorités qui les font n'indigne pas beaucoup, par contre...
- On fait semblant de croire, après 40 ans de délinquance et d'émeutes, que c'est lestrèmdroâte le problème : "Violences à Dublin: «On sait qu'il y a une faction d'extrême droite agissante en Irlande»"
- La vie normale, ou la vie du négro/bougnoule/niakoué ne vaut pas un pet de lapin pour la gôche, ce sont les meurtres à l'arme blanche, à Nîmes, en Seine Saint Denis. D'après ce que me disait Aziz, un collègue, il me disait haïr les hommes de gôche, qui le tutoyait systématiquement, en étant trop familiers.
Signe d'ailleurs évident de racisme, malgré toutes les tentatives de la justice pour être laxiste, elle est bien, quelquefois, obligé d'agir ; "Le frère d’Adama Traoré de retour en prison".
Pour certaines familles, on devrait leur garder une cellule. Je me rappelle d'une famille de 10 enfants (tous des hommes) où systématiquement 3 d'entre eux étaient au gnouf. Bien entendu, c'était des "victimes du racisme"...
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