Crétinerie à bord...
20 Septembre 2012 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique
Les branlos dirigeants la FED reconnaissent rien n'y connaître : « Personne ne sait ce qui entrave l'économie ».
Les "experts" sont donc des crétins sans aucune idée, et qui sont là pour cause d'adhésion à la Doxa, et qui ne peuvent que constater après 5 d'activisme
maximal, suivant 25 autres années pas mal non plus, qu'ils sont complètement incompétents.
A ce niveau, il faudrait leur demander si ça ne leur dirait pas, un p'tit suicide collectif ? Le jeu de la secte quoi, parce que, finalement, ils répondent bien à la définition de la secte.
Dans leur cerveau, qui, non content d'être petit, est aussi obtus, borné, il ne leur est même pas venu à l'idée que le problème, c'était eux, et notamment, la propension à fabriquer un fric, qui
ne retombe que dans la sphère financière, sans guère toucher désormais l'économie réelle.
L'histoire du XX° siécle apprend une chose : c'est l'argent consacré à l'économie réelle et non l'argent alimentant des chiffres sans aucune réalité autre que
virtuelle, qui crée l'activité.
Selon Todd, l'URSS est le seul pays à n'avoir pas connu de décalé de 50 ans (deux générations), entre la phase d'alphabétisation, et l'industrialisation de masse.
Pour une bonne raison, "punie", l'URSS mise au ban des échanges internationaux avait le contrôle de sa monnaie, de sa banque centrale, et pu financer, sans aucun problème son industrialisation,
anomalie qui métastasa à l'Ouest, pendant les 30 glorieuses, où le rôle de banquier fut réduit à l'état de trou du cul, et les progrès phénoménaux.
Bien entendu, c'est pas parce qu'on sait que ça ne va pas fonctionner, qu'on va se priver d'un énième quantitative easing, parce qu'un banquier ne sait pas faire autre chose que de fabriquer de
l'argent. C'est, finalement, la place d'une incompétence totale dans sa finalité.
Après une génération où on a vécu sur l'acquis de la lancée précédente, il faut donc massivement réinvestir, pour une transition énergétique, et éviter l'antienne "mais ça va coûter cher".
La différence essentielle, c'est qu'en 1945, on avait appris que ce qui était à éviter, c'était la guerre, et que la banqueroute, c'était rien.
Le riche, c'est du superflu, ça ne sert à rien, surtout aujourd'hui, où il n'y a plus que des rentiers, le banquier, c'est au mieux superflu, au pire nuisible, et
que finalement, tant que riches et banquiers bloquent, on s'achemine doucement, mais sûrement, vers le collapsus, celui du retour de la violence, de la lutte sociale, et du bain de sang.
Là, on s'apercevra aussi, que l'argent, finalement, ça n'a pas beaucoup d'importance. Beaucoup moins que le plomb et l'acier.
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