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Europe : chauve qui peut...

14 Avril 2012 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie

bloomberg.jpg

 

Les riches, c'est comme les cochons, plus c'est vieux, plus c'est con, comme le prouve ce graphique de bloomberg.

Il y a clairement fuite des capitaux vers l'Allemagne, preuve que les 5 caissons du Titanic sont inondés.
Ces caisons sont la Grêce, le Portugal, l'Irlande, l'Italie, l'Espagne et un sixième apparait : la Belgique.
La "zone euro", est réduite, visiblement, à l'Allemagne, le Luxembourg, et l'Allemagne.

Mais là où les riches qui pratiquent l'évasion sont cons comme des valises, c'est que s'ils parient sur la fin de la zone euro, ils oublient visiblement que les autres pays peuvent tout à fait pratiquer le "bank holiday", et le dépouillement des non résidents, avec les applaudissements des... résidents...

En confisquant, par exemple, leurs euro-mark, pour les changer contre des escudodos, des patatas, dradrachmes...

Ne serait ce que pour éponger leurs propres dettes... Voir leur dirent simplement qu'ils l'ont dans le c... Enfin, je vous laisse deviner où, ce qui donnera une impression agréable à une minorité, et des douleurs à tous les autres...

 

Parce que, quand viendra la débandade, il ne faut pas croire que les anciennes manières de faire se maintiendront : libre circulation des capitaux et tout le toutim, comme le libre échange.

Il est plus probable que la situation économique des pays européens faillis, se rapprochera de bien des manières  de celle de l'union soviétique de 1922.

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B
Dimanche 15 avril 2012 :<br /> <br /> Paul Krugman fait le bilan de la crise en zone euro :<br /> <br /> Europe’s Economic Suicide.<br /> <br /> So it’s hard to avoid a sense of despair. Rather than admit that they’ve been wrong, European leaders seem determined to drive their economy — and their society — off a cliff. And the whole world<br /> will pay the price.<br /> <br /> Le suicide économique de l'Europe.<br /> <br /> Il est donc difficile d'éviter un sentiment de désespoir. Plutôt que d'admettre qu'ils ont eu tort, les dirigeants européens semblent déterminés à conduire leur économie - et leur société - au bas<br /> de la falaise. Et le monde entier en paiera le prix.<br /> <br /> http://www.nytimes.com/2012/04/16/opinion/krugman-europes-economic-suicide.html?_r=2<br /> <br /> Il a raison, Paul Krugman.<br /> <br /> Les dirigeants européens sont des lemmings qui galopent vers la falaise.<br /> <br /> Et les peuples européens sont un grand troupeau de lemmings qui galope derrière eux.<br /> <br /> Galopons, galopons.<br /> <br /> Galopons vers la falaise.
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S
D'accord avec Xtof.<br /> Comment voulez-vous que cela tombe, alors même que les banques sous l'accord des autorités font de la cavalerie, rien que de la cavalerie. De plus, elles reçoivent à pas cher et relouent dans la<br /> seconde à plus cher au généreux donateurs d'enculés de merde qui nous dirigent. Sans passer par la case économie réelle, voie normal mais à risques.<br /> De plus mégainflation, pas bon pour les investisseurs.<br /> Cela tiendra- jusqu'à l'usure des caractères d'imprimeries ou l'élection d'un moustachu qui n'est point connu pour le moment et p't-être même pas né.<br /> Sauf qu'ils se mettent aussi le garrot, pas d'activités, pas de recettes fiscales et il y aura pour finir comme un petit problème sur les dépenses sociales. Et là, on commence à causer autrement.<br /> CRS, troupes, s'ils sont payés.<br /> Bref, deux ou trois ans de ce petit jeu.
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Y
Je réagit au commentaire N°12 : les gendarmes reculent "suite à une certaine hostilité de la part des conducteurs" ?<br /> <br /> Hem, comment dire... Une bande de Français de souche qui s'oppose physiquement aux gendarmes, ça m'étonnerai fort.
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G
la suite :<br /> <br /> Actualité ><br /> Faits divers<br /> Fil RSS<br /> Self-service à la station essence : 3000 litres volés dans le Doubs<br /> <br /> Publié le 16.04.2012, 14h21 | Mise à jour : 14h35<br /> Envoyer<br /> Environ 3.000 litres de carburant ont été pompés samedi soir dans une station-service du Doubs par des automobilistes qui se sont servis gratuitement après une effraction sur une des machines.<br /> Environ 3.000 litres de carburant ont été pompés samedi soir dans une station-service du Doubs par des automobilistes qui se sont servis gratuitement après une effraction sur une des machines. |<br /> Thomas Samson<br /> Zoom<br /> <br /> Réagir<br /> <br /> Agrandir le texte Diminuer le texte Imprimer l'article Tout leParisien.fr sur votre mobile<br /> C'était une soirée open-bar... ou plutôt open-gazole. Environ 3 000 litres de carburant ont été pompés, samedi soir, dans une station-service du Doubs par des automobilistes qui se sont servis<br /> gratuitement après une effraction sur une des machines. Les constations faites lundi matin par les spécialistes de la maintenance de la station-service montrent «une effraction à l'intérieur» d'une<br /> des pompes d'où un plomb a été enlevé.<br /> Ce qui a permis de se servir sans avoir à insérer sa carte de crédit, a précisé à l'AFP le commandant Manuel Boissière, chef de la compagnie de gendarmerie de Montbéliard.<br /> <br /> Assimilé à du vol<br /> <br /> L'alerte a été donnée vers 22 heures par un riverain de la station-service située dans un supermarché de Béthoncourt. Il s'est étonné de voir une cinquantaine de voitures attendant de faire le<br /> plein. Une première patrouille de gendarmerie a dû appeler du renfort après avoir fait face à «une certaine hostilité» de la part des conducteurs. La plupart des automobilistes se sont dispersés à<br /> l'arrivée des renforts mais les gendarmes ont pu relever «un grand nombre» de plaques d'immatriculation. Les propriétaires de ces véhicules seront entendus ultérieurement, a indiqué le<br /> gendarme..<br /> <br /> «Le fait de se servir gratuitement en carburant en sachant que la machine ne fonctionne pas est assimilé à un vol, et c'est aggravé par l'effraction sur la machine», a-t-il souligné. Une enquête<br /> est en cours et une plainte devait être déposée lundi après-midi au parquet de Montbéliard par la direction du supermarché.<br /> <br /> LeParisien.fr
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G
rien a voir mais c'est important :<br /> les gens n'ont plus les sous pour prendre une voiture pour se deplacer<br /> <br /> <br /> <br /> La RATP a vu ses bénéfices bondir en 2011<br /> <br /> Le Monde.fr avec AFP | 13.04.2012 à 17h21<br /> Abonnez-vous<br /> 15 € / mois Réagir Classer Imprimer Envoyer<br /> <br /> Partager facebook twitter google + linkedin<br /> <br /> Tous les modes de transport (métro, RER, bus et tramway) ont connu une hausse de la fréquentation.<br /> <br /> Alors qu'elle s'apprête à investir cette année plus d'un milliard et demi d'euros, la RATP a annoncé vendredi 13 avril une forte hausse de son bénéfice net en 2011, à 264,3 millions d'euros. Ce bon<br /> résultat s'explique par une amélioration de la rentabilité grâce à une meilleure rentabilité et une fréquentation en hausse du réseau de transport francilien.<br /> <br /> Le bénéfice net récurrent a bondi de 61 %, selon un communiqué. Le bénéfice d'exploitation (Ebitda) a crû de 17 % à un milliard d'euros et le chiffre d'affaires de 9 % à 4,98 milliards. La hausse<br /> du chiffre d'affaires s'explique par "la progression du trafic voyageur en Ile-de-France qui s'établit à 3,1 milliards (de voyages), en hausse de 1,7 % par rapport à 2010, soit plus de 52 millions<br /> de voyages supplémentaires".<br /> <br /> Tous les modes de transport (métro, RER, bus et tramway) ont connu une hausse de la fréquentation. La RATP a aussi profité de l'activité croissante de ses filiales d'exploitation et de maintenance<br /> de réseau et d'ingénierie. Leur contribution a ainsi augmenté de 60 % à 677 millions. Elle se sont notamment renforcées à l'international où elles ont réalisé un chiffre d'affaires de 346<br /> millions.<br /> <br /> PLUS-VALUE EXCEPTIONNELLE EN 2010<br /> <br /> Le groupe a aussi amélioré "sa rentabilité économique grâce à la productivité du travail", souligne son président Pierre Mongin, profitant d'une plus-value exceptionnelle liée à sa sortie en 2010<br /> de Transdev, filiale de transport public de la Caisse des dépôts, en échange d'actifs en France et à l'étranger que la RATP a récupérés dans son escarcelle en ce début d'année. Il aussi tiré profit<br /> de la réorganisation de ses activités d'ingénierie Systra.<br /> <br /> En revanche, la dette de la Régie ressort à la fin de l'an dernier à 5 milliards d'euros, en partie creusée par un investissement de 1,48 milliard d'euros pour le renouvellement des<br /> infrastructures. En 2012, le groupe compte investir 1,6 milliard (600 millions pour les capacités de transport, 710 millions pour l'entretien et la modernisation du réseau, 328 millions pour la<br /> modernisation des infrastructures). Il "anticipe une nouvelle croissance de son activité dans la continuité de 2011, une nouvelle amélioration de sa rentabilité, un nouveau montant record<br /> d'investissements".<br /> <br /> RATP Dev, qui regroupe ses activités d'exploitation et de maintenance des réseaux, vise pour sa part une croissance de 20 % du chiffre d'affaires en 2012 et un objectif d'un milliard d'euros fin<br /> 2013.
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B
Lundi 16 avril 2012 :<br /> <br /> BOURSE/Tokyo : le Nikkei clôture en baisse de 1,74%, inquiétudes pour l'économie.<br /> <br /> Tokyo (awp/afp) - La Bourse de Tokyo a terminé la séance de lundi en nette baisse de 1,74%, les investisseurs s'inquiétant de la dette européenne, de la conjoncture mondiale en général et du<br /> renchérissement du yen.<br /> <br /> A la clôture, l'indice Nikkei 225 des valeurs vedettes a chuté de 167,35 points à 9470,64 points.<br /> <br /> L'indice élargi Topix de tous les titres du premier tableau a abandonné de son côté 1,43%, soit 11,65 points à 803,83 points.<br /> <br /> L'activité a été faible, avec 1,52 milliard d'actions échangées sur le premier marché.<br /> <br /> L'angoisse pour la dette européenne est progressivement revenue sur le marché, après une accalmie en début d'année consécutive à l'effacement d'une partie de la dette de la Grèce et de l'adoption<br /> d'un nouveau plan d'aide européen à ce pays très endetté.<br /> <br /> Mais c'est l'Espagne qui est désormais au centre de l'attention, le taux d'intérêt de ses emprunts obligataires à 10 ans frôlant les 6%, un niveau difficilement viable à terme d'autant que ce pays<br /> est en récession.<br /> <br /> (Dépêche AFP)<br /> <br /> Taux des obligations espagnoles à 10 ans : 6,131 %.<br /> <br /> http://www.bloomberg.com/quote/GSPG10YR:IND
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H
Il parait que la France n'apparait pas parce que les informations ne sont pas dévoilées par la Banque de France.
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B
Samedi 14 avril 2012 :<br /> <br /> Zone euro : la fin des illusions.<br /> <br /> par Jacques Sapir, économiste.<br /> <br /> Si l’on ne veut pas que cette crise emporte avec elle tous les acquis sociaux de ces cinquante dernières années et plonge l’Europe dans la misère et le désespoir, il ne nous reste que deux<br /> solutions :<br /> <br /> - soit on peut renégocier en profondeur, et non à la marge, le Pacte budgétaire, mais il convient de le faire sur la base de mesures unilatérales et en assumant le risque d’une rupture au sein des<br /> pays de la zone euro ;<br /> <br /> - soit il faudra déconstruire cette dernière, et le plus vite sera le mieux.<br /> <br /> Ni François Hollande, ni Nicolas Sarkozy ne sont prêts à l’une ou à l’autre de ces options. L’avenir de la France s’annonce donc fort sombre.<br /> <br /> http://www.marianne2.fr/Zone-euro-la-fin-des-illusions_a216961.html
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A
OK Christophe , mais , par exemple si 600 milliards sortent des banques PIIGS pour alimenter les banques Allemande , aussitôt remplacés par la même somme , ou plus pour améliorer le bilan ,<br /> obligeamment fournie par la BCE , cela fait quand même 600 milliards de création monétaire en peu de temps.<br /> <br /> Ma question est :<br /> <br /> Où vont se placer la nouvelle oseille tombée du ciel et la suivante qui est logiquement annoncée ?<br /> Où et dans quel support , les MPX , le pétrole , quel effet sur les prix des marchandises pour les gueux et l'économie réelle ?
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H
On voit bien là l'utilité de l'Union Européenne. Elle permet, par la suppression des frontières entre les états qui la constituent, de briser le lien entre les riches et leur pays d'origine. Sans<br /> remplacer ce lien par un autre entre ces riches et l'Union, inexistante comme état.
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C
Manifestement, vous n'avez pas encore compris les règles du jeu.<br /> <br /> Les riches grecs, espagnols, italiens... ont compris que ça sentait mauvais et sortent leur pognon.<br /> <br /> Et alors ?<br /> <br /> Pas de quoi en faire des gorges chaudes.<br /> <br /> Il faut vous rappeler qui est à la manoeuvre à l'autre extrémité du bâton merdeux... les crapules : Bruxelles, BCE, les politiciens verreux etc.<br /> <br /> Alors, Xx milliards "sortent"... immédiatement remplacés par XX milliards fournis par la BCE (LTRO), et tous les autres "programmes non conventionnels", officiels et officieux, créés depuis<br /> 2008.<br /> <br /> En d'autres termes : 1 partout la balle au centre.<br /> <br /> Et ce jeu va durer encore longtemps.<br /> <br /> Vous continuez à attendre un "échec et mat" technique, c'est à dire la chute brutale du système, la faillite retentissante d'une grande banque européenne, entraînant avec elle tout le système, le<br /> défaut un pays de la zone euro, la sortie d'un pays de la zone euro etc.<br /> <br /> C'est une erreur grossière.<br /> <br /> Seuls les naïfs peuvent encore croire qu'une grande faillite peut intervenir à tout moment. Vous n'avez aucune mémoire : depuis 2009... quelles sont les banques européennes qui ont fait faillite<br /> ?<br /> <br /> Aucune.<br /> <br /> Alors qu'elles le seraient presque toutes, si on jouait dans un cadre "normal".<br /> <br /> Si la bulle immo démente espagnole était valorisée au prix du marché... le bilan de TOUTES les banques espagnoles imploserait... et elles seraient quasiment toutes dans l'impossibilité de se<br /> recapitaliser.<br /> <br /> Donc faillite.<br /> <br /> Pourtant, elles... ne sont pas en faillite.<br /> <br /> Vous comprenez ? La guerre c'est la paix.<br /> <br /> Regardez les banques japonaises.... elles auraient dû TOUTES SAUTER début 1990 après l'explosion de la bulle immo.<br /> <br /> 25 ans après... elles sont toutes là, même si il y a eu quelques fusions ici ou là.<br /> <br /> Il est stupéfiant de voir que des gens intelligents sont à ce point incapables de faire des inférences basiques, en regardant l'histoire, et la suite d'événements depuis 2008.<br /> <br /> J'ai le sentiment que vous êtes pris, victime de la mélanchonerie ambiante (l'idiot utile de sakorzy), où l'on parle de "révolution", où la "rue se réveillerait" et autres bêtises pour endormir les<br /> veaux.<br /> <br /> Le système tombera le jour où les crapules le décideront.<br /> <br /> Et il tombera par... le haut si j'ose dire : guerre.<br /> <br /> Nous n'y sommes pas encore.
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B
Paul Jorion explique le problème du Titanic “ZONE EURO” en reprenant le schéma de Bloomberg :<br /> <br /> http://www.pauljorion.com/blog/?p=35925<br /> <br /> A la fin de son article, Paul Jorion écrit cette phrase très importante :<br /> <br /> “N.B. : La Suisse n’étant pas dans la zone euro, les mouvements de capitaux vers la Suisse n’apparaissent pas sur le graphique.”<br /> <br /> Cette phrase est très importante car elle montre du doigt un pays en-dehors de la zone euro : la Suisse.<br /> <br /> Un journaliste, Antoine Peillon, explique parfaitement la place prépondérante que la Suisse occupe pour les Français riches qui cachent leur argent.<br /> <br /> Entre 150 000 et 200 000 Français riches cachent leur argent dans des paradis fiscaux. Cela représente 260 milliards d'euros. Pour un tiers d’entre eux, la Suisse est leur destination. Ah, la<br /> Suisse ...<br /> <br /> Une vidéo de 8 minutes, qui est ahurissante :<br /> <br /> http://dai.ly/Hw4zME
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A
Ce que n´explique pas ce graphisme, c´est que la Bundesbank a beaucoups d´argent dehors. Près de 500 milliards d´euros eparpillé dans la zone euro.Elle aimerait bien , des garanties , par exemple<br /> de l´Or :<br /> <br /> "Il suggère plusieurs pistes, notamment le dépôt auprès du FMI de devises ou d'or. «L'Italie en possède pour 134 milliards d'euros. Cela couvrirait 70% du montant des créances»"<br /> <br /> Oui, à chaque fois qu´un européen achète une Audi A4 ou une Mercedes, il endette sa banque centrale aupres de la Bundesbank. Si j´etais européen , j énverrais les allemands se faire foutre et je<br /> garderais mon or dans mon coffre. Cela les arrange bien de vendres leurs produits !<br /> <br /> http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/03/02/20002-20120302ARTFIG00565-euro-le-ton-monte-entre-la-bundesbank-et-la-bce.php
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E
L'article de Blomberg est très intéressant, dommage qu'il soit assez mal expliqué dans ce post<br /> Effectivement une véritable bombe à retardement est en train de se mettre en place !
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C
Il ne faut pas perdre de vue que les dettes des uns sont les créances des autres. A ce stade-là, on retombe dans le cas du vieil adage "Vous devez cent mille à la banque? vous avez un problème.<br /> Vous devez 100 millions? là c'est la banque qui a un problème!".<br /> Et l'insolvabilité des états concernés semble de plus en plus manifeste et reconnue par les marchés (un pari sur la dette française? ah, c'est déjà pour lundi!).<br /> Comme ça fleure bon le sauvetage final pour le rôt, encore appelé monétisation ultime (bah, c'est déjà en cours, mais chuut!), tout ça pour que les si sérieux établissements financiers et<br /> assurances n'aient pas encore à avouer aux pitis z'et gros épargnants que leurs "avoirs" massifs en, au hasard, obligations d'état(s) rencontrent quelques difficultés de rendement et/ou de valeur<br /> (c'est facile l'anglais, c'est "vaporized" ou "corzinized").<br /> <br /> L'avis de "Mish" Shedlock (globaleconomicanalysis), qui n'est pourtant pas particulièrement alarmiste:<br /> <br /> "Get Money Out of Banks Now!<br /> <br /> My advice to everyone in Spain: Take your money out of the banks while you still can. Capital controls are just around the corner."<br /> <br /> Serait-il l'Or, MesseignOrs?
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