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25 Novembre 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique

Madelin décerne un 0/20 au programme UMP. Sans doute parce qu'ils n'en ont pas.

 

Mais il faut aussi le reconnaitre, à l'UMP, ils font peine. Sans bilan, sans projet, avec pour seul argument la virilité de NS, ça fait vraiment pas beaucoup...

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B
Vendredi 25 novembre 2011 :<br /> <br /> Le Trésor italien au bord de la rupture.<br /> <br /> L'effet « Mario Monti » a fait long feu et l'Italie est de nouveau sous très forte pression pour financer sa dette. Au lendemain du sommet ayant réuni jeudi à Strasbourg le président français<br /> Nicolas Sarkozy, la chancelière allemande Angela Merkel et le nouveau président du Conseil italien, le Trésor transalpin a dû concéder ce vendredi un taux record de 7,81 % pour placer 8 milliards<br /> d'euros de dette à deux ans, soit plus de 3 points de pourcentage de plus que lors de l'émission réalisée le 26 octobre.<br /> <br /> Rome a également payé un taux record de 6,5 % pour émettre 2 milliards d'euros d'obligations à 6 mois.<br /> <br /> Les marchés ont sans surprise très mal réagi au résultat de ces deux adjudications. En début d'après-midi, le taux référence à 10 ans grimpait de 21 points de base, à 7,32 %.<br /> <br /> La différence de taux avec l'Allemagne, appelée prime de risque ou « spread », est repassée au-dessus des 500 points de base dans le sillage de l'opération pour la première fois depuis le 16<br /> novembre. Signe de l'inquiétude des marchés, la Bourse de Milan a creusé ses pertes après cette émission et cédait 1,84 %. Sur le marché des changes, l'euro est tombé jusqu'à 1,3225 dollar, son<br /> plus bas niveau depuis début octobre.<br /> <br /> Outre le fait que ces taux d'emprunt sont jugés insoutenables sur la durée pour la péninsule, dont l'encours de dette atteint 1.900 milliards d'euros, soit environ 120% de son PIB, l'Italie n'a<br /> attiré qu'une demande relativement modeste des investisseurs malgré ces rémunérations très attractives. Les intervenants n'ont proposé que 11,7 milliards d'euros sur l'opération à deux ans et 3,2<br /> milliards sur la souche à 6 mois, soit des ratios de couverture respectifs de 1,47 et 1,59.<br /> <br /> Pour l'heure, cela a suffi pour que le Trésor italien emprunte le maximum de 10 milliards d'euros qu'il escomptait ce vendredi, mais les marchés craignent qu'une crise de liquidité empêche à terme<br /> Rome de refinancer sa dette, même à des coûts astronomiques. Un phénomène de très mauvais augure alors que se profile lundi et mardi des adjudications à long terme.<br /> <br /> Dans ce contexte de tensions extrêmes, la chancelière allemande a réaffirmé jeudi son opposition aux euro-obligations, jugées par bon nombre de spécialistes comme l'une des clefs de sortie de<br /> crise. Autre piste souvent mise en avant, la monétisation des dettes par la BCE, via une création monétaire illimitée, est également au point mort. L'Allemagne et la BCE y sont en effet<br /> farouchement opposées, même si l'institution de Francfort a déjà acheté pour plus de 190 milliards d'euros d'obligations périphériques depuis le début de la crise.<br /> <br /> http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20111125trib000666768/le-tresor-italien-au-bord-de-la-rupture.html
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B
Vendredi 25 novembre 2011 :<br /> <br /> Londres se prépare à la fin de la zone euro, mais les "plans" sont flous.<br /> <br /> Les autorités britanniques évoquent désormais ouvertement des "plans" pour faire face à un démantèlement de la zone euro, demandant en particulier aux banques de s'organiser en conséquence, mais<br /> les mesures envisagées restent à ce stade particulièrement floues.<br /> <br /> Un responsable de l'Autorité des services financiers (FSA), le superviseur des marchés britanniques, a relancé les spéculations en affirmant jeudi que les banques du pays avaient été priées de se<br /> tenir prêtes à affronter tous les scénarios, y compris les "pires".<br /> <br /> "Nous ne pouvons pas ignorer l'éventualité d'une sortie désordonnée de certains pays de la zone euro", a expliqué Andrew Bailey lors d'une conférence à Londres.<br /> <br /> Le ministre des Finances George Osborne avait été le premier à dire, début novembre, que Londres "préparait des plans" en cas d'éclatement de la monnaie unique.<br /> <br /> "Ici, hors de l'euro, il faut nous préparer à toutes les éventualités et c'est exactement ce que nous faisons", avait renchéri un peu plus tard devant des hommes d'affaires le Premier ministre<br /> David Cameron, sans donner lui non plus le moindre détail.<br /> <br /> Une crise totale conduisant à la mort de la monnaie européenne est envisagée avec une certaine délectation par une presse largement eurosceptique. Elle est en revanche redoutée par les milieux<br /> économiques qui craignent un impact dévastateur sur le Royaume-Uni, qui réalise plus de 40% de ses échanges commerciaux avec ses voisins.<br /> <br /> Du côté du secteur financier, les banques ont déjà largement réduit leur exposition aux pays périphériques de la zone euro, Grèce et Portugal en tête, comme l'ont montré leurs récents résultats<br /> trimestriels.<br /> <br /> Mais le degré d'inquiétude est monté de plusieurs crans lorsque l'Italie s'est retrouvée à son tour dans la ligne de mire des marchés : selon les estimations de la presse, les quatre principales<br /> banques britanniques détiennent encore pour quelque 40 milliards de livres (46 milliards d'euros) de dette italienne. L'onde de choc d'une faillite de l'Etat italien atteindrait donc rapidement le<br /> Royaume-Uni.<br /> <br /> Hormis la vente de ces actifs devenus risqués, les banques devraient être incitées à se constituer un matelas de capitaux supplémentaires en revoyant à la baisse bonus et dividendes.<br /> <br /> Au-delà de ces mesures relativement classiques et attendues, le "plan de protection" britannique reste mystérieux.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/CRISELondres_se_prepare_a_la_fin_de_la_zone_euro_mais_les_plans_sont_flous251120111511.asp
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M
J'entendais je ne sais plus quel représentant du parti présidentiel dire que le machin - le "programme" qu'ils tentent de mettre au point n'est pas une obligation pour le futur candidat, qui pourra<br /> y prendre ce qu'il veut.<br /> <br /> Ou rien.<br /> <br /> Pendant ce temps, le Président continue sa campagne... sur fonds publics.<br /> <br /> Ce n'est pas de la prise illégale d'intérêt, ça ?
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R
Virilité ? Il me semble que Merkel en a plus.<br /> <br /> Mièvrerie et condescendance, c'est plutôt ce qui me vient à l'esprit.<br /> <br /> L'UMP parlera plutôt d'homme d'action ... faire et défaire, c'est toujours travailler.
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