"Conditions atroces"...
1 Mars 2012 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités
Le pôvre
croisiériste a connu des conditions "éprouvantes" et même "atroces" : pas d'électricité, pas de sanitaires, pas de nourriture chaude... Nous dit Henri, 82 bâtons.
Il lui faudrait une bonne guerre pour apprendre ce qui est atroce. Il aurait vu ce que c'était 1940-1945.
Ou même simplement les conditions de vie des appelés d'Algérie (obligés de s'abreuver à la Pil's ).
C'est simplement les conditions de vies d'une bonne partie de l'humanité, qui aurait déjà été contente d'avoir un repas froid, et pour lequel l'électricité et les
sanitaires sont des luxes.
Le drame, ça aurait été de se casser un ongle ?
L'exigence du luxe de certains est devenu tellement naturelle qu'elle en devient monstrueuse. D'abord, la croisière, c'est le superflu par excellence. Le voyage sans but.
Mais, dans le genre "comics", on a sans doute aussi : "Un
groupe secret de créanciers de la Grèce se réunit en urgence aujourd'hui". Bon, puisque la presse est au courant, il ne doit pas être tellement secret.
"Flamby" ou "porcinet", dans le rôle de Gorbatchev
? Ou du pétroleur dynamiteur du système ? Je serais curieux de voir ça, ça serait follement goûteux...
"Le foot français contre l'impôt "démago" sur les très hauts revenus". Démago ? Comme si les fouteux et autres sportifs professionnels avait la moindre utilité sociétale ou économique ?
Même à 10 000 euros "seulement" par mois, les candidats ne manqueraient pas pour les postes.
Ceux restant seraient peut être même un peu plus intelligents (bon, là ça serait facile).
D'ailleurs, les larbins des riches s'agitent comme des Hannetons, faisant passer notre corrézien national pour le petit père des peuples...
Déjà que les "pauvres" riches, sont obligés de casser les
tarifs, pour continuer les passes les tournages (c'est comme ça aussi dans la prostitution, quand les putes vieillissent, elles trouvent
moins de clients). Un Di Caprio obligé de bosser pour 2 millions de USD seulement (c'est ça ou la soupe populaire), en baisse de 90 %...
Comme les basketteurs US, qui s'étaient mis en grève... (Des communistes aussi). Ah non, c'était leurs patrons (des bolchéviks partageux
aussi, qui ne supportent pas les riches).
Finalement, les rouges, ça commence à grouiller dans tous les endroits les plus inattendus. A cette allure là, il n'y aura plus qu'à Moscou qu'il n'y en aura
pas...
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