Drame de la sous-traitance...

La sous-traitance choisit très bien souvent ses employés.

La preuve, c'est qu'une femme de ménage, d'un goût très sûr, a débarrassé la planète  d'une bouse d'une "oeuvre d'art".
On ne peut qu'applaudir à ce geste sensé, qui demande à être réitéré des dizaines de fois.

La femme de ménage a prouvé qu'elle avait des couilles, et que les directeurs des musées et les amateurs d'arts sont des cons.

Bon, moi, je vais aller couler un bronze, ensuite je vais le napper au caramel et à la vanille, des fois que quelqu'un trouverait ça génial et m'en offre 100000000000000000000000 d'euros.

Comments

[Sclavus]

Non La Gaule ; pour transformer FF – le fifre – en œuvre d’art il faudra remplir les cartouches de 12 avec de la merde ; et tirer avec un canon scié – un fusil à merde quoi.

[Roland]

http://tatoufaux.com/?Quand-j-entends-le-mot-culture-je

Bravo Jacques.

Cela dit, c'était devenu une blague fort courue parmi les faisans dorés et on peut parier à coup sur que la plupart l'ont resservie lors de diners mondains ou entre amis.

[La Gaule]

@ Roland

Salut l’ami,

Je suis malheureusement constipé chronique, le détail qui différencie le Grrrand artiste du comptable vulgaire.

Quant à l’as des as de l’aviation de la première guerre mondiale (on ne peut pas lui retirer ça, même s’il a mal tourné ensuite), son crédo culturel a depuis été largement battu par l’inventivité
de la bobotude.
Je me souviens d’un as de la peinture du coin (le même fustigé par Lecteur), qui, lui, remplissait ses cartouches de peinture et peignait au 12 !!!

Il serait donc possible de transformer Fillon en œuvre d’art…

[Amada]

Comment on dit ?
Je travaille en sous-traitance ?
Ou je suis sous-traitée ?
Pour la véracité, à mon avis, c'est sous-traitée.
En plus ça évite les mauvaise rimes (gouvernance, rilance, etc)

Bien cordialement
Amada

[Jacques de Lomay]

En fait a l'origine il s'agit de l'ecrivain allemand Hanns Johst(dans l'une de ses pieces de theatre)mais sous une forme un peu differente(quand j'entends parler de culture...je relache la securite
de mon Browning).
Sinon dans la tournure que nous lui connaissons il s'agit bien de Baldur Von Schirach...

[JEAN PAUL]

GORING

[Jacques de Lomay]

Baldo von Schirach

[Roland]

@La Gaule: Va donc couler un beau bronze fumant et envoie le à ton percepteur emballé dans le dernier 20 minutes. Avec un peu de chance, tu fera le "salon des refusés" l'an prochain à la FIAC.
C'est d'ailleurs une manifestation intéressante pour la réalisation d'un joli tir groupé qu'on pourrait intituler: Vidons le grenier.

"Quand J'entends le mot culture, je sors mon revolver"

Devinez qui?

[La Gaule]

@ Sclavus

Je ne pense pas que le public de « Maïwen » soit très représentatif de « la plèbe », mais bien plutôt des innombrables rejetons et rejetonnes destinés à servir de faire valoir et de larbins aux
patriciens dont vous parlez, et généralement castés sous l’étiquette « zétudiants ».

Le « culturel » fait partie intégrante de la centralité oligarchique, alors que la plèbe est rejetée à la périphérie où elle consomme de la sous-culture dominante en miettes (encore plus nulle) par
le biais des gadgets technologiques.

Il semble donc que la plèbe soit toujours méprisable, cela même quand elle coupe des têtes. La chose présente au moins l’avantage de donner toujours raison à tous les Christophe du genre humain,
c’est le moteur bien contemporain de leur narcissisme et le seul vrai but de leur cogitation (grand bien lui fasse, cela fait des lustres que je zappe ses trop prévisibles et inlassables
conneries).

Mais, concrètement, le problème n’est pas que la plèbe soit méprisable (problème philosophique de gérant de PME nietzschéen dont tout le monde se branle sauf les Christophe), mais bien qu’elle
finit toujours par couper des têtes (problèmes d’éclaboussures indélébiles sur le Lacoste élimé à Christophe, il va falloir qu’il en rachète un autre).

Je sais, cela n’est pas logique, et donc énervant…

@ Lecteur

Merci pour votre post. Egalement citoyen ci-devant du pot de chambre des alpes, Je me suis souvenu grâce à vous que je n’avais pas encore réglé mes impôts locaux.

[mario]

""Donc Patrick ,c'est déja Copyright""

Ah mais non le nappage caramel ,vanille c'est nouveau

[Lecteur]

Votre idée est déjà exaucée
j'ai deja EN VRAI VU UNE EXPO
d un juif polonais ( avec multinationalité , dont francaise )
qui se fait de l or en barre avec nos impots
( subventions achats du FRAC ETC..°

déjà vu une expo ( musee de GRENOBLE """ ville olympique "" )
expo
- tableaux peints à la main avec dela merde
- ( variantes = merde fraiche , merde diluée , merde sechée )

- sculptures de merde sechée
- mélanges = feuilles mortes de platanes mélangées à de la merde
--
ET AUSSI
EXPO ( du même escroc ) AVEC DES POILS
( Poils du C.. , Poils du CO.. de copines , poils de COUI... les 3 C )
- poils posés sur des compresses ou du PQ
-
POILS Du c.. de Sandrine ( par exemple 15 mars 1986 )
poils de véronique ( 15 juillet )
--
POILS PLUS MERDE = le summum
---

VERIDIQUE
UNE EXPO ENTIERE
-

De quoi exciter les politocards grenoblois pendant
2 ans!
--
donc patrick , c'est déjà COPYRIGHTé!!!

[Patrick REYMOND]

même avec la naille et le caramel ?

[Destinus]

La Loi « Malraux » permet à des personnes possédant des œuvres d’art d'acquitter certains impôts en remettant leurs objets d'art à l'Etat.

Donc vous pourrez remettre votre bronze à l’Etat pour payer une partie de vos impôts.

En plus pour les plus riches, les œuvres d’art ne sont pas assujetties à l'ISF et peuvent bénéficier d’une fiscalité allégée sur les plus-values.

[Sclavus]

Aucun risque ; absolument aucun ; ne perds pas ton temps ; dans cette société plus différentialiste qu’aucune autre (d’après mes connaissances historiques) la seule production artistique qu’on
impose comme valeur à la plèbe – à grands coups de subventions et embobinages médiatiques – et celle des gens bien nés ; celle des fistons et filles de…
Du pur inceste, rien de plus ; d’où le vide abyssale de cette même production : Les enfants de riches et puissants étalent leur vide ; vies vides, fantasmes vides ou morbides, obsessions vides etc.
et les réseaux d’influences des papas s’occupent de la relation publique : Les têtes habituelles des plateaux télés et du papier glacé chantent les éloges pour convaincre la plèbe qu’ils méprisent
par ailleurs d’aller dépenser leurs sous pour aller voir la masturbation des rejetons.
Et la boucle est bouclée ; Et là je rejoins notre ami Christophe – cette plèbe est parfaitement méprisable : Le dernier film de la petite chamelle des beaux quartiers parisiens (Maïwen) a été «
plébiscité par le public » ; cinq cents milles entrées SVP.