MORT DE BADINTER...
10 Février 2024 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Chronique de l'effondrement, #Polémique
On pleure des larmes de crocos sur Badinter, à envoyer au panthéon d'extrême urgence, pourtant ce triste sire et pauvre type, fut le fossoyeur de la république.
Jamais élu, il a aboli la peine de mort, enfin, du moins, pour les coupables, et dans le cas des homicides, le laxisme est exemplaire.
Toujours "coups et blessures ayant entraîné la mort, bien sûr, sans jamais avoir voulu la donner", il suffit que le prévenu le dise, c'est admis sur parole, surtout si la victime est blanche et le dit prévenu, basané.
Il est un des hommes qui a enterré bien profond la démocratie, l'a remplacé par la dimoucrassie, et "l'état de droit", évidemment, toujours supérieur à la volonté populaire. La dimoucrassie, c'est la démocratie, sans le peuple, toujours déplorable.
Homme formaté de l'après guerre et des trente glorieuses, il n'a rien compris de la question des ressources, et donc, a laissé la justice désemparée avec peu de moyens, qui ne sanctionne plus ou peu, et plus que les meurtres et les viols, quand il ne peut l'éviter. Comme je l'ai dit, les meurtres, reclassés en homicides involontaires et les viols, en agressions sexuelles.
Pour l'indemnisation des victimes, l'indigence, la ladrerie de la justice française est proverbiale. Le fond d'indemnisation, d'ailleurs, ne manquant jamais de réduire les dommages et intérêts déjà chiches accordés par la justice.
Homme dont l'honnêteté était aux abonnés absents, il a gracié ou fait gracier moult de ses clients, oubliant visiblement le conflit d'intérêt et la partialité entre le ministre de la justice et l'avocat. Il a toujours été, d'ailleurs, en conflit avec le ministre de l'intérieur, G. Defferre, qui voyait bien monter l'insécurité.
Dans un état post-fossile, le rétablissement de la peine de mort, des bagnes durs, sont inévitables. Un condamné à perpétuité, ça coûte cher, en argent, et en ressources. Les rations, appelées à diminuer, sont de trop pour des gens gardés dans des mouroirs. C'est plus humain, d'ailleurs, de les exécuter. En France, donc on finit toujours par libérer les condamnés soi-disant à perpétuité. Et on ne manque pas de leur accorder des remises de peine.
Même aux tueurs en série. Le tueur en série, c'est bien connu, récidive systématiquement, les 200 libérés au cours des deux derniers siècles, l'ont tous fait... Petite lacune dans la bible badinterienne.
Au conseil constitutionnel, il a amplement développé l'immigration, là aussi, sans se demander si la population, même immigrée, le voulait.
Il porte aussi, tout aussi amplement, la non répression des vols en tous genres, des cambriolages, et de toute la "petite" délinquance, qui pourrit la vie de tous.
La place de Badinter n'est pas au Panthéon, mais dans les poubelles de l'histoire.
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