Autosatisfaction, autocongratulation, les autres, c'est rien que des méchants
12 Septembre 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie
Tri-tri est infaillible et insanctionnable, il l'a parfaitement intégré. Ce n'est pas à lui de s'adapter au monde, c'est au monde de s'adapter à lui, et à l'univers et à la voie lactée (dont il est l'élément indispensable à la bonne marche) de tourner autour de Tri-tri.
Bien entendu, pas un mot pour ses victimes, tous les salariés, et tous les chômeurs.
En outre, on pourrait lui dire, que vu son niveau d'anglais, il est complétement ridicule de faire croire qu'il sait parler cette langue, et qu'il ferait mieux de s'exprimer dans la langue de Molière, il éviterait de se foutre la honte.
De plus, la langue dominante dans la zone euro, c'est l'allemand, suivie du français. L'anglais ne concerne que la minuscule Irlande...
C'est bien le problème de l'hypertrophie bancaire et des indépendances des banques centrales qui est en train d'éclater.
Il parle de démocratie, mais la démocratie, c'est incompatible avec une banque centrale indépendante. Les banquiers en général, et lui, en particulier, ont fait preuve de leur irresponsabilité TOTALE, et de leur puissance de nuisance.
La situation est ingérable dans le cadre actuel, et la problème vient des hommes politiques qui refusent de manière aussi injurieuse et stupide de le
reconnaitre.
Les déséquilibres ne peuvent que s'accroitre, et imaginent on des pays sans cesse en déficits EXTERIEURS croissants et d'autres en EXCEDENTS extérieurs croissants ?
Vouloir faire cohabiter une Allemagne, et 6 ou 7 Grèce(s) dans une union monétaire, ce n'est pas seulement stupide, c'est criminel et intenable.
"La gestion de l’inéluctable effondrement du gigantesque château de cartes financier passe par le rétablissement de l’autorité monétaire : la fin de l’indépendance des banques centrales, le financement direct des Trésors par ces dernières, la renationalisation de la dette publique désormais nourrie par la forte épargne des ménages, l’amaigrissement considérable des bilans bancaires, le rétablissement des planchers de bons du Trésor, et la maitrise des taux de change. "
Moralité : on doit tirer la chasse sur les gouverneurs de banques centrales, banquiers et financiers et les regarder partir sans regrets.
Mais, je ne suis pas d'accord sur un autre point : "Cela ne signifie pas nécessairement la fin de l’euro-zone, mais au moins le passage de la monnaie unique à la monnaie commune. "
La monnaie commune, c'était il y a vingt ans qu'elle aurait pu être tentée, et elle ne réglerait pas le problème, elle serait là pour une seule chose, empêcher le contrôle des changes.
On se débat dans les problèmes d'une richesse fictive. Elle doit s'évaporer pour laisser la richesse réelle.
On pouvait tout à fait s'enrichir dans les années de forte taxation de l'Impôt sur le revenu, mais il y fallait du travail, du talent, et être, véritablement et vraiment, un créateur de richesses...
Tout ce que les riches d'aujourd'hui, ne sont pas. Ce sont majoritairement, des branleurs, des héritiers, sans l'ombre d'une idée personnelle, parfaitement coulés dans le moule à con, agressifs et méchants.
Les gens talentueux, travailleurs et créateurs de richesses, sont paralysés par la classe des héritiers, fats, arrogants et
exigeants.
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