COURRIER DE LECTEUR
itre: la troisième campagne covidienne : doutes & désespoir
Sur la situation du "vaxx" covidien, il apparaît que de plus en plus de gens on non seulement commencé à relier les points, mais qu'il parviennent à reconnaître l'image qu'ils forment, ce en raison de la multiplication des problèmes de santé inhabituels.
Le temps approche où il nous faudra imaginer ce que seront les prochaines étapes du projet covidien.
Si la ligne actuelle devait se poursuivre, ce ne serait qu'au prix d'une grave crise radiologique type Tchernobyl-Fukushima (ou pire...) à même de justifier pour quelque temps encore la situation sanitaire devenue évidente. Une catastrophe de type Seveso serait trop localisée, une approche répressive serait, elle, contre-productive (les relais du pouvoir étant eux-mêmes devenus très méfiants) sauf si justement on envisage un renversement total du discours.
Cette "troisième campagne" covidienne serait alors celle qui admettrait la catastrophe médicale, avec des conséquences diverses. en particulier psychologiques allant dans le même sens que les deux premières campagnes.
Si de nouvelles autorités médiatiques (par le truchement d'une guerre informationnelle menée sur les réseaux sociaux ) disons révolutionnaires devaient informer le public sur les très graves risques encourus par les vaxxinés, avec par exemple une approche maximaliste (tous les vaxxinés ont une durée de vie résiduelle très courte) alors il s'ensuivrait un désespoir total qui serait en lui-même mortifère, avec un effet secondaire "utile" qui est que le stress et le désespoir aggravent le développement du cancer (qui semble être le problème le plus fréquent).
Mais chaque renversement du discours amoindrit la crédibilité de toutes les interprétations, les anciennes comme les nouvelles, ce qui laisse place au doute. Or le doute isole, il paralyse toute action et renforce le désespoir mentionné plus haut.
Aujourd'hui il ne nous est pas possible de prévoir de parade, parce que les aspects pratiques et leurs conséquences nous encore inconnus, mais il doit être possible de réaffirmer la dignité de la vie pour nos proches, afin d'empêcher autant que possible ce qui s'est passé lors de la dissolution de l'URSS, à savoir une mortalité extrême des adultes livrés au désespoir et se tuant doit directement, soit indirectement par l'alcool, le tabac et tout ce qui se rapporte à la "mort psychologique".
signé : Moloko.
Ce texte m'amène à plusieurs remarques. Le vaxx est sans aucun doute dans mon esprit, responsable de bien des morts. Mais sans doute ne faut il pas exagérer, il existe sans doute une cause multifactorielle.
D'abord, la fin de l'URSS n'avait pas de vax covid, mais la mortalité a nettement augmenté AVANT la fin du pays, sans doute, les citoyens avaient un quotidien difficile, qui rendait dépressif, et dénotait une absence totale de perspective.
C'est la même aujourd'hui, et en oxxident, la "normalité", des voeux, est très élevée. Croisières, voitures, vacances, maisons, dernier truc à la mode, "to-ta-le-ment indispensable" et pourtant, dont on s'est très bien passé, pendant dirons nous, 100 000 ans ?
A mon âge, je mesure mieux ce que désirait "les gens", en général en 1970 et je vois le gouffre avec les désirs actuels. De fait, quand on sort de la pauvreté, et qu'on passe à un niveau plus décent, on est heureux, et on se contente d'un peu plus. Mais les gens nés après, leur niveau de référence de la normalité, est devenu trop important pour être amélioré, et cela entraine un grand stress chez beaucoup, stress accru encore par la précarité. Même si des trentenaire débutant ou bien mûrs arrivent à gagner leur vie, souvent, cette vie est difficilement projetable, ils sont éternellement en CDD ou en interim.
Et on sait que le stress, c'est pas bon pour le coeur.
Entre le monde virtuel qui nous est proposé, et le monde réel existant, il y a un gouffre, avec une résonnance politique. Le vote Macron/BFP des grandes villes, c'est ceux qui croient encore au progrès, eux qui ne sont pas méfiants vis-à-vis des vaxx.
Le bourgeois macroniste, quand il dévisse, qu'il va dévisser, ou quand il dévissera sera beaucoup plus sujet à des manifestations de désespoir, parce qu'il avait cru et qu'il s'y était cru.
Le plouc du film "fantasia chez les ploucs", finalement, se contente de peu, et vis au jour le jour, avec la phrase de saint Augustin, Le bonheur, c'est de continuer à désirer ce qu'on possède. Idée totalement anti-économique, et qu'on a pas encore ravalé au niveau qui s'annonce :
Avoir simplement à manger, tous les jours, sur sa table...
La résilience en Russie, d'ailleurs, s'est organisée autour des jardins communautaires.
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