PROSPECTIVES...
On voit une France dysotopique d'une manière éclatante avec Paris et ses légions de décérébrés.
Parasite total du pays appelé France, elle concentre et la merde et la misère et la richesse, correspondant à la définition de Rabelais sur la justice : robe d'or brodée de merde. Sa vision a traversé les siècles.
Effectivement, il y a calcul macroniste pour la dissolution. Refiler le bébé alors que la conjoncture économique déjà déplorable, est devenue totalement "out of control".
Bien entendu, Paris, de manière étendue, a voté NFP + Ensemble, et la conclusion de l'alliance Mélenchon-Macron, déjà visible en 2022 et à ses prémisses en 2017, est désormais totalement visible. Bien entendu sous le prétexte de la lutte contre l'immonde fascisme, décédé il y a 80 ans, les résistants fameux du 32 août.
Le problème de Macron, c'est que s'il avait misé sur une majorité RN, elle risque de ne pas être là, l'alliance de tous les fonds d'égouts réunis risque de rendre le pays totalement ingouvernable, alors qu'il avait soigneusement préparé son coup d'état administratif, en créant une administration "à la Obama, sous Trump", qui obéissait plus à Obama, qu'au président en titre.
Il faut quand même un minimum de cohérence... Font chier ces trous du cul de gôchistes, qui font foirer les calculs du maitre-mozart de la finance.
Le risque est de se retrouver dans une instabilité de 4° république, où les gouvernements tenaient le temps du dépôt d'une motion de censure, avec un François M à la manoeuvre pour ses bwanas américains (en échange de quelques mallettes permettant un train de vie adéquat à ses goûts, ainsi que l'achat de quelques "amis", dans la députation. On appelle cela, "un groupe parlementaire". Sous la III° république, on appelait "le culot", d'une cinquantaine de député, que le gouvernement (ou d'autres gouvernements), tenait pas la police des moeurs ou les liasses de billets.
Cette énième resucée du "front républicain", n'est qu'une étape, pour cette fois pour la suivante, où le "front républicain", est totalement écrasé le "Front national", élections après élections, il recule, devant la montée des rancoeurs, du dégoût que ne manque pas de susciter le spectacle de l'indécence du monde politique.
Le seul qui ait fait véritablement un acte politique cohérent, c'est Ciotti. Il a fait un choix. Les autres ont fait un statu quo. Préservons nos places. Nos sinécures.
De fait, c'est la Russie qui a gagné. En bloquant/piquant son pognon, les oxxidentés ont envoyé un message clair : retour au réel, à l'étalon or, et fin du privilège exorbitant du dollar, et dans le cas de la France, de l'euro, et retour à un vieux truc ; l'équilibre des balances commerciales. Ce qui va être une cure d'austérité XXXXXXXL, notamment aux USA, où si des incidents supplémentaires à l'épisode du pont de Baltimore, arrivaient, c'est la capacité physique d'importation qui serait touchée. La seule chose qui retient désormais la fin du dollar et consorts, c'est que ses possesseurs extérieurs s'en débarrassent en douceur, pas peur de tout perdre.
Le retour au réel.
Dans le monde irréel, le NFP et certains, veulent "abolir la prison", c'est à dire relâcher tout le monde, et n'emprisonner que quand il y a de la place. En Russie, on parle de la fin du moratoire de la peine de mort. Pourquoi, dans un monde où les ressources diminuent, nourrir des bouches inutiles ? Même simplement, des gens ingérables qui enchainent les peines de prisons ?
La cadre parisienne hors du réel, pars avec son bébé "voir les loups"... Qui c'est bien connu "n'attaquent pas l'homme", évolution à l'américaine ou la connerie est un état normal. Et l'intelligence hors de propos.
On se rappellera les 6 tués au Niger, tous jeunes, bien sur eux, et totalement inconscients, avec des diplômes à la con, qui ne préparent pas à la vraie vie, mais à celle de cadre dans un environnement urbain aseptisé et bien sûr, sécurisé, qui croient que c'est partout pareil, mais qui, visiblement, ne savaient pas lire. Ils n'avaient pas lu, en tout cas, pas compris les mises en garde du ministère des affaires étrangères, ce qui relativise les rouleaux de PQ appelés "diplômes", dont ils étaient bardés.
De toutes façons, la fin du monde actuel n'est apparemment pas possible par la politique, elle viendra par l'effondrement. La population, au niveau mondial est trop décérébrée pour voir le niveau réel de danger, d'abord parce qu'on lui cache, ensuite, qu'elle ne veut surtout pas y penser, surtout pour ceux qui sont en haut de l'échelle sociale. Pensez, avoir brillamment réussi un doctorat de sociologie pour finir en plantant des radis...
On est arrivé au stade en Europe où une union européenne surpuissante, n'a que de mauvaises perspectives en vue. Quoiqu'elle fasse, elle va d'un écueil à l'autre.