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Aurait il, finalement, un bon fond ???

1 Septembre 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités

Me serais je trompé sur le personnage ? D. Bouton affirme : " Nicolas Sarkozy aurait voulu se "payer physiquement" l'ancien patron de la Société Générale au moment de l'affaire Kerviel ".

 

Trois réactions :

- c'est vrai ? C'est pas une blague ?

- Finalement, en creusant beaucoup, on arrive à trouver un bon fond chez petit nico.

- Pourquoi il ne l'a pas fait ?

 

ça aurait fait très "Rome antique", où le bon empereur, il fait pêter la tronche au méchant riche...

Faudrait dire à Nico que c'est peut être une idée pour 2012 (à condition de l'appliquer vraiment et pleinement)...

Que les gros revenus sortent du rang...

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L
<br /> @ Un intelligent<br /> <br /> Votre approche est objective, la mienne est subjective. Mais vous avez raison, à l'IRM il y a échange de fluide.<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Très bien vu, Roland.<br /> Mon pronostic pour 2012 : Hollande, puisque DSK est hors jeu.<br /> Et la situation sera encore pire que maintenant.<br /> <br /> <br />
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R
<br /> Je crois qu'il existe une lourde méprise sur la personne de sarkozy. Certains semblent penser qu'il est Président de la République française, chef des armées, etc...<br /> <br /> Que non! Il est vrai qu'ayant obtenu son poste au lendemain d'un élection, les gens ont cru à bon droit:<br /> 1/ qu'il s'agissait d'une décision légitime et populaire<br /> 2/ que l'heureux élu était dans la lignée de ses prédécesseurs, c'est à dire relativement conscient de l'intérêt général du pays.<br /> <br /> Le compte n'y est pas du tout. L'apparition médiatique de sarkozy au début des années 2000 a été orchestrée par des officines américaines. Sa présence à des postes clé dans les gouvernements<br /> Raffarin et De Villepin était le fruit d'un chantage et de pressions extremes sur le chef de l'état d'alors, Chirac, qui le racontera un jour si sa sénilité avancée le lui permet.<br /> <br /> L'adversaire de 2007, Madame Royal, est elle aussi une créature américaine. Tout le monde sait maintenant que sa campagne nullissime et destinée à la faire échouer sans même qu'elle le sache a été<br /> organisée, mise sur pied et financée par différents cabinets de "consulting" made in yankee.<br /> <br /> Le résultat, vous le connaissez. Tout a parfaitement fonctionné.<br /> <br /> J'en reviens donc au début. Sarkozy n'est pas celui que vous croyez. Il n'est pas président de la République. La République n'existe plus.<br /> <br /> Sarkozy est proconsul de la région France et il vient appliquer les consignes et les diktats de la nouvelle Rome, d'ailleurs vous verrez qu'à l'issue de son éjection des institutions de ce pays, il<br /> ira magouiller du "gros argent" quelque part dans un paradis fiscal contrôlé par les Maitres.<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Non Patrick, il n’a pas un bon fond ; tu te goures.<br /> Cet homme est l’incarnation même de ce qui peut exister de pire sur une scène politique : La vulgarité d’un camelot et la ruse d’un petit caïd.<br /> Quand on y ajoute la clique qui la portée au pouvoir avec un contrôle quasi absolu du champ médiatique, on arrive à un triste constat.<br /> Morne est la société qui se laisse diriger par ce genre de voyou.<br /> <br /> <br />
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U
<br /> @La Gaule<br /> <br /> "En lisant un truc pareil, la réaction normale d’un libéral globaliste est de se sentir illégitimement agressée au plus sec de son fondement."<br /> <br /> Je dirais même : "Dans son fondement, a sec".<br /> <br /> <br />
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L
<br /> @ Simplet<br /> <br /> Merci, et ce n’est pas du tout hors sujet. Je crois même que c’est LE sujet, celui qui sous-tend tous les autres. En lisant un truc pareil, la réaction normale d’un libéral globaliste est de se<br /> sentir illégitimement agressée au plus sec de son fondement. Il est donc logique qu’il ne soit publié nulle part.<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Hors sujet, mais à lire et réfléchir:<br /> RÉPONSE DU MINISTRE BRÉSILIEN DE L'ÉDUCATION INTERROGE PAR UN<br /> ETUDIANT AMERICAIN<br /> <br /> Superbe réponse du ministre brésilien de l'Education interrogé par<br /> des étudiants aux Etats-Unis... La presse nord-américaine a refusé de<br /> publier ce texte.<br /> <br /> Pendant un débat dans une université aux Etats-Unis, le ministre de<br /> l'Éducation Cristovam Buarque, fut interrogé sur ce qu'il pensait au<br /> sujet de l'internationalisation de l'Amazonie.<br /> Le jeune étudiant américain commença sa question en affirmant qu'il<br /> espérait une réponse d'un humaniste et non d'un Brésilien.<br /> Réponse de M. Cristovam Buarque:<br /> <br /> En effet, en tant que Brésilien je m'élèverais tout simplement contre<br /> l'internationalisation de l'Amazonie. Quelle que soit l'insuffisance de<br /> l'attention de nos gouvernements pour ce patrimoine, il est nôtre.<br /> En tant qu'humaniste, conscient du risque de dégradation du milieu<br /> ambiant dont souffre l'Amazonie, je peux imaginer que l'Amazonie soit<br /> internationalisée, comme du reste tout ce qui a de l'importance pour<br /> toute l'humanité. Si, au nom d'une éthique humaniste, nous devions<br /> internationaliser l'Amazonie, alors nous devrions internationaliser les<br /> réserves de pétrole du monde entier.<br /> <br /> Le pétrole est aussi important pour le bien-être de l'humanité que<br /> l'Amazonie l'est pour notre avenir. Et malgré cela, les maîtres des<br /> réserves de pétrole se sentent le droit d'augmenter ou de diminuer<br /> l'extraction de pétrole, comme d'augmenter ou non son prix.<br /> De la même manière, on devrait internationaliser le capital financier<br /> des pays riches. Si l'Amazonie est une réserve pour tous les hommes,<br /> elle ne peut être brûlée par la volonté de son propriétaire, ou d'un<br /> pays. Brûler l'Amazonie, c'est aussi grave que le chômage provoqué par<br /> les décisions arbitraires des spéculateurs de l'économie globale. Nous<br /> ne pouvons pas laisser les réserves financières brûler des pays entiers<br /> pour le bon plaisir de la spéculation.<br /> <br /> Avant l'Amazonie, j'aimerai assister à l'internationalisation de tous<br /> les grands musées du monde. Le Louvre ne doit pas appartenir à la seule<br /> France. Chaque musée du monde est le gardien des plus belles oeuvres<br /> produites par le génie humain. On ne peut pas laisser ce patrimoine<br /> culturel, au même titre que le patrimoine naturel de l'Amazonie, être<br /> manipulé et détruit selon la fantaisie d'un seul propriétaire ou d'un<br /> seul pays.<br /> <br /> Il y a quelque temps, un millionnaire japonais a décidé d'enterrer<br /> avec lui le tableau d'un grand maître. Avant que cela n'arrive, il<br /> faudrait internationaliser ce tableau. Pendant que cette rencontre se<br /> déroule, les Nations unies organisent le Forum du Millénaire, mais<br /> certains Présidents de pays ont eu des difficultés pour y assister, à<br /> cause de difficultés aux frontières des États-unis. Je crois donc qu'il<br /> faudrait que New York, lieu du siège des Nations unies, soit<br /> internationalisé. Au moins Manhattan devrait appartenir à toute<br /> l'humanité. Comme du reste Paris, Venise, Rome, Londres, Rio de<br /> Janeiro, Brasília, Recife, chaque ville avec sa beauté particulière, et<br /> son histoire du monde devraient appartenir au monde entier.<br /> <br /> Si les États-Unis veulent internationaliser l'Amazonie à cause du<br /> risque que fait courir le fait de la laisser entre les mains des<br /> Brésiliens, alors internationalisons aussi tout l'arsenal nucléaire des<br /> Etats-Unis. Ne serait-ce que par ce qu'ils sont capables d'utiliser de<br /> telles armes, ce qui provoquerait une destruction mille fois plus vaste<br /> que les déplorables incendies des forêts brésiliennes. Au cours de<br /> leurs débats, les actuels candidats à la Présidence des Etats-Unis ont<br /> soutenu l'idée d'une internationalisation des réserves forestières du<br /> monde en échange d'un effacement de la dette. Commençons donc par<br /> utiliser cette dette pour s'assurer que tous les enfants du monde aient<br /> la possibilité de manger et d'aller à l'école. Internationalisons les<br /> enfants, en les traitant, où qu'ils naissent, comme un patrimoine qui<br /> mérite l'attention du monde entier. Davantage encore que l'Amazonie.<br /> <br /> Quand les dirigeants du monde traiteront les<br /> enfants pauvres du monde comme un Patrimoine de l'Humanité, ils ne<br /> les laisseront pas travailler alors qu'ils devraient aller à l'école,<br /> ils ne les laisseront pas mourir alors qu'ils devraient vivre.<br /> <br /> En tant qu'humaniste, j'accepte de défendre l'idée d'une<br /> internationalisation du monde. Mais tant que le monde me traitera comme<br /> un Brésilien, je lutterai pour que l'Amazonie soit à nous. Et seulement<br /> à nous !<br /> <br /> Ce texte n'a pas été publié.<br /> <br /> <br />
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